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Incipitserfaßte Inhalte
L Schauspiele laßen sich sehn' und lesen; I-s lesen und nicht sehn',1
L'abolition de la traite des nègres est une de ces grandes mesures, que le dix-huitième siècle entreprit sans rien conclure.1
L'ÂGE d'or, âge heureux du monde en son / enfance / Sans règle et par instinct observa l'nnocence;1
L'amave son pahi, lai a fai kokié bein; / Er liebte sein Vaterland, und hat ihm einiges / Gutes erwiesen;1
L'Amour & l'Amitié dont tu nous peins l'image, / voilà tes Dieux; encense-les toujours;1
L'an 1583 l'université d'Oxford voulant faire politesse à un Ambassadeur de Pologne qui s'y étoit rendu, fit représenter une Tragédie par ses Étudians;1
L'Ane d'un jardinier se plaignoit / au Destin / De ce qu'on le faisoit lever devant / l'aurore.1
L'anecdote, laquelle l'artiste a dessinée ici, supposé, qu'elle soit vraie, est un des plus beaux exemples de grandeur imposante.1
L'arc-en-ciel est le plus beau des météores. Sa figure si élégante par sa rondeur parfaite;1
L'Artiste nous a donné sur la douzième planche l'afectation de deux cotés opposée à ce qu'il y a proprement de beau et de naturel,1
L'ASSEMBLÉE NATIONALE, voulant établir la constitutution françoise sur les principes qu'elle vient de reconnoître et de déclarer, abolit irrévocablement les institutions qui blessoient la liberté et égalité des droits.1
L'astre majestueux dont les flammes fécondes / Dispensent la chaleur et la vie aux deux / mondes,1
L'auteur allemand de cet Almanach du théâtre, avantageusement connu par ses productions dramatiques, mais plus généralement connu encore des gens de goût de toutes les nations par ses rares talens comm acteur,1
L'enfant caressé par les graces, / Non celui qu'on dit à la Cour / De Brionne suivre les Traces, / Mais l'enfant semblable à l'amour1
L'épigramme est un jeu d'escrime; / L'adresse à la force s'y joint;1
L'Estampe coloriée est tirée d'un drame de Werner intitulé Luther ou la Consécration de l'énergie, qui a fait beaucoup de sensation dans toute l'Allemagne protestante.1
L'histoire de ce siège est tiré du Voyage du célèbre Astronome Le Gentil: elle est donc véritable dans le sens le plus catégorique, avantage que n'ont pas toutes les histoires ou relations des sièges,1
L'homme & la femme sont faits l'un pour l'autre. Ils doivent se plaire l'un à l'autre: c'est l'intention de la nature & et le but de la société;1
L'idée du siècle est dans l'esprit de ceux, qui sont enthousiasmés pour le sytème decimal, une idée vénérable.1
L'oiseau de Jupiter enlevant un / mouton, / Un Corbeau témoin de l'affaire,1
L'un des principaux événemens de ce glorieux règne fut la réception des Réfugiés dans les Etats de Brandebourg.1
L'un en stile pompeux habillant une Eglogue / De ses rares vertues Te fait un long prologue;1
L'usage seducteur qui necessite les bonnes veuves de l'Indostan de se bruler elles-mèmes sur le bucher de leur maris est trôp singulier en barbarie1
L. g. i. n. g.1
L. ü. a.1
L. u. l. l.1
L... den 28. Aug. 1813 / Länger zu warten wäre denn doch jetzt Undankbarkeit von mir; ich will also mein Schreib-Eis aufthauen lassen,1
La belle estampe coloriée, représentant la procession au palais de la diète de Worms, n'a pas été jointe à l'almanach, mais se distribute séparément, afin qu'on n'ait pas besoin de la plier, et qu'elle se conserve mieux1
La Billardière sah auf seiner Reise vom Vorgebirge der guten Hoffnung nach dem Vorgebirge Diemen ächte Urwädler, die er so beschreibt. Ich gieng Nachmittags mit dem Gärtner und zwey andern Personen an's Land. Wir wendeten uns nach Nordosten.1
La Chronologie des tems n'est pas assés certaine par rapport aux événements les plus anciens1
La connais-tu cette haute montagne / Du pélerin attirant la ferveur?1
La distance des Nuës de notre Terre varie extrémement, rarement est-elle d'un Mille d'Allemagne.1
La Génisse, la Chèvre, et leur / soeur la Brébis, / Avec un Lion, seigneur du voi- / sinage, / Firent société,1
La grandeur de Terre, & la rotation sur son axe sont les seules mesures absolues que nous ayons.1
La jeune France! das klinget gut, / Doch unser junges deutsches Blut / Ist zu was Besserm noch geschaffen,1
La liberté que l'on nous donne / Est celle de mourir de faim,1
La Machine animale est comme le cercle, qui n'a ni commencement ni fin; un ressort prête son action à l'autre qui lui doit son mouvement,1
La Maitresse du Cabaret / Se devine sans qu'on la peigen;1
La maniere de préparer les grains pour en faire une nourriture convenable n'a pas toujours ni partout été la meme.1
La marche de l'esprit humain a toujours été la même chez tous les peuples.1
La mia Signora non vuol chio mora1
La mia Signora, / Non vuol ch' io mora, / Non so, perché.1
La mort de la reine Jeanne d'Albret avoit paru si peu suspecte à l'amiral Coligni, qu'il ne s'en montra que plus empressé à se rendre aux désirs du roi, qui l'envitoit à Paris.1
La mort de Mirabeau, dit-on, est un / malheur1
La Mothe le Vayer, Staatsrath von Frankreich und Hofmeister des Duc d'Anjou, Bruders Ludwig XIV, begegnete einst einem Suffisant in der königlichen Galerie.1
La Motte saß auf Amiens Bischofsitz / Und war ein Prälat voll Geist und Witz.1
La Nature n'est pas opposée ici à l'afectation dans le même degré qu'elle l'est sur les autres planches,1
LA nature vit encore, s’écriait Jean-Jacques, en apercevant dans les bois le premier bourgeon qui s’épanouit au retou du printems, et son cœur palpitait d’amour et d’espérance.1
La neige a disparu; la naissante verdure / A nos champs, à nos bois, vient rendre / leur parure.1
La perche géometrique à 10 pieds, le pied 10 pouces, le pouce 10 lignes.1
La plus grande élevation du barométre a été de 28 pouces 10 3/4 lignes de Paris, le 18. Fevr.1
La plus longue suite d'observation à ce sujet est due à l'Académie des Sciences de Paris:1
La Police devroit sans contredit faire par tout des recherches sur la sorte des pierres qu'on employe à faire des meules de moulin.1
La prise de la forteresse de Stettin est au nombre des principaux événemens de la vie du grand Electeur,1
La rime est une esclave, & ne doit qu'obéir1
La rose n'acquiert toute sa suavité que sur le sol heureux de la Perse, mais la délicate violette parfume l'air des climats plus tempérés;1
La saison la plus rude et l'hiver le plus rigoureux ne purent empêcher le Père de ses Sujets de les délivrer de l'ennemi1
La scène représentée sur cette feuille et la suivante, est sans contredit une des principales d'entre les comiques qui se trouvent dans l'ouvrages du grand Poete.1
La Table Alphabethique qui suit, peut servir à ceux qui cherchent, dans quel Cours un lieu se rencontre,1
La Table Alphabétique suivante montre par les chiffres qui précédent et qui suivent chaque endroit, la Poste par laquelle une Lettre part ou arrive1
La taille douce de Maréchal de camp Derflinger appartenant encore à l'histoire a été tirée d'après un portrait que Mr. le négociant Westphal possède dans une maison bâtie autrefois par le Maréchal lui même, où ce portrait est resté,1
La taille douce jointe au titre et qui représente la Duchesses douairière de Bronswic appartient à la collection des portraits de la famille royale de Prusse1
La Terre n'est pas parfaitement ronde; elle égale une sphere ou boule 858½ miles de diametre.1
La vertu, seul bien véritable, / Nous suit au delà du trépas;1
Labrador ist sehr reich an Vögeln, besonders an wilden Gänsen, Enten, Moorhühnern, Kibitzen, Rebhühnern,1
Lächeln uns der Ersten Blicke, / Sind die Zweiten auch zu schauen,1
Lächelnd betrachtet der Knabe die Welt: nur / fröhliche Bilder / Beut ihm das bunte Gewühl, welches sich vor ihm / bewegt.1
Lächelnd blickt der Himmel nieder / Auf der Fluren junges Grün,1
Lächelnd in der Wiege liege, / Zartes, neugebornes Kind; / Sieh die Engel lichte, dichte / Schützend dir zur Seite sind.1
Lächelnd kommen, lächelnd schwinden / Meines Lebens frohe Tage,1
Lächelnd küsst Liebe den Sinn, sie reicht / uns goldne Früchte;1
Lächelnd liegt das heit're Leben / Vor uns da im Frühlingsglanz,1
Lächelnd mög’ ich drey Dinge dem winkenden / Engel einst sagen:1
Lächelnd nahet der Lenz, nahet, die Liebe sich, / Schön verschlungen im Kranz, schweben sie auf der / Flur,1
Lächelnd schau'n bei Frühlingsmilde / Blumen ihr Gesicht im Bach;1
Lächelnd schwebt die reizende Cythere / voll Vertrau'n auf ungetreuem Meere,1
Lächelnd schwebt' aus Edens Gefilden ein / Engel hernieder;1
Lächelnd sehn wir den Tänzer auf glatter / Ebene straucheln,1
Lächelnd senkt auf rosigem Gefieder / Sich der Tag vom blauen Himmel nieder,1
Lächelnd senkte sich der Frühling nieder / Alles zu erneu'n1
Lächelnd steigt der Lenz hernieder, / Grüßt ihn, Schwestern, grüßt ihn, Brüder,1
Lächelnd streiffst Du den Sternenmantel vom rosigen Nacken, / Bringst dem Menschen das Licht, bringst das Leben zurück:1
Lächelnd wog in der Hand ein römischer Pfaf / die Oblaten:1
Lächelnder glänzt die Flur im Vollmond- / schimmer, / Freundlicher blickt der Stern aus heitrer / Ferne,1
Lächelndes, geliebtes Kind, / Welche sanften Minen / Zeigst du mir! welch Leben find; / Ich nicht schon in ihnen!1
Lächelst du mir durch die Zweige, / Muse, lieblich anzuschauen,1
Lächelst du wieder, sonniger Tag, / Bläulich und röthlich schimmernd und schön?1
Lächelt die Mutter auf's Grab des geliebten / Kindes; so streut sie1
Lächelt dir freundlich die Zeit, empfan- / ge die friedliche Palme;1
Lächelt mir an meiner Heimath Rheine / Neuverjüngt im frühen Strahlenscheine / Gottes schöner Morgen zu,1
Lachen ist besser als weinen, sagt das alte Sprichwort; und da diese Bühne von jeher nur den Zweck hat, lachen zu erregen, so will Unterzeichner nicht säumen den Lachlustigen und Gönnern dieser Bühne eine Schüßel Ragou von Gesangstücken1
Lachen muß ich, ihr Brüderchen, lachen! / Dafür, Brüderchen, seyd ihr ja da.1
Lachen müßen die Menschen - in ihrem Innersten lachen, so oft sie einem andern schmeicheln oder trotzen.1
Lachen wirst du, lieber Tacitus, schrieb Plinius einst seinem Freunde, und du hast recht dazu, lache nur!1
Lachen, der Hauptort der March im Canton Schweiz, hat die lieblichsten Spaziergänge und Aussichten.1
Lachend eilten wir fort und spannten die Flü- / gel1
Lachend hast du mir den Kuß verweigert, / Weinend hast du mir den Kuß gegeben;1
Lachend in des Herbstes Händen / Winken uns die süßen Spenden,1
Lachend in des Segens Fülle / Prangt die sommerliche Flur, / Und es löst der Blüthen Hülle / Heiß'rer Sonne die Natur,1
Lachend wie diese Landschaft, und still wie dieses Ge- / fild sey / Deines Lebens Bahn,1
Lachend wie diese Landschaft, und still, / wie dieß friedliche Dörfchen, / Sey die Bahn deines Lebens,1
Lächerliche Gegenstände müssen unbeträchtlich, klein und läppisch scheinen;1
Lächerlichster, du nennst das Mode, wenn / immer von neuem1
Lächle freundlich mir entgegen / Holdes Kind, ich liebe dich!1
Lächle fröhlich hin ins Leben, / Süße, traute Schwätzerin;1
Lächle fröhlich, liebes Bübchen, / In dem kleinen Weidenstübchen, / Das Dich jetzt umschließt,1
Lächle hernieder schönes Götterauge, / Auf deiner Schöpfung flammenreges Leben,1
Lächle mir nicht so, freundlicher Mond, verhüll / Dein glänzend Antlitz.1
Lächle Mondschein / Meinem Mädchen! / Silberschimmer / Deines Glanzes1
Lächle nicht zu früh in deinem Glücke, / Schlummre nicht so sorglos sel'ges Herz,1
Lächle so freundlich du willst, im Auge verräth sich / die Tücke, / Hinter der glänzenden Haut1
Lächle, Nerine, diesem Tage gen Himmel! / Angelächelt von Dir, verfließt1
Lächlend betrachtet der Gott / Diese seltsame Schöpfung / Und vergoltet sie Alle / Mit ihren eignen Narrenfarben1
Lachmännchen wollen sie begraben. / Es sangen im Chor die Leichenknaben: / Laßt uns den Leib begraben!1
Lachst du schon, entschwebt des Him- / mels lichten Höhen,1
Lachst du schon, entschwebt des Himmels lich- / ten Höhen, / In der Glorie der Abendstralen?1
Lacht die Freude mit frohen Mienen / Ist auf den Wiesen ein muntres Springen1
Lacht ein hübsches Mädchenantlitz / Freundlich mir mit meinem Worte,1
Lacht ihn aus, den Geldbewacher, / Unsern alten Peter West,1
Lacht mich nicht aus, ihr Herren! Ich muss ja / Russisch nun schreiben:1
Lacht' ich sonst dich wacker aus, / Daß du thöricht in Gefahren,1
Lack zum Mahlen und Zeichnen von einer rothen feuerbeständigen Farbe hat Herr Marggraf erfunden;1
Lady Henriette Akland, begleitete ihren Gemal, Major in englischen Diensten, im J. 1776 nach Canada.1
Lady Milford, die Konkubine des Fürsten, gehört zu den Pahntasieschöpfungen unsers Dichters, von welchen der schon oben erwähnte Kunstrichter sagt:1
Lady Thigh, eine Schimmel-Stute von barbarischer Race.1
Lady Walmore, die Camillen nicht zur Schwiegertochter haben mag, legt ihr eine sehr beunruhigende Frage vor.1
Lager vor Mailand, dessen Mauern und Palläste zerbrochen werden. Kaiser Friedrich I. unter offenem Gezelte1
Lagert euch rund um mich her, wo schwel- / lendes Moos mit des Eichbaums / Kühlendem Schatten vereint,1
Lahm an den Füssen, mit Löschpapiernen Flü- / geln entsandt' er / Zu dem Thierkreis uns,1
Lahoros, der König von Pera, hatte schon dreisig Jahre regiert. Er hatte keine Kriege geführt, keine Schulden gemacht,1
Lais, die schönste der Griechinnen, weihte ihren Spiegel, als er ihr die Abnahme ihrer Reize und die Fortschritte des Alters verkündigte, der Venus1
Lakonische Kürze und Styl des Tacitus werden uns in der Schule als Muster vorgelegt.1
Lakspur über der Stirn, und am Hals Handspangen- / bezeichnung,1
Lalage war mir gewogen. / Welche Wonne! Welch ein Glück!1
Lämmlein auf grüner Höh', / Frei noch vom Ach und Weh,1
Lamon, welchen das Band, jenes untheil- / bare / Band der zärtlichsten Freundschaft, / Fest verschlinget mit mir,1
Land des Stillstands, der Erhaltung, / O wie groß und wunderbar!1
Land in das ich als Fremdling / Ungeübt und schüchtern kam, / Das mit Beyfalls-Lächeln mich empfing,1
Land meiner Jugendträume, / Wo die Zitronen blühn / Wo seid ihr hohen Bäume?1
Land meiner seligsten Gefühle, / Vom reinsten Morgenthau bestreut,2
Land, Land, doppelt Land, / Deutsches Land! / Unverwandt / Hangt mein Aug' an Deinen Fluren,1
Land, wo Ruhm und Sieg auf Trümmern trauernd / sizen, / Dunkeln Augs die Fraun, die Weine blizen,1
Länder hab' ich oft durchzogen, / Brauchte meine Zeit mit Geiz.1
Länder von warmen Clima haben vor andern einen Ueberfluß an mannigfaltigen Holzarten, die auch in der Haushaltung angewandt werden können.1
Landgraf Friedrich der Ernste, der jüngste Sohn Friedirchs mit dergebissenen Wange und sein Nachfolger in der Regierung, zog um das Jahr 1332 mit eine rauserlesenen Mannschaft1
Landgraf Friedrich, der Sohn des Landgrafen Moritz von Hessenkassel zweiter Ehe, geboren 1617, erhielt Eschwege als Apanage, und wohnte daselbst.1
Landgraf Heinrich II. der Enkel Heinrich's des Kindes, welcher von 1328-1376 regierte, führte den Beinamen des Eisernen.1
Landgraf Ludwig der achte von Hessen-Darmstadt (geb. den 5ten April 1691 gest. den 17ten Oct. 1768) war wahrscheinlich einer der leidenschaftlichsten und berühmtesten durchlauchtigen Jagdliebhaber seiner Zeit.1
Landgraf Ludwig I. oder der Friedfertige hatte bei dem Antritt seiner Regierung 1413 mit mehreren auswärtigen Feinden zu kämpfen,1
Landgraf Ludwig war im Jahr des Herrn 1226 mit Kaiser Friedrich in die Lombardei gezogen, und hatte indeß das Regiment über Land und Leute seiner frommen Hausfrau Elisabeth vertraut, die es mit heiligem Sinn, wie ein Engel Gottes, verwaltete.1
Landgraf Moritz von Hessen pflegte zu sagen: Non mihi cerva placet, vera Minerva placet,1
Landgraf Philipp der Großmüthige von Hessen, hat sich nicht nur durch edelthätige Beförderung und Eingführung der Kirchenreformation in seinen Staaten, so wie durch kräftige Pflege der Wissenschaften und Künste,1
Landgraf Philipp trug bekanntlich einen großen goldenen Schlüssel vor der Brust, den man an allen späteren Porträten von ihm abgebildet findet,1
Landgraf Wilhelm der Erste von Hessen reisete im Jahre 1491 in's gelobte Land.1
Landkarten [...] Dieses große, sehr wichtige Hochstift und geistliche Fürstenthum, das schon im Jahre 590 gestiftet1
Landkarten. [...] Das Erzstift Trier ist ein großer Theil des Nieder- oder Churrheinischen Kreises,1
Ländliche Ruhe, Freundschaft, Liebe kränzen / Uns mit Blumen der Freude;1
Landschaften machen in der Regel einen lyrischen Eindruck und treffen in dieser Hinsicht mit der Musik zusammen.1
Landschaftliche Parthie aus der Gegend von Oslebshausen bei Bremen1
Landschaftliche Parthie: der Wartthurm bei Bremen1
Landschulbibliothek, oder Handbuch für Schullehrer auf dem Lande. I-IIIter Band Berlin 1779-85 in 8. Jeder Band enthält 4 Stükke;1
Landtage schreiben sie oft aus: / Schandtage werden manchmal draus!1
Landulf von Starkensee war ein mächtiger, reicher Mann, gefürchtet von seinen Feinden, denn seiner Macht vermochte keiner zu trotzen;1
Lang auf einem Fleck zu stehen, / Ist fürwahr ganz unausstehlich,1
Lang gefürchtet kam die bange Stunde, / Die uns unsern großen Lehrer nahm.1
Lang hast du den Nesselnkranz geschlungen / Um mein jugendliches Haupt,1
Lang hast du geduldet und schmerzlich gekämpft, / Die sehnlichsten Wünsche bestritten;1
Lang hat's in meiner Brust geglüht, / Zu singen dir ein Feyerlied,1
Lang hatte Takfur, der Leibarzt von Mazulipatan, am Hofe einer ausgezeichneten Achtung genossen.1
Lang ist das Leben und kurz die Kunst, der Götter / Bescherung;1
Lang ists, lang, / Seit ich meinen Liebesfrühling sang;1
Lang lag ich unter Schnees Last begraben / Und Schauerr, kalte Winde, Reisen haben1
Lang sann der gute Mann hin und her, wie er seinem Liebling Genugthuung verschaffen wollte,1
Lang sind zweyhundert Jahre schon / Zur Ewigkeit gerükt, / Seitdem den deutschen Kaiserthron / Held Friederich geschmükt;1
Lang stand ich sinnend vor dem heil'gen Bilde, / Das Künstlerhand so rührend schön vollführt,1
Lang trage noch, rufen wir froh, / Des Ordens belohnende Zier.1
Lang vor der Hälft' Arbeit verlosch die / Fackel Prometheus,1
Lang war Freude mein Gut; aber sie konnte nicht / Immer währen, denn bald hüllte mein Horizont1
Lang ward im Kreis erstaunter Christen- / schaaren / Von einem Mönch ein Teufel einst gehetzt.1
Lang' im Herzen, süßes Kind! / Hab' ich dich geminnt;1
Lang' in Ludewigs Saal, über dem Minnesang, / Den der Franke vergrub, schwebete Walters Geist, / Samt tonkundigen Rittern,1
Lang' schau' ich euch, ihr Wolken, an, / Und möchte' euch gern besingen;1
Lang' verstummten sie schon, die Töne lärmender Freude, / Der ein Günstling des Glücks einst die Hallen geweiht.1
Lang', in tiefer Einsamkeit vergraben, / Ferne von der Menschen Neid und Trug,1
Lang', o lange noch beschatte, / Du Geschenk der Zärtlichkeit,1
Lang, eh' di eSonne tritt herfür, / Thun schon die Glocken läuten -1
Lang, o lange noch beschatte, Kind der treusten Zärtlichkeit1
Lange blieb ich Junggeselle, / Haßte Mädchen, haßte Frau'n1
Lange geborgt, ist deswegen nicht geschenkt. / Dies alte Sprichwort erinnert mich an meine Schuld,1
Lange haben die englische Moden, mit französischen etwas gemein; eine edle Einfalt die doch Bequemlichkeit und Elegantz in sich vereint,1
Lange haben die Grossen der Franzen Sprache / gesprochen,1
Lange habt ihr uns geneckt, / Thatet nichts als Mahnen.1
Lange hat der Tag der Nacht schon / Ihre Herrschaft abgenommen1
Lange hat gekniet die Mutter vor der heil'gen Jung- / frau Bild, / Hat des Herzens Sorg' und Sehnen im Gebete süß / gestillt.1
Lange hat gekniet die Mutter vor der heilig'gen Jung- / frau Bild, / Hat des Herzens Sorg' und Sehen im Gebete süß / gestillt.1
Lange hätt' ich euch gern von jenen Thierchen / geprochen,1
Lange hatt' ich meinen Lieben, / Meinen Wilhelm, nicht gesehn;1
Lange hatte Clovist mit Narrenschellen geläutet, / Siehe! da wechselt er um: klingelt einher im / Sonett1
Lange hatte des Landes allverehrte Mutter die Bewohner des Oberlandes nicht besucht ...1
Lange hatte diese kleine Republik, deren ganzer Umfang nur 25 [Quadrat] Meilen beträgt, bey dem Wechsel der Ereignisse, welche rings um sie vorgingen und sie zu verschlingen drohten, ihre politische Existenz und ihre alte aristokratische Verfassung1
Lange Häuser, schwarz verborgen, / Menschen, ganz in dunkler Tracht, / Geh'n und tragen ihre Sorgen, / Ihre Freuden durch die Nacht.1
Lange in die blaue Ferne / Schweifte ihr getreuer Blick, / Dorthin, wo der heißgeliebte / Warf den Letzten Gruß zurück.1
Lange ist es, daß ich des Vergnügens Ihnen zu schreiben beraubt war. Wirklich mangelten mir Papier, Dinte und Feder.1
Lange kämpfte der Tod mit seinem flie- / henden Leben;1
Lange kann man mit Marken, mit Rechen- / pfennigen zahlen,1
Lange lag dein Segel, o deutsche Seele, / Auf dem Weltmeer; plätscherten auch die Wogen / Dann und wann, Windstille versagte dennoch / Hafen und Landung.1
Lange lagen die Erde, die Hügel, die Thale, / die Ströme / Unter dem schneidenden Hauch des eisigen / Winters gebändigt.1
Lange läßt's in deinem Buche / Unvergessen zwar sich stehn,1
Lange lebte die Kunst im Verborgenen unter den Deut- / schen, / Nur vom Volke gehegt, verschmäht am Throne der / Fürsten1
Lange lieb' ich dich schon, möchte dich (Mutterstadt) / (lange gern) mir zur Lust / (Nennen, möchte dir gern) ( Gerne nennen) Mutter nennen / und dir schenken ein kunstlos Lied,1
Lange lieb' ich dich schon, möchte Dich mir zur Lust / Mutter nennen und Dir schenken ein kunstlos Lied,1
Lange lieb' ich dich schon, möchte dich, mir zur / Lust, / Mutter nennen, und dir schenken ein kunstlos / Lied,1
Lange nach Roms Verfall blieb Athen noch immer der Sitz der Künste und Wissenschaften. Theoderich, der Ostgothe, war eines goldenen Zeitalters werth,1
Lange neckt ihr uns schon, doch immer / heimlich und tückisch,1
Lange noch konnte ich den Montblanc mit dem Auge verfolgen, während Hügel und Thäler vor meinen Blicken wechselten,1
Lange rangst du nach dem Ziele, lange / In des Mittags heißer Gluth;1
Lange sah' ich dich nicht; ist's nicht ein / müdes Jahrhundert,1
Lange sann der weltlich Weise, / Erd' und Meer und Sternenkreise / Fragend: was ist Gott?1
Lange schmachtete im Todeskerker / Die Natur vom harten Frost bedrängt1
Lange schon harrte befrachtet das Schiff auf / günstigen Winde / Endlich strebte der Wind, glücklich vom Ufer / ins Meer! / Wer kennt nicht Goethe's süße Heroide Alexis an Dora1
Lange schon hat der hohe Preiß der Caffeebohne, viele Männer und Männerin, die diese Lekerey unter ihren ganz unentbehrlichen LebensUnterhalt zählen, auf allerley auszuspürende ErsazMittel geleitet.1
Lange schon hatte das gute alte Mütterchen Natur dem tollen Spiel, das die Despotin Mode mit den armen Erdbewohnern treibt, gelassen zugesehen,1
Lange schon hatte Krankheit den Prinzen Allando an sein Lager gefesselt, seine Diener klagten, seine Freunde trauerten,1
Lange schon hauseten im Paderbornischen zwei Wölfe. Einer davon ward bald erlegt, der andre täuschte alle Nachstellungen, bis endlich auch er, so schmählich!! wie folget, durch - Priesterhand zum Tode befördert wurde.1
Lange schon hört und liest man nichts mehr von Doctor Gall, und höchstens wenn sich einmal wieder die komische Originalität des Herrn von Rückenmark und die Lazzi seines Matz lustig auf der Bühne herumtummelten,1
Lange schon in manchem Sturm / und Drange / Wandeln meine Füße durch die Welt,1
Lange schon in manchem Sturm' und Drange / Wandeln meine Füße durch die Welt1
Lange schon liebte mich Mutter Natur, / nun liebt mich Elise;1
Lange schon streiten sich, die Wiedergebärer / des Staates,1
Lange schon war das Getümmel der Schlacht in der Ferne verhallt, als die zitternden Mädchen nach einem feierlichen Dankbgebete für die Erhaltung ihres Lebens sich aus den Steinwällen hervorwagten,2
Lange schon, bereits durch 6 Abbildungen hindurch - Umschlag und Titelportrait nicht mitgerechnet - haben Sie mit Ihrem Geiste bei verflossenen Jahrhunderten geweilt: ruhen Sie jetzt auf einem Bilde der Gegenwart aus.1
Lange schon, meine Schönen, liegt es mir auf dem Herzen, Ihnen eine so bescheidene als ehrerbietige Vorstellung über eine Sache zu machen,1
Lange steckt' ich im Kasten! Gottlob nun bin / ich befreiet!1
Lange Tag' allein gegangen, / Wandernd durch Gebirg und Wald,1
Lange Tage sind wohl schön / Auf des Sommermonats Höhn,1
Lange verstummte dein Freund; verschollen, / Wie der Nachtigall lezter Laut,1
Lange vor Christi Geburt bewohnten viel kleine und grosse Völker Helvetien, unter dem Namen Tiguriner, Rhätier, Seduner, Veragrer u.s.w. Von Orgetorix angeführt fallen sie in Gallien ein, werden aber von Julius Cäsar zurückgeschlagen und gänzlich besiegt1
Lange war das dramatische Feld in Teutschland mit Disteln bewachsen. Vater Gottsched kam und fieng es an urbar zu machen.1
Lange war der Wettstreit unentschieden, / Ob dein himmlisch Auge, ob der Mai / Deiner Wangen schöner sei.1
Lange war ich servil, und habe kaum satt mich gegessen,1
Lange war ich stumm und trübe / weil mich Sündenmacht umfing,1
Lange Weile, man hat sie in Bädern, man hat / sie an Höfen,1
Lange werden wir euch noch ärgern und / werden euch sagen:1
Lange Zeit hindurch war das seltsame Abenteuer eines reichen Handelsmannes zu Paris, Namens Corancy, das Gespräch des Tages in dieser Hauptstadt.1
Lange zuvor eh der große Zoroaster vom wolkenhohen Alburs oder Himalaja die Lehre des Zendavest herabgebracht und über das weite Perserreich verbreitet,1
Lange, durch Jahrhunderte dauerte der Streit der Gelehrten, ob die Reichskrone wirklich die sey, welche Ungarns erster heilger König Stephan der I. vom Papst Silvester II. aus Rom erhielt,1
Lange, Lange hat's gedauert / Und dem Herzen hat's geschauert, / Eh' ich's konnt in Worte fassen,1
Lange, lange schon pocht mir im Herzen, / Traute Schwester, eine Forderung an dich;1
Lange, lange Zeiten blieben Kiljans Nachkommen die Felder reich gesegnet; wenn Mißwachs über das ganze Land einbrach, stand auf ihrem Acker doch Saat und Frucht herrlich und dicht,1
Langens Buchhandlung zu Kölln amRhein, hat ohne mein Wissen und meinen Willen die Hochzeit des Figaro, eine Operette nach dem Italienischen,1
Länger darf ich hier nicht wohnen! / Schafft mein eisernes Gewand1
Langer Heldenarbeit müde / Fleht der herrliche Alcide / Zu des Vaters heil'ger Macht.1
Länger leben- Was heißt es? Je nun!1
Länger nicht konnte sein Roß, dem Rossinante ver- / gleichbar / Und von Strapazen erschöpft, Fuentes, den Spanier, / tragen.1
Länger werden schon die Schatten / Und die müde Sonne sinkt;1
Länger werden schon die Schatten, / Alpenröslein hüllt sich ein; / Um die Berge und die Matten / Lagert sich des Abends Schein.1
Langeweile ist bei den Frauen / Meist als Vorläufer der Lieb' anzuschauen.1
Längliche und eckige Nüsse, welche von der Größe einer Haselnuß sind, eine dünne rauhe zerbrechliche rothe Schale, und unter dieser noch eine weitere weisse haben.1
Längs dem Bach im Wiesenthale / Ging ich um die Rosenzeit.1
Längs dem Thale von Guevara / Ist ein Lager aufgeschlagen,1
Längs den Häusern eines dunklen Seitengäßchens huschte eine Mannsgestalt hin, die Schirmmütze tief über die Stirne gezogen.1
Längs den Ufern des Flusses Parana, zwischen Peru und Brasilien, liegt das merkwürdige Paraguay, daß unerschüttert blieb von den Stürmen der Revolution, welche ringsum über alle Völker hereinbrach.1
Längs der öden Pußta wandern / Zwei verwaiste Kinder hin,1
Längs des Ufers Zotten / Blöcken Schaaf und Lamm; / Singend ruht der Hirt am Stamm.1
Längs des Ufers Zotten / Blöcken Schaf und Lamm; / Singend ruht der Hirt am Stamm1
Längs des Ufers Zotten / Blöken Schaaf und Lamm; / Singend ruft der Hirt am Stamm,1
Langsam bildet der Fleiss ein sterbliches / Werk dem Bedürfnis1
Langsam durch der Kirche Bogen / Zeht der Mönche Prozession,1
Langsam geht die Leidensnacht vorüber, / Matt entschleicht der Trauerstunden Chor.1
Langsam kömmt ein Wandrer nieder / Durch den hohen Wald, / Streckt im Schatten seine Glieder1
Langsam muß es sich entfalten, / Und von zarter Hand gepflegt,1
Langsam naht zum Fest auf der Au mit der Nichte der Oheim; / Er mit dem Heldengesicht stolzen, gebietenden Blicks,1
Langsam rückt eine dichte Herbstnebelmasse im südlicheren Böhmerwalde hin und her; Dörfer, Höhen und Wälder sind davon umhüllt,1
Langsam steigt die Sonne nieder zu des Horizontes Grenzen, / Pupurrote Wolkenberge seh' ich hell in Westen glänzen.1
Langsam und feierlich, - wie über Lora's / Haiden / die blassen Helden jener Vorzeit gleiten,1
Langsam und leise, wie der Rhein sein Eisgewölbe ungehört und Eissplitter an Splitter zusammen schmiedet, bildet sich in den Staaten das Böse,1
Langsam und mißmuthig durchritt der König von Spanien, Philipp V. den Prado. Außer einigen nachfolgenden Dienern begleiteten ihn nur zwei Franzosen,1
Langsam wallet der Zug dem Todtenacker ent- / gegen, / Durch die Dämmerung, die schon abendlich / alles verhüllt.1
Langsam windet sich das Bächlein / Zwischen Haselstrauch und Weide / Durch die sonnverbrannte Wiese,1
Langsam, am dürren Stabe / Naht sich ein blinder Greis,1
Langsam, Niklas, langsam! Stelle das herrliche Kunstwerk hieher auf den Schreibtisch.1
Längst befreundete Gestalten erscheinen hier unsern Blicken, oder tauchen, wie aus halbvergessenenen Träumen, empor,1
längst der Iser hat noch manche romantische Gegenden und schöne Aussichten.1
Längst des Stromes Felsen-Ufer / Durch die schwarze Nacht / Schreitet Balduinus suchend / Sonder Ruh und Rast.1
Längst gestorben wähnt' ich alle unsterblichen Götter.1
Längst hab' ich den Pfad durchwandert, / Wo der Lenz die Fahnen schwinget,1
Längst hat Thalia Dir zum Lohne, / aus ihrer immer grünen Krone, / den schönsten Zweig geschenkt.1
Längst hätt' ich gern mit euch den Speer gebrochen, / Ihr, die ihr frech Dianens Priester hönt;1
Längst hatte die gewöhnliche Stunde des Aufbruchs für die kleine aber gewählte Gesellschaft der Baronin W. geschlagen und still horchend, von der Strahlenlampe erleuchtet, saßen noch die Damen im traulichen Kreise1
Längst ist die Flur des Schmucks beraubt, / Die wir vereint durchwallt,1
Längst ist von Euch, der Geist, der Welten / abgewogen,1
Längst müde jene Fesseln stets zu tragen, / Die mich in enger Haft seit Jahren halten,1
Längst ruhte wohl die keusche Margarethe, / Die mehr, als Kron' und Gold, der Schönheit Glanz erhöhte,1
Längst sang ich schon kein Liedchen mehr; / Am Nagel hieng die gold'ne Leyer,1
Längst schmiedete der Reimer Töffel / In zwölf Gesängen ein Gedicht;1
Längst schon hatte die Mittagsglocke geschlagen, die besorgte Hausfrau hatte das Essen schon zweimal wieder warm stellen müssen; ihr Gatte blieb heute ungewöhnlich lange aus.1
Längst schon hatte mein Vater sein Mißvergnügen über die Unthätigkeit geäußert, der ich nach der Rückkehr von meinen Reisen im väterlichen Hause fröhnte.1
Längst schon hört' ich es verhallen, / Philomelens süßes Lied, / Alle Blüthen sind gefallen, / Und der Sommer flieht.1
Längst schon streifte das Laub von den Bäumen der / spätere Hertbstwind, / Längst schon glänzte der Reif,1
Längst schon war in lichten Flammenzügen / Deine hohe himmlische Gestalt / Mir ins Herz geschrieben.1
Längst sind sie verschwunden, der träumerischen / Nacht / Gespenster;1
Längst verdrängtest du mich, o Mutter des lieb- / lichen Knaben:1
Längst verklang in mir das Lied; / Denn mein Liebstes muß ich missen,1
Längst von Wellen unterwaschen, / Alter Eschenbaum,1
Längst war schon die Sonne hinabgesunken und nur die einzelnen lichten Wölkchen, die hoch im dunklen Blau des Himmels schwebten, glänzten von ihren letzen Strahlen verklärt.1
Längst, in der Vorzeit grauen Tagen, / man schrieb eintausend dreihundert und / sieben / hat dieses Geschichte sich zugetragen.1
Langverborg'ne Fische plätschern wieder; / Fernher tönt der Heerden bunter Klang;1
Langweilig; formlos; breit; die Resultate Nieten; / Hierin kann Recensent den Autor überbieten.1
Langwierig ist's, in offnem, kühnen Lauf, / Des Ehrefelsens Höhen zu erreichen,1
Laodamia! Süßes Glück / Verhieß dir lächelnd Eros Blick / Ach! Blick und Lächeln hat gelogen!1
Lapsus mihi est nuperrime in manus liber certus, qui magnam in me protulit revolutionem.1
Larive konnte nur mit Grauen an die Appeninnen denken, die er nie gesehen hatte.1
Lärm erüllet das Haus! Ein Gehen, ein / Kommen die breiten / Wendelstiegen entlang! Die Dienerschaft, fest- / lich gekleidet, / Steht zum Empfange bereit am Thorweg,1
Lärm, Aufruhr, Meuterei und Mord / Braust grausend durch Firenze's Gassen;1
Lärmen hör' ich sich erheben; / Zwei und dreyßig im Gewühl!1
Lärmend krachen goldene Geschütze, / Festlich schmückt der Brautzug sich für Jela.1
Laß ab von deinem Leide, / Die Schäflein auf der Weide,2
Laß ab von Harm und Leid, / Wenn Unglück dich getroffen,1
Laß ab zu lang mich anzublicken, / Sonst blendet Dich mein reiner Schein1
Laß ab! das duld' ich nicht! Soll ich um Hilfe schreien? / Sieh nur, was du gethan!1
Laß ab! Mir wehest du / Statt Kühlung Flammen zu!1
Laß ab, du schreklich Ungeheuer! / Daß hungrig nimmermüde wie der Geier1
Laß ab, du stirnengeschmükte, / Ruhmgesättigte Siegerinn, / Hohes Germanien!1
Laß ab, laß ab mit deinem Zaubersange! / Amalia, uns wird im Herzen bange!1
Laß ab, laß ab, Pygmalion! / Ich muß ja mich zum Steine lügen.1
Laß ab, Unsinniger, - gebot dem Papagei, / Der Vogel Jupiters - durch lästerndes Ge- / schrei1
Laß ab, zu lang mich anzublicken, / Sonst blendet dich mein reiner Schein,1
Laß ab, zu lang mich anzublicken, / Sonst blendet dich mein reiner Schein;1
Laß an dir hinauf mich leben, / Sprach der Epheu zu der Eiche,1
Laß Andre dichten, daß die Nachwelt sie / bewundert; / Vortreflich dichtest du1
Laß andre feig im Sturme zagen, / Ermanne dich und sey getrost,1
Laß andre stricken, / Laß andre nähn! / Ich muß mich schmücken, / Um auszugehn!1
Laß Andre Vieles seyn, und mehr als du auf Erden; / Hier trachte, ganz du selbst, ein Engel dort zu werden.1
Laß aus dem Buche guter Sitten hier / Dir lesen das Kapitel seiner Zucht.1
Laß beyde uns das milde Glück erheben! / Es hat, du theurer Rittersmann!1
Laß das Dichten, o Freund, du bist zum Dichter ver- / dorben: / Deine Verse mir hältst du vor, was wollen die Verse,1
Laß das eitle Bemühn gestorbenes Leben zu wecken, / Und, die ewig entfloh, neu zu verjüngen die Kraft:1
Laß das Feuer nicht ausgehen, Xaveria, das Schießen hört auf; ehe eine halbe Stunde vergeht, sind sie hier, darauf will ich wetten.1
Laß das Hospital bewachen, wer Lust hat! Komm, Bruder Sultan! Wir wollen uns diese Nacht, dort im Winkel, das Geschenk zu Nutze machen, das uns der Himmel so unverhofft verliehen hat.1
Laß das subjektive Jammern! / Zum Poeten Prosa spricht.1
Laß Dein Auge nur von Thränen / Quillen, wie es mag und kann,1
Laß dein großes dunkles Aug' / Nicht so innig an mir hangen!1
Laß dein Klagen, laß dein Bangen, / Lenke vorwärts deinen Lauf!1
Laß dein trunkenes Auge dir nicht das Herzchen be- / thören!1
Laß dein Zagen, laß dein Bangen, / Holde, die mein Herz erkohr!1
Laß deine Kinder sich mit lebendigen und leblosen Naturdingen beschäftigen, laß sie ihrer Entwickelung zuschauen:1
Laß Deine Locken flattern im Winde, / Zerreiß', unsel'ge Mutter, Dein Gewand!1
Laß deine Stirne mich küssen, / Du liebes Töchterlein, / Laß mich ans Herz dich drücken, / Nun sagst du nicht mer Nein!1
Laß deinen Bogen ruhn, der Pfeile / kannst du schonen.1
Laß deiner mächt'gen Feindin mich gedenken, / Mit der du lagst in manchem Kampf verschlungen,1
Laß dem Rausch uns entfliehen, den fliehen die / Freuden des Lebens1
Laß den Duft von deiner Seele / Voll zu meiner Seele wehn,1
Laß den Feigen sein Gedächtniß schänden, wenn er / frech der Menschheit Schmerzen höhnet,1
Laß der Liebe Gnade schalten, / Dinge nicht um ihren Lohn;1
Laß der Unschuld Rosenschimmer / Deiner Wangen Schmincke seyn;1
Laß Diana, laß Apoll / Mir ein Lied voll Kraft gelingen! / Denn vom braven Weidmann soll / Die entzückte Muse singen!1
Laß dich an diesem schönen Tag / Aufs Eigenste begrüßen,1
Laß dich den jungen Frühling locken / Aus deinem Tempe, Freund! Komm, siehe / zu Berlin / Die Königinn der Blumen blühn;1
Laß dich getrost kuriren, / Sie weden's schon ergründen,2
Laß dich küssen, kleine Dirne / Mit dem holden Angesicht!1
Laß dich nach Hohem nicht gelüsten, / Und scheue dich, bergauf zu rüsten,1
Laß dich nicht gereun der Thränen, / Die du liebend einst geweint;1
Laß dich schneiden, laß dich schneiden, / Erndte reif und warm: / Sieh ein Mädchen, voller Freuden, / Sammelt dich in'n Arm.1
Laß dich stören nicht im Schlaf, / Herz, mein ruh'ger Schläfer.1
Laß dich von deinem Herrn besingen, / Dem du, o Topf, so ähnlich bist,1
Laß dich willig pflücken, / Weiße Lilie hier, / Und der Worte schönstes / Schreib' ich hin mit dir!1
Laß dich zum Liebling weihen / Der segnenden Natur. / Sollst blühen und gedeihen / Im Schoos der Liebe nur!1
Laß dich, helle Sonn', erbliken, / Schike dich, du breiter Rhein,1
Laß dich, o Freund, in diesem Punkt bedeuten: / Dein ist die Schuld, wenn du das Leben dir vergällst,1
Laß dicht nicht durch Irrthum leiten, / Aus der wahren Bahn zu gleiten / Die dein treuer Blick dir zeigt.1
Laß die Ameis' immer pochen / Daß sie von der Sommersaat1
Laß die Berge wieder blauen, / Daß uns Wanderlust erfaßt, / Wenn wir sie von Ferne schauen, / Süßer Lenz, du Himmelsgast!1
Laß die Finger leise schweben, / Tausend hohe Farben wehn,1
Laß die Freuden unsers Lebens / Laß sie immer flüchtig seyn!1
Laß die Furie der Eifersucht nicht in deinem Busen eindringen, sie ist ein Ungeheuer,1
Laß die Geisterprossen, armer Tropf, / Diese Todten waren nie begraben,1
Laß die Jagd nach Glück und Thoren! / Nicht für eine Dichterwelt,1
Laß die klaren Silberzähren / Nicht durch deine Wimper dringen,1
Laß die Todten bei den Todten, / Doch das Leben laß dem Leben!1
Laß die wilden Wogen toben / Um den Felsen dort und hier!1
Laß dieses Blatt vor deinen Thron sich wagen, / Es bringt mit sich ein liebes, theures Bild!1
Laß Dir Küsse geben, trauter Junge! Küsse, heißt / Küsse, / Rief im Lenze Sie,1
Laß dir von deinem Kinde nichts abtrotzen, aber auch nichts abschmeicheln.1
Laß Dir, holdes Bildniß, schauen in die Augen sanft / und klug,1
Laß dumme Schönen immer bangen, / Vor'm Raub der stillen Feindin Zeit!1
LAS d’amuser le public par ses tours, / Un de ces lourds danseurs que martin-bâton mène, / Ayant trouvé moyen d’échapper à sa chaîne, / Alla trouver aux bois ses confrères les ours.1
Laß ein Gericht nach dem andern auftragen1
Laß einem jeden das Seine! Begehre nichts von dem, was dein Nächster besizt.1
Laß einen Augenblick, es ziemt dem Menschenwitze, / Was in die Höhe wir gebaut vom Grund zur Spitze,1
Laß es gut sein, Adam, wir brauchen den Advokaten nicht, können es ohne ihn abthun, sagte Mistreß Ederley zu ihrem Haushofmeister, Adam Cheetham.1
Laß es mir – ich muß es haben. / Nein nein, Adele – gib mir das Bild meines lieben Eduard.1
Laß finstre Köpfe sich mit Wissenschaften quälen / Und sieh gelassen zu:1
Laß Fortunens Kugel rollen! / Wenn wir nur das Gute wollen,1
Laß für sie dich gern und willig pflücken / Holde Rose, Blumenkönigin;1
Laß fürder noch dein sanftes Wesen / In deine Lieder übergehn.1
Laß gewähren, Theurer! Hasse nicht dein Glück, / Nenne mich Gefühl, ich kam herabgeschwebt,1
Laß hinter dir des Fahrwegs Gleis, / Willst Neues du erschauen, / Und klimme rasch den Steig empor / Zur dicht umbuschten Hügelhöhe!1
Laß ich mich herab zu dir, / Bring' ich Heiterkeit mit mir,1
Laß ihn nur sausen und brausen den Wind, fest steht ja das / Haus noch,1
Laß ihn pochen, laß ihn pochen, / Liebchen, wer auch draußen ist;1
Laß immer Dich in schlechtsten Anputz malen, / Dein Anputz ist stets ohne Flictern reich!1
Laß immer Lust und Liebe walten / Am Hochzeitsfest mit deiner reichen Alten!1
Las in manchem alten Buche, wie die Völker / standen auf, / Wie sie nach dem Strahl der Sonne richten unge- / zähmten / Lauf,1
Laß ja, mein Kind, Dich nicht umgarnen / Durch seiner Rede Schmeichelton,1
Laß legen sich die Ungeduld! / Sey stille, Herz, nur stille!2
Laß legen sich die Ungeduld, / Sey stille, Herz, nur stille!1
Laß Lenz und Liebe nicht vergehn, / Und jeden Schäferschwur bestehn;1
Laß Mädchen mich dein Gärtner sein, / Vertrau mir deinen Garten;1
Laß meiner schönsten Seelenschätze einen, / Laß das Gefühl des Dankes gegen dich, / O laß vor deinen Blicken es erscheinen,1
Laß mich allein, mit meinem Schmerz allein! / Die Welt ist schön und unbegrenzt ihr Raum;1
Laß mich Alpengang erneuern / Zum Col de Balm von Martigny. / Der Alpenfreund zählt zu den theuern / Den Tag, den er gelebt für sie. –1
Laß mich an Astolfo's Lager / Zu dem Heißgeliebten eilen;1
Laß mich brüten, / Laß mich träumen, / Schwebend in den ros'gen Räumen / Pflückend gold'ne Wunderblüthen;1
Laß mich den Ring an deinen Fingern sehen, / Dann küss' ich als Braut mich mit dem Rosenmunde!1
Laß mich den Schmuck in Deine Locken winden, / Du reizende Schwester, reizende Naide;1
Laß mich ein freundlich Kränzchen winden / In deinem Park, o Dichterfee!1
Laß mich ein, mein süßes Schäzchen! / Finster ist mein Kämmerlein.1
Laß mich einmal den Sorgen / Entfliehn bei Lieb und Wein1
Laß mich flieh'n in deine Friedensräume / Uns zum Hafen freundlich hingestellt;1
Laß mich ganz in dich versinken, / Wald, und in dein frisches Grün,1
Laß mich Himmel den Werth des Guten und Schönen er- / kennen,1
Laß mich immer / Hier im frühen / Morgenschimmer / Durch die Felder,1
Laß mich immer jeden Ton beneiden, / Der den Kuß auf deine Lippe drückt,1
Laß mich in deine Arme sinken, / Und deines Athems Nektar trinken,1
laß mich in deine dunklen Augen sehen, / In deiner Augen schmerzensreiche Nacht;1
Laß mich keine Lieder singen, / Wenn du selbst mir nahe bist.1
Laß mich lieber in der Kammer, / Wo ich sitze, wo ich brüte!1
Laß mich lösen Deines Zweifels Fragen! / Nur die Hülle ruht im engen Haus,1
Laß mich mit meinem Weh, / Laß mich mit meiner düstern Gluth:1
Laß mich weinen, laß mich klagen, / Lebewohl muß ich dir sagen,1
Laß mich zum ersten Mal mit freiem Herzen / In deinen Armen reine Freude haben!1
Laß mich's gestehen, holdes Kind, / Wir Reimer und Poeten sind / Ein eitles Volk,1
Laß mich, du göttliche Natur, / In deinen Gärten spielen:1
Laß mich, Freundinn! du kennst der Gesetze / finstre Strenge; / Ernsthaft rufen sie mich fern aus dem zärt- / lichen Arm'.1
Laß mich, laß mich, Elfriede! schon sank die / Sonne hinunter, / Und die Dunkelheit wächst.1
Laß mich, o Doris! dem Gefühle, / Und dir ein Opfer weihn! / Die Muse dieser Kinderspiele2
Laß mich, sprach zum Friedhofsgärtner / Eine Rose, laß mich blüh'n,1
Laß mich, Tod, laß mich doch leben! / Sollt' ich auch wenig nur nützen,1
Laß mir den Winter, gieb mir Schneegefild, / Vereisten Wald und Winde, scharf und schneidend,1
Las Neider lästern hin und her, / Du seyst zu schwach, dein Amt zu schwer,1
Laß nicht dein Haupt sich allzuhoch erheben, / Nicht stets dein Aug' hinaufgewendet sein:1
Laß nicht sobald dir's mißgemuthen, / Halt, dein Kräfte frisch vereint;1
Laß nicht unsre Tage zählen, / Nein, laß uns sie genießen nur,1
Laß nicht, o heil'ger Gott, verderben, / Was ewig kann und soll bestehn,1
Laß nur die Sorge sein, / Das gibt sich Alles schon,1
Laß rauschen hin, laß rauschen her / Den wilden Strom der Zeit!1
Laß ruhen, was ruhet, / Im finsteren Grab, / Und trocknen die Zähren / Des Kummers dir ab!1
Laß schäumen, laß fließen die goldene Flut, / Gib, Knabe, mir sprühenden, glühenden Wein,1
Laß schäumende Becher, / Laß tobende Zecher, / O Freund bey dem Heerde im rauchigen Saal1
Laß schlichten den verworrnen Streit / Von künftigen Sorbonnen: / Ob des Jahrhunderts Anfang heut' / Ob vor'ges Jahr begonnen?1
Laß schnäuzen dich und putzen, / Du stolzes Unschlittlicht,1
Laß sehen, was der Herr Oheim weiter schreibt. Auch sollst du den Studiis fleißiger obliegen! Curioser Einfall!1
Laß sie flattern, laß sie rauschen, / Laß sie wild und lustig seyn!1
Laß sie gewähren, sie sind nicht so schlimm! Den eigenen Vortheil / Sucht ein Jeder, und du suchst ihn so eifrig, wie sie.1
Laß sie mir, o Libitine, / Meine Donna, laß sie mir!1
Laß sie stehn, / Schwesterchen, / Diese junge Rose!1
Laß sie, trauernder Jüngling, die düstre Miene, / der Schwermuth, / Laß sie den Bösen! Für dich ziemt ein Lächeln / sich nur.1
Laß spötteln der Spötter Schaar, / Sie lebt die göttliche Idee;1
Laß stets mich sein mit dem zufrieden, / Was du hiernieden mir beschieden,1
Laß still die Thräne rinnen / Auf deinem Heimatheerd!1
Laß uns auf den Hügel steigen, / Wo die schattige Platane sproßt;1
Laß uns auf der Wiese wallen, / Denn die Sonne scheint schon lau.1
Laß uns dem Baume leise nah'n und schweig', / Siehst du das Nest dort auf dem Blütenzweig?1
Laß uns den Augenblick genießen, / Sprich nicht von der Vergangenheit,1
Laß uns den Glauben halten / Auch in des Schicksals Nacht, / Und ritterlich uns kämpfen,1
Laß uns die Flinten doch in Ruh / An unsern Nagel hangen!1
Laß uns hier wegeilen, sagte der Jüngling, als er aufblickte nach dem überhangenden Fels,1
Laß uns in stiller Einsamkeit, / Rosalia, selbander wohnen; / Mit Rosen, so die Freundschaft streut,1
Laß uns in Zufriedenheit, / Freundinn! und in Mäßigkeit / Unsrer Hütte walten!1
Laß uns leben, mein Mädchen! Laß uns / lieben! / All der Lärm der gestrengen Herrn mit Runzeln1
Laß uns leise bekennen, / Daß wir uns kennen,1
Laß uns Lieb' um Liebe tauschen, / Laß uns Arm im Arme gehn, / Und in der Vereinung stärker1
Laß uns sterben, o du geliebte Freundin der Seele! / Fühlten wir nicht entzückt himmlischer Wonne Verein,1
Laß uns tanzen, laß uns schweben / In der Wonne Trunkenheit;1
Laß uns thätig durch das Leben geh'n, / Liebend in dem Kreis der Lieben steh'n,1
Laß uns um Dinge, die wir nicht verstehn, nicht streiten, / Nothwendigkeiten nicht machen aus Möglichkeiten.1
Laß uns, liebe Freundin! einmal einen Sprung thun, damit meine kleinen Belehrungen ja nicht das Ansehen eines systematischen Vortrags bekommen mögen;1
Laß uns, Muse, dort die rauheren / Thäler besuchen, / Und in einer Gegend von unsr'rer so sehr unterschieden,1
Laß untergehen, Freund, / die wandelnden Ge- / stalten, / Die bunt und irrend durch einander ziehn!1
Laß unvergoltne Liebe, Haß und Spott / Auf ihn die scharfgewetzten Pfeile drücken,1
Laß vom gift'gen / Drachenzahne / Deine Ehre / nicht benagen!1
Laß vor den Sonnen, die zum Ende schwanken, / Noch einmal einen Sturm des Lebens brausen.1
Laß zu Roß die Helden schweben, / Dichter trägt die klare Flut,1
Laß zweimal Dir zu essen befehlen, / Und eine Göttinn stellt sich Dir dar;1
Laß zwischen dir und deinem Schatz / Nicht eine Knospe nehmen Platz!1
Laß' ab, Blinder! die Wissenschaft lehrt nicht sehen, sondern besser sehen.1
Laß' fremd auch Elemente sein, / Der Himmel schließt sie alle ein;1
Laß' mich, Freund, in meiner Weise / Dir ein artig Liedchen singen;1
Laß' von deiner Sucht zu glänzen, / Mit dem Tand von Sammt und Seide1
Laß', Leben, nicht so wild die Locken wehen! / Es will so rascher Ritt mir nicht mehr glücken,1
Laß', Vater, dessen Allmacht röthet / Den Himmel, wenn der Morgen graut, / Zu dem die Seele brünstig betet,1
Laß, / Schriftgelehrter, mich hören, / Wie lauten geschriebene Bücher?1
Laß, Bester, es gesagt dir seyn! Genug der Reden! gehe!1
Laß, Freund, uns übernachten / In jenem Jägerhause, / Das uns entgegenklinget / Mit Geigen und Gesängen.1
Laß, geitzig auf die Augenblicke, / So uns der Geist des Lebens schenkt,1
Laß, Göttin Amors, Psyche, laß / Den Schmetterling entfliegen;1
Laß, Göttin der Liebe, ach! lasse mich hier / Nur leben, und lieben und sterben mit ihr.1
Laß, hehrer Aar, uns durch die Wolken dringen ! / Du bist der Stärkere, ziehe du voran!1
Laß, holdes Mädchen, laß uns freun! / Doch weise muß die Freude seyn,1
Laß, Memus, mir ein Lied gelingen, / Es ist ja dir geweiht,1
Laß, Muse des Waldes, ein Lied mir gelingen, / Die Freuden und Leiden des Grünrocks zu singen!1
Laß, o Julius! mich laut bekennen, / Was wohl oft dir schon mein Blick gesagt,1
Laß, o laß den Schleier sinken, / Trauteste der Himmlischen!1
Laß, o Myrth', aus grünen Schooßes Fülle / Deine Silberblüthen sich erschließen!1
Laß, o Venus, Paphos und Gnid's Mo- / narchinn, / Laß dein Cypern! Komm in Glycera's Hütt- / chen!1
Laß, Schneeglöckchen, du frost'ges, dich wärmen am / Busen des Gärtners!1
Laß, Turteltauber, dich fragen: / Was soll dein Girren und Zagen?1
Lasen Sie, was von des Lebens Bürden / Ich vor kurzem drucken ließ?1
Lass Dein Zagen, lass Dein Bangen, / Holde! Die mein Herz erkohr!1
Lass den Witz und die Welt, und weihe / dich, heilig zu glauben!1
Lass dich alles das nicht kümmern! / Halte Stand, mein alter Sinn!1
Lass dich den Tod nicht reuen Achill. Es / lebet dein Nahme1
Lass dich keine finstern Träume schreken, / Ahndungen und schmerzliches Gefühl1
Lass dich, o lieber Baum, begiessen, / Dass dir frölich die Blätter spriessen.1
Lass die Rose mir blühen. Warum zer- / knicket dein Finger1
Lass die Sprache dir seyn, was der Körper / den Liebenden;1
Lass mich, theures Weib! von deinen Lippen, / Wo die Amoretten lieblich wohnen / Und der Schönheit goldne Sprüche thronen,1
Lass nur, gute alte Amme, / Lass das stygische Gesindel / Mit Gehörn und Eulenschnäbeln / Über deinem Schornstein kreisen.1
Lass sausen den Wind! / Komm, Liebchen, geschwind!1
Lass uns fliehn, o mein Mädchen! es reg- / net, hier gibt es ja Häuser,1
Lass Veilchen verwelken / Und Rosen verglühn! / Noch duften die Nelken, / Und Lilien blühn.1
Lass walten und schalten / Die blinden Gewalten / Der finstern Natur!1
Lass' von meinem Liede Dich grüßen, / Reizendes Wesen, so fremd und - verwandt;1
Lass, Freund, um Jesu willen, Du / Den hier verschloss'nen Staub in Ruh, / Gesegnet, wer verschont den Stein, / Verflucht, wer rühret mein Gebein!1
Lasse Deine Tochter zwar recht einwurzeln und eingreifen in das wirthschaftliche Treiben;1
Lasse den lästernden Neid, er spricht sich stra- / fende Wahrheit:1
Lasse dich hier, vor zwey gleich großen Fehlern warnen, die beyde nur dem Pöbel verziehen werden können.1
Lasse die bitt're Arzney in der Krankheit nimmer dich / schrecken; / Haßt sie auch dein Geschmack, wird dir doch Hülfe durch / sie!1
Lasse dir des Lebens Tage, / Mensch, wie liebe Freunde sein, / Welche Bürde er auch trage, / Jeder tret' willkommen ein!1
Lasse ja dich, was du thust, / Nicht in deinem Tagwerk irren;1
Lasse meine Zähren fließen! / Zu gerecht nur ist ihr Lauf. / Lasse mich des Trosts genießen / Frische Gräber zu begießen!1
Lasse mich an's Herz Dir sinken, / Wunderschöne Gotteswelt,1
Lasse, Vernünftiger, Dich vom Schmerze / nimmer beherrschen,1
Lassen mußt du die Erde, das Haus und die liebliche Gattin, / Und was das Leben dir sonst Süßes und Reitzen- / des beut.1
Lassen Sie mich Ihnen auch folgende, von den betreffenden Personen in ihrer Wohnung zu Steinen selbst vernommene Geschichte mittheilen.1
Lassen Sie mich, Herr Armand, lassen Sie mich!1
Lassen Sie sich ja durch nichts aufhalten, nach der Residenz zurückzukehren, Ihre Gegenwarth ist nicht nöthig, Ihre Angelegenheit steht gut.1
Lassen Sie uns den vorhergegangenen schaudererregenden Auftritt der Natur mit einem angenehmen vertauschen. So schreckhaft jener war, so reizend wird dieser seyn.1
Lassen Sie uns einen Spaziergang machen, der Morgen ist zu einladend; gehen wir zusammen auf den Monte Pincio, sagte Vighi, ein römischer Maler, zu einem Dänen, der oft sein Studium besuchte.1
Lassen wir die Hoffnung nimmer sinken, / Wie des Schicksals Sturm uns auch verschlägt:1
Lasset den Kampf um die Scholle, laßt ab, erdsüchtige / Völker!1
Lasset die Freud' uns im Flug' erhaschen, / Eh' sie entschwebt!1
Lasset die Kindlein zu mir kommen! / So sprach der Herr, und freute sich der Frommen.1
Lasset die Rosenumkränzeten Stunden / Bei den ätherischen Schwingen uns fassen.1
Lasset Gelehrte sich zanken und streiten, / Streng und bedächtig die Lehrer auch seyn!1
Lasset heut, im edlen Kreis, / Meine Warnung gelten! / Nehmt die ernste Stimmung war, / Denn sie kommt so selten.1
Lasset mich so nach Hause gehen, / Eure Thränen nehmt sie zurück!1
Lasset mir die süßen Träume, / Die ihr Alles mir entreißt,1
Lasset nicht fruchtlos die Fässer euch winken, / Seht doch, die weise Natur / Ladet euch selber zum ewigen Trinken,1
Lasset uns die Freundschaft des - Affen suchen - sprachen die Thiere untereinander.1
Lasset uns die Freundschaft des - Affen suchen, - sprachen die Thiere untereinander. Es ist ein angenehmer, witziger und gescheidter Kopf;1
Lasset uns die Menschen lieben, bloß weil sie Menschen sind!1
Lasset uns Kränze von Immergrün winden / ewiger Frühling ist ihnen verliehn;1
Lasset uns zu Berge fahren; die Steige sind offen; zerfallen und todt liegt die Lauine im Abgrund;1
Lasset zur Kranken mich hin! Ihr wehret / mir? Ist sie gestorben?1
Lasset, o Götter der Lieb', o lasset zur Blume mich / werden,2
Lasst die Politiker doch sprechen, singt Freunde singt und seyd vergnügt,1
Lasst euch pflücken, lasst euch pflücken, / Lichte Blümlein, meine Lust. / Denn ihr sollet lieblich schmücken / Meiner schönsten Fürstin Brust.1
Lasst euchs nicht kümmern, ihr Guten! man / schilt euch wohl Imitatoren!1
Lasst Kränze der Schönheit uns winden, / und lieblicher wird sie erblühn;1
Lasst uns Blumen streun und trinken! / Mit den Rosen, mit dem Weine,1
Lasst uns fröhlich trinken / Alles Leid versinken / in des Kelches Grund;1
Lasst uns ruhig weiter bauen, / Nur auf Gottes Himmel schauen, / Wie er alle Sterne trägt,1
Laßt andre Blumen stolzer blühn, / laßt andre angenblendend glühn:1
Laßt auf dem Schiff' erschallen / ein frisches deutsches Lied!1
Laßt auf meinen Grabstein schreiben; / Essen, Trinken, Spielen, Lieben1
Laßt bange Sorgen nicht in diesen Saal herein! / Flieht, Freunde, Heucheley, und Wortgepräng' - / und Wein!1
Laßt Blondel, meinen Sänger, rief Richard Lö- / wenherz, / Herzu, daß er mit Tönen mir nehme meinen / Schmerz.1
Laßt das deutsche Lied erschallen / durch den weiten Dichterhain,1
Laßt das Wort uns geben heute, / Uns vom Trunke zu entwöhnen;1
Laßt Deinen Boden mich betreten, / Auf Deinem Schlachtfeld laß mich beten,1
Laßt dem Genie den Reim, dem Vogel sein / Gefieder.1
Laßt dem Schöpfer uns danken nun, / Der aus des Todes offnem Rachen / Entriß den Theuren, und aus langem / Schlummer mit Macht ins Leben rief,1
Laßt den Alten, / Gram und Falten: / Trinkt mit jugendlichen Trieben, / Was wir lieben.1
Laßt den Frühling uns genießen, / Eh' er noch vorüberfließt;1
Laßt den Glauben in Ruh, fest stehen Pilaster und Säulen, / Durch die Wölbung wirft huldreich der Himmel das Licht.1
Laßt den Janus-Tempel in eurem Hause beständig verschlossen seyn, und macht mit jedem Frieden,1
Laßt den Normann hold umfangen, / Blühend, von Parthenope,1
Läßt den Schmetterling der Knabe, / Den gefangen, darum fliehn1
Laßt den Staub erheben! / Gott ist unser Hort! / Aus dem Tod ins Leben / Gehn wir alle fort!1
Laßt den Wagen halten oder fahren! / Denn ich bleib' hier sizen! Dieser Stein1
Laßt den Weihgesang des Tags beginnen, / Der den Erstgeborenen geschenkt;1
Laßt der Jugend Sonnenschein / Brüder uns genießen!1
Laßt der Jugend Sonnenschein / Brüder uns genießen! / Laßt bei Sang, bei Tanz und Wein1
Laßt der Liebesgötter Rose / Uns vermählen mit Lyäos!1
Laßt des Lebens Sonnenschein, / Brüder, uns genießen!1
Laßt die muntern Hörner schweigen, / Rühmlich ist die Jagd vollbracht;1
Laßt die Politiker doch sprechen! / Singt, Freunde, singt, und seid vergnügt!1
Laßt die Politiker doch sprechen; / Singt, Freunde, singt und seyd vergnügt!1
Laßt die Rosse lustig springen! / Laßt die Helme scheinen!1
Laßt dir gnügen des köstlichen Nektars einzelne / Tropfen, / Die aus dem vollen Pokal zögernd die Liebe / dir träuft.1
Laßt doch den kleinen Zeitungskläffer, / Der schnakisch von der Brauchbarkeit1
Laßt doch, laßt doch, Brüder! Brüder! / Jeden dumm sein, wers sein will!1
Laßt eilends uns leben! / Denn sehet, es schweben1
Laßt Einen hoch die Osterfreude rühmen, / Und ihr gemahltes Ei!1
Laßt Eintracht stets uns üben: / mit Streit wird nichts vollbracht.1
Laßt es unbewundert, / All' ihr jungen Freunde hier, / Daß ich fröhlich bin, wie ihr!1
Laßt euch gefallen, liebe Frauen und Herrn, / Weil wir uns hier so frech zusammenfinden, / Ein kleines Spiel euch vorzuführen.1
Laßt euch pflücken, laßt euch pflücken, / Lichte Blümchen, mein Lust!1
Laßt euch pflücken, laßt euch pflücken, / Trauben blau und weiß!1
Laßt euch, ihr erzürnten Schönen, / Mit der Mäurerei versöhnen,1
Laßt fröhlich die Wimpel zur Heim- / fahrt wehn! / So schallte gebietend durch Thäler und Höhn / Der Heerruf im heiligen Lande.1
Laßt fröhlich mit dem Strom uns schiffen! / Wer erst nach Schicklichkeit, nach Zeit und Ordnung fragt.1
Laßt Fürsten ihre Kronen, lieben Brüder, / Laßt ihnen ihres Goldes Quark!1
Laßt Gottes Wasser über Gottes Lande laufen. / Wer mag des Himmels Schleusen stopfen?1
Laßt hoch das Singen gelten! / Wer will den Sänger schelten?1
Laßt ihm nur seinen Thatendurst! / Er kühlt ihn wohl mit Bier und Wurst.1
Laßt ihn fliegen, ob er in der kleinen Kirche flattert oder im All-Tempel; er predigt auch.1
Laßt ihr den kindischen Sinn, der Kleinen die Freu- / de am Kleinen;1
Laßt ihr gegen Großmauls Mucken / Nimmer denn ein Wörtchen drucken?1
Laßt im Morgenstrahl des May'n / Uns der Blume Leben freun,1
Laßt in Ruh' mein einsam Denken, / Laßt mich ganz mich drein versenken,2
Laßt in weltbürgerliche Zunft, / Uns jährlich Friedrichs Fest erneuern!1
Laßt Italien seinen Himmel, / Seiner Blumen Pracht-Gewimmel, / Und der Goldorangen Duft!1
Laßt jubelnd mich den Herbst begrüßen, / Des schönen Jahres schönste Zeit.1
Laßt Lautenspiel und Becherklang nicht rasten, / So lang' es Zeit ist zu der Jugend Festen.1
Laßt mein hohes Glück mich preisen! / Denn ich fand nach langem Reisen1
Laßt mich allein, verfolgende Gefühle / Von Zwang und Pein!1
Laßt mich aus voller Brust ein Lied erheben / Dem deutschen Mann, der für die Wissenschaft / Voll heil'gem Eifer eingesetzt sein Leben1
Laßt mich einmal vernünftig mit Euch reden, sagte ein junger braungelockter Bursche zu seiner Mutter, die in der Abenddämmerung auf ihrem ledernen Lehnstuhle saß1
Laßt mich einsam lauschen, / Wie mein Herz es will; / Wo die Bächlein rauschen,1
Laßt mich Euch freundlich bei den Namen / nennen, / Die jüngst Ihr führtet an Thaliens Fest: / Sophie, Luise, Hedwig und Alcest, / Und Du, den Neugier nimmer rasten läßt, / Du Wirth zum Bär, den alle Leute kennen.1
Laßt mich graben, laßt mich wandern / Meinen dunkeln stillen Lauf:1
Laßt mich in euren Zirkel, / Ihr unschuldvolle, naive / Geliebte, sanfte Musen;1
Laßt mich mit zwey Extremen scherzen! / Mönch! Sultan! kommt zur Muse her!1
Laßt mich rügen, laßt mich preisen / Mein erkornes süßes Lieb.1
Laßt mich sterben, laßt mich sterben, / Und vergehn im Abendroth!1
Laßt mich still im Schatten liegen, / Wo ein Bächlein murmelnd geht,1
Laßt mich weiter wandern, laßt mich scheiden! / Friedlich scheiden von des Lenzes Pracht,1
Laßt mich! Ihr Amoretten prahlt! / Oft, wenn ihr den Mädchenherzen strahlt, / Hat Plutus euren Sieg vollendet.1
Laßt mich, laßt mich die Stunden segnen, / Da mir in diesem Nebelthal / Aufging der Freundschaft Sonnenstrahl!1
Laßt mich, laßt mich niedersteigen / In den Wiesengrund, den jungen,1
Laßt mich, laßt mich! Ich will klagen / Fröhlich seyn nicht mehr!1
Laßt mich, Schäfer! Laßt mich fort! / Ach! Ihr könnt mir nichts verleihen1
Laßt mir den Schlummer, / Laßt mir den Traum! / Laßt mir der Fernsicht / Rosigen Saum!1
Laßt mir die Liebe, die mein Sinn erwählet! / Ich will euch nicht um eure Lust beneiden,1
Laßt mir die Rose, sie ist mein ganzer Reichthum, meine einzige Freude! rief halblaut ein schlummerndes Mädchen aus.1
Laßt mir doch ja den Herbst bei Ehren - schrieb Huldberg an seine Geschwister in die Heimath - oder rüstet Euch zu einer recht ernstlichen Fehde!1
Laßt mir mein Lied, mein schmerzlich süßes Sehnen, / Laßt meine Klagen mir und meine Thränen,1
Laßt nun alles stehn und liegen, / Wie es liegt und steht!1
Laßt nur den Apostaten ziehn! / Verlohren ist verlohren!1
Läßt Randolf nie die goldne Leier rasten? / Wie? Leier? Sprich doch Leierkasten!1
Läßt sich das verwünschte Leichengesicht denn schon wieder in meiner Nähe sehen? Mit diesen Worten wandte sich Graf Albrecht von Waldburg, ein junger Officier, zu seinem Begleiter1
Laßt sie nur toben, die Wirren der Tage, / Laßt sie nur rauschen, die Wage der Zeit!1
Laßt sie ruhen die treue Gehülfinn / Der Muse von Thabor2
Laßt sie schwimmen hier, die Todten, / Wo sie fielen in dem heil'gen Streit!1
Laßt sie stehn, die Gestalten, bunt und kraus, / Und zieht ihnen ja die Jäckchen nicht aus,1
Laßt sie, die träge Gemächlichkeit, Andern! / Andern das fette ergiebige Land!1
Laßt Smaragden und Sapphiren / Auch des Lebens Becher zieren,1
Laßt sodann ruhig die Gans in L***g und / G**a gagagen,1
Laßt unbeweint und unbesungen ihn / Aus diesen unsern Dorngebüschen nicht1
Laßt uns das Kind besehen, / Den Heiland aller Welt,1
Laßt uns das schöne herrliche Land, in welches der Genius der Geschichte uns izt führt, mit inniger Ehrfurcht begrüßen - es ist der erhabene Schauplatz der Freiheit und der Heldentugend1
Laßt uns den Priester Orgon fragen: / Wer ist der größte Mann?1
Laßt uns die Stirn mit Eichenlaube krönen! / Es ist der Jagd Symbol.1
Laßt uns genießen, weil wir leben; / Laßt trinken, wer noch trinken kann.1
Laßt uns harren, laßt uns hoffen / Auf das angenehme Jahr.1
Laßt uns Hymens Fackel schwingen! / Hoch zu seinem Preise singen!1
Laßt uns ihm gleichen! was unter sich die Zeiten / des Jahres,1
Laßt uns im Hüttchen bleiben! / Im Hüttchen ist uns wohl!1
Laßt uns im lauten Sang / Künden der Welt den Dank, / Den sich der Tanz errang / Als uns're Lust!1
Laßt uns jede Armuth ertragen, nur nicht an Tugend.1
Laßt uns Kränze winden / Zu der Jugend Spiel, / Auf den Wiesen finden / Wir der Blumen viel:1
Laßt uns mit Rosen ein Gespräch anfangen, / Sie sind auf unsern Fluren heut erschienen,1
Laßt uns nur hin und her, her- und hinüber meinen; / Wir werden uns zuletzt in einem Eins vereinen.1
Laßt uns Schwestern, nicht so stolz erheben / Unsrer Treue zarte Innigkeit,1
Laßt uns singen, Kameraden! / So enteilt der Weg geschwind, / Fröhlich tönt es, wenn Soldaten / Auf dem Marsche sind.1
Laßt uns tanzen, laßt uns springen! / Denn die wollustvolle Heerde1
Laßt uns trachten, laßt uns dichten / In der kurzen Lebenszeit!1
Laßt uns vereinigt, meine Brüder, / Vereinigt wirken Hand in Hand!1
Laßt uns vom Herzen freuen / Der holden Blüthenzeit, / Die, hell im Schein des Mayen, / Das frohe Jahr erneut.1
Laßt uns wandern frohgemuthet / In der schönen Gotteswelt, / Wo der Rhein so herrlich fluthet, / Und mit Gold die Traube schwellt.1
Laßt uns wandern in das Leben! / Ob die Pfades steil, ob eben?1
Laßt uns wohlthun, so lange wir können, und nicht müde werden, am Bau der Menschheit zu arbeiten, bis der unsrige bricht.1
Laßt uns wollen, was wir können! / Laßt uns wahre Menschen seyn!1
Laßt uns, / ihr Brüder, Weisheit erhöhn! / Singet ihr Lieder, feurig und schön1
Laßt zu mir die Kinder kommen! / sprach der Heiland aller Frommen. / Und er ist hinausgetreten / in die Hielge Natur1
Laßt, Beste! euch das Ideal / von einem edlen Weibe schildern,1
Laßt, Brüder, nicht ab mit Huldigungen! / Wir haben uns ihrem Schoß entrungen,1
Laßt, ihr Söhne meiner Mutter, / Die Kameele sich erheben!1
Laßt, o Wasser, Luft und Erd', in Chören / Singen diesem Tag zu Ehren / Eu'rer Völker weite Schaar!1
Lästern fördert euch nicht: es unterdrückt euch / die Schande,1
Lätare, das ist freue dich, / Drum freue sonder Reue dich,1
Latinus, des vergötterten Herkules Sohn, beherrschte die Aboriginer, die sich in der Folge nach ihrem König Lateiner nannten,1
Latoius und Paulus, zwey Brüder, durch / Eintracht verbunden / gingen das Leben entlang traulich auf einer- / ley Pfad.1
Latona sprach zu ihrem Sohne / Einst im geheimnißvollen Tone: / Ein Sterblicher wetteifert Sohn mit dir!1
Latour-d'Auvergne, gebohren zu Pontivy, in der ehemaligen Provinz Bretagne, weihte sich, von seinen ersten Jahren an, dem KriegsStande.1
Lau war die Nacht, aus Ost ein frischer Wind / Ließ hoch die Busen aller Segel schwellen.1
Lau weht der Hauch der schönen Frühlingsnacht, / Der Mond schickt seinen gold'nen Glanz hernieder,1
Laub bedeckt die Waldesräume, / Und die Nacht wird kühl und lang;1
Laub der Platane! / Backfische liefern Thränchen, doch ein Wallfisch1
Laub und Gras und Blumen decken / Wieder Anger, Wald und Flur,1
Laubender wurde 1764 zu Neustadt an der Saale im Würzburgischen geboren.1
Laubhüttenfest war wieder ins Land gekommen. Kluge Bauern in den benachbarten Dörfern mußten schon einige Tage früher aus ihrem Kalender erfahren haben, das die grünen Feiertage der Gasse bevorstanden1
Laue Lüfte säuseln, / Und die Wellen kräuseln, / Flüsternd sich im Meer;1
Laue Tropfen - warme Tropfen / Streut die Wolke erdenwärts!1
Laue Winde wecken dich. Entfliege / Deinem Kerker, der dich kalt umgab.1
Lauer Abenschein / Goß umher die Flammen; / Durch den stillen Hain / Gingen wir zusammen:1
Lauer wehen nun die Lüfte / Durch das Schnee entblößte Thal;1
Lauf ein in den Hafen, mit deinem lecken Fahr- / zeug, Nerine1
Lauf' ich jäh herab den Berg, / Stehst du da! / Stehst du da!1
Lauf'! lauf' zu retten hin, wo Feuersbrunst / entlodert;1
Laufe nicht zu sehr, Du Kleiner, / Denn ich komme Dir nicht nach!1
Laufet, laufet, ihr Hunde! sonst laufen die / Distichen schneller,1
Läuft die Kunst, liebe Theodore? / Nein, gute Mathilde.1
Lauft, so schnell ihr laufen könnt, / Denn hier liegt ein Recensent1
Launen hat eine jede Frau, / Und doch gleicht keine der Andern genau.1
Launst du, Gesell' ? Es rufet dir selber hier / dieser Pokal zu:1
Laura liebt den treusten Jüngling. / Doch seit lange schon / Ist der reinen, heitren Seele / Freud' und Glück entflohn.1
Laura wallt durch die Platanengänge, / Ihre Gottheit fühlt der Quell, die Flur, der / Hain.1
Laura weilt' im Abendgolde; / Lindor trieb die Heerd' am Fluß;1
Laura! in der herben Stunde, / Da der Trennung reger Schmerz / Laut mir in der frischen Wunde / Tobet, dankt dir noch mein Herz1
Laura! Welt und Himmel weggeronnen / Wähn ich - mich in Himmelmaienlicht / zu sonnen1
Laura! wenn die schnelle Seuche / Gift und Moder von sich haucht, / Und aus jeder neuen Leiche / Neue Kraft zumTödten saugt;1
Laura, die zum Quell der Wonne drang, / Deinem Blick war Sternenglanz gegeben!1
Laura, sieh, die Schwalben / Sind schon allenthalben / Munter,1
Laura, Sonnenaufgangsglut / Brennt in deinen goldnen Bliken,1
Laura, über diese Welt zu flüchten / Wähn ich mich in Himmelmaienglanz zu / lichten1
Lausanne wird mehr von Fremden besucht, als irgend ein anderer Ort in der Schweitz, und man betrachtet es als eine Stadt, die vorzüglich schiklich zur Erziehung junger Leute ist.1
Lausch' empor, mein zartes Himmelskind, / Liebelispelnd draußen geht der Wind,1
Lausche liebend meinem Saitenspiele, / Das des Herzens Töne wiederklingt,1
Lausche, schönes Kind! / Sieh die Sonn' entwichen,1
Lauschige Waldesruh / Nahe und fern, / Wie nur umfriedest du / Jeden so gern.1
Laut auflermend sind gedrungen / Mohrenkön'ge in Kastilien, / Fünfe sind der Mohrenkön'ge, / Bringen mit zahllos Gesindel,1
Laut aufwirbelte Trommelgetön zu des Heers General- / marsch,1
Laut braus't die Flut hinab durch's Thal, / Und bäumt und bricht sich tausendmal;1
Laut braust der Sturmwind in den Bäumen, / Die Nacht ist kalt und sternenleer,1
Laut einer obrigkeitlichen Urkunde, war im Jahr 1430 Ulman Meyer von Bremgarten auch von dem Rath zu Zürich; wie schon vorher in den übrigen Kantonen, mit dem Pfyfer-Königreiche belehnt worden.1
Laut erscholl die Glocke auf dem Vorsaale des Gräflich-Hohensteinschen Pallastes; schleunig stürzte die zahlreiche Dienerschaft herbei:1
Laut heulet der Sturmwind im luftigen / Haupt / Der zitternden Pappel; es rauschen die Wogen1
Laut heult der Sturm in wilden Ungewittern, / Der Regen strömt aus düst'rer Wolken Nacht,1
Laut heulten die Stürme, wild rauschte der / Regen / Das war nicht dem Fleischer, Hanns Tappzu, / gelegen,1
Laut hinrollt von den dampfenden Bergen / Der ehrnen Vulkane Todessturm,1
Laut jammerten am klaren Rudborn-Bach / Zwo Mägdlein. Thränen näßten ihre / Wangen.1
Laut müsse heut mein Wonnelied / Dem Saytenspiel entschweben.1
Laut rufen die Geigen / Zum fröhlichen Reigen, / Es locken der Säle weitschimmernde Kerzen;1
Laut schalle Lust / festliche Klänge! / Muntre Gesänge,1
Laut schallen die entflammten Chorgesänge, / In Lieb' und Andacht still Gebete glühen,1
Laut sprechen, auch gemahlt, die Züge des Ge- / sichts:1
Laut tönen der Lieder tausende / Dir, liebelnde Flöten und brausende / Harfen!1
Laut und vernehmlich thönt des guten Pfarrers / Zunge, / Die Brust ist stark1
Laut wehklaget das Volk nun um dich, o Frie- / derich Schiller, / Wie es den Lebenden einst tölpisch gehasst / und gelobt.1
Laut wie des Stromes donnender Sturz, / Freiheit! schall' über die Berge,1
Laut wiederhallt von ungezählten Chören / Der Gratulanten weit und breit die Luft.1
Laut will ich, entflammt von Lyäen, / Mein zweites geliebteres Ich, / Mein liebendes Bräutchen erhöhen,1
Laut wird’s im Dorfe, die Kinder in Schaaren / Froh vor den Thüren, sie spielen im Kreis,1
Laut, doch in unverstandnen Zungen / Kommt Well' auf Welle angeklungen,1
Laute Klagetöne schallen, / tiefe, bange Seufzer hallen1
Lauten Fluch läßt du erschallen, / Hirtenknab', ob deinem Vieh.1
Lautenklänge hallen leise aus des alten Schlosses Mauer; / Isabella läßt sie klingen, Widerhall der Seelentrauer,1
Lauter Beifall sey die einzige Belohnung, der einzige Dank, den die Zuschauer geben, und der Schauspieler annehmen darf.1
Lauter Gesichter, die so eben aus der Kirche kommen, sieben an der Zahl,1
Lauter vulkanischer Boden! Das Eingeweide der Erde / Brennt und siedet und wirft Schwefel und Flammen hervor.1
Lautlos ist's im weiten Kreise, / Süßer Ruhe freu'n sie sich; / Amoretten flüstern leise,1
Lautlos liegt sie da vor mir / Still und öd' die Heide,1
Lautplappernd pries die Morgenröthe / Ein Storch auf einem Kirchendach;1
Lautrauschende Feldhühnerkette, / Was fliegt ihr auf hier in die Wette?1
Lavater erschien auf dem Theater der Welt in keiner für ihn sehr günstigen Epoche. Seine Schwärmereyen, seine nur immer auf das Gefühl hindringende Eloquenz, sein zu glühender und fanatischer Glaube an neue Wunder der physischen und moralischen Welt,1
Lavater hat, wie leicht vorherzusehen war, eine Art Triumph durch einen großen Theil des nördlichen Deutschlands gehalten.1
Lavater setzte unsern Zollikofer und Spalding an die Spitze der Deutschen Kanzelredner. Er sprach lange mit Enthusiasmus von ihnen, und er hatte Recht.1
Lavater, in seiner schönen Rede, die man im vorjährigen Almanach ablesen kann, sagt bey Erwähnung dieser Auftritte des Entsetzens und Abscheues im republikanischen Frankreiche, eine sehr große und traurige Wahrheit: Der Mensch gewöhnt sich an Alles.1
Lavaters Apotheose im Maschlande! -- Was kann den Verehrern des Schöpfers - der Physiognomik angenehmer seyn, als dieses ihrem Helden geweihte Blatt,1
Le 25 Août 1778, le second bataillon du Régiment Prince de Prusse infanterie, formoit l'arrier-garde entre Burkersdorf 6 Traiutenau.1
Le beau et l'utile sont toujours dans les cervelles de nos gens deux idées incompatibles.1
Le célèbre Docteur Price a fait des recherches très-savantes sur la salubrité des villes.1
Le Château Electoral, avec ses superbes Salons, Peintures & Meubles1
Le coeur François n'a donc plus d'é- / nergie / Que pour l'horreur et pour l'atrocité;1
Le Corps a Baleine est une Vetement, qui se met immediatement par dessus la Chemise, & qui embrasse seulement le Tronc depuis les Epaules jusqu'aux hanches.1
LE Dieu qui subjugue les cœurs , / Tyrannise Apollon lui-même, / Et le poète, dès qu’il aime / Ne sait plus de l’Amour célébrer les faveurs.1
Le Globe terrestre a 7200 lieues de circonférence, en comptant 3000 pas géométriques, ou cinq pieds, pour chaque lieue.1
Le Lieutenant-Général de Moellendorf naquit en 1725 à Lindenberg1
Le Lieutenant-Général de Salenmon naquit à Danzig le 11. Juin 1710.1
Le Margrave d'Anspach-Bayreuth naquit à Anspach le 24. fevrier 17361
Le mauvais sujet heißt ein bekanntes Bild von Grenier St. Martin,1
Le mème artiste nous réprésente ici une des scènes les plus touchantes et mémorables de l'Italie.1
Le mémoire inopiné que j'ai reçu des nouvelles recherches de le M. Herschel qui réveillent l'attention de toute l'Europe a d´robé la place à quelques1
Le messager chargé de distribuer les affiches de comédie dans une des premières villes commerçantes de l'Allemagne, voulant aussi être auteur, publia une vie du fameux Schinderhannes;1
LE monde est plein de sottise et d’ennui; / On s’en éloigne, on cherche la retraite; / Mais est-on seul, bientôt on le regrette, / On ne peut vivre avec lui, ni sans lui.1
Le moyen de parvenir, ist ein Buch voll Geschichte und Einfälle, bei denen man weder Moralität noch selbst Anstand suchen muß.1
Le Mulet d'un Prélat se piquoit / de Noblesse, / Et ne parloit incessamment / Que de sa mère la Jument, / Dont il contoit mainte prouesse.1
Le Notre, der durch die Anlagen der Gärten zu Versailles, Sceaux, Clagny, Chantilly, Meudon, Fontainebleau1
Le Notre, dieser berühmte Schöpfer der Gärten Ludewigs XIV. und der französischen symmetrischen Gartenmanier,1
Le pauvre Nicolas, tout courbé sous le / poids, / D'un énorme fagot, s'en revenoit du / bois1
Le Phaéton d'une voiture à foin / Vit son char embourbé. Le pau- / vre homme étoit loin / De tout humain secours.1
Le Philosophie est-il en droit d'être amoureux? La question est plus interéssante pour le Beau-Sexe, qu'il ne le croit.1
Le plus grand Voïage sur mer est celui qu'on peut faire au tour de la terre.1
LE prêtre Laocoon, un jour en sacrifice, / Au souverain des mers offrait une génisse; / Deux énormes serpens partis de Ténédos, / De leurs vastes replis couvrent le sein des flots.1
Le Prince est assis sur le trône le coussin sur la tête, et le sac à laine. Falstaff, qui se dit déja lui-même sexagénaire, représente le Prince Royal.1
Le Prince et Poins concertent ensemble de ne pas être présens au pillage,1
Le Prince Li-Bou naquit dans l'une des îsles Pelew, que les Espagnols qui les découvrirent, nomment Palos.1
Le Prince survient, et la querelle devient plus violente.1
LE printemps ranime à sa voix / Des zéphyrs les molles haleines;1
Le roi Porsenna chercha en vain de rétablir les Tarquins chassés de Rome sur le trone renversé.1
Le soleil terminoit le cours de son voyage, / Et ses derniers rayons doroient mont et / rivage;1
Le son de Cloche d'Evernon / est ton, ton, ton, ton.1
Le Son de Cloche d'Evernon est ton ton ton ton1
Le Temps que le Soleil parait employer à tourner de la Terre, à cause du mouvement qui emporte celleci autour de son axe, si nomme, jour commun.1
Le Vaillant erzählt uns in seiner bekannten Reise ins Innere von Afrika, daß er, um der kleinen Vögel, ohne sie zu beschädigen, habhaft zu werden, seine Flinte nach Erfordern der Umstände bald stärker, bald schwächer mit Pulver geladen,1
Le vieux Squanderfield parait être allé trouver Guillaume le Conquérant, souche de sa race, et le jeune Lord êrre en possession du Bien qui lui reste.1
Leander ging am Morgen aus, / Und kam im Sprunge wieder nach Haus.1
Leander stand im Begriff, sich mit seinem Gegner über einen eben so weitläufigen als mißlichen Proceß zu vergleichen:1
Leander stürzt - der Kühne! -in die Wogen, / Bekämpft, entbrannt vom tiefsten Liebesglühen,1
Leander war ein Ehrenmann, / Den mancher lustige Kumpan / Mit fleißigen Besuchen ehrte,1
Leander's Themis ist eine Dirne / Mit wächserner Nas' und eiserner Stirne.1
Leandern borgest du Geld? Erspare dir die / Sorge, / Und schenk' es ihm,1
Leb woh, schön Clärchen, bald kehr' ich zurück / Zu Dir, Du traute Geliebte!1
Leb wohl am Stadtthor, alter Adler! / Es schaue her des Reiches Tadler,1
Leb Wohl ein Menschenfreund, der sich nicht seiner / Hunde, / Nicht ihrer Tugenden und ihrer Liebe freut?1
Leb wohl mein Lieb - mein Leben! / Mich leidet's einmal nicht;1
Leb wohl mein Spanien, süsses Vaterland, / Nie werd ich deine Fluren wiedersehen,1
Leb wohl mein stolzes Weib! Wir sind geschieden, / Getrennte Gatten wie es tausend gibt;1
Leb wohl! - bald schlägt die Abschiedsstunde, / bald flieht die letzte glückliche Sekunde!1
Leb wohl! Auf immer wohl! Du sanft entschlaf- / nes Jahr! / Von allen deinen hundert Tagen / Bleibt zum Vermächtniß uns nichts als Erinne- / rung!1
Leb wohl! Von meinen Lieben, / Von Flur und Feld, / Hast Du mich fortgetrieben / In weite Welt!1
Leb wohl, du liebes altes Jahr! / Leb wohl mit Freud' und Leid! / Du eilst zu deiner Brüder Schaar,1
Leb wohl, du Nest, / Ergraut und fest, / Im Zickzack um den Fels gebaut,1
Leb wohl, leb wohl, du Friedenszeit, / Nur nicht auf allzulang!1
Leb wohl, mein Lieb, mein herzig Lieb! / es schlägt die Abschiedsstunde. / Einen Kuß, einen heißen Kuß noch gieb’ / Mit deinem rothen Munde1
Leb wohl, o Wien! Drey Tage sind verflossen, / Und morgen Früh hält schon / Nicht Gott Apoll mit seinen Feuerrossen1
Leb wohl, und denke mein, wenn dir der Morgen / Mit frischer Gluth die junge Flur umstrahlt;1
Leb' wohl mein Kind, die Trommel geht / Wie? und so willst du scheiden?1
Leb' wohl! - du wankelmüth'ge Maid, / Leb wohl! - für's ganze Leben;1
Leb' wohl! auf ewig wohl! / Mein gold'nes Saitenspiel! / Muß fort aus meiner Einsamkeit, / Hinaus in's Weltgewühl.1
Leb' wohl! leb' wohl! du gastlich Haus, / Das muntre Horn erschallt.1
Leb' wohl! o lebe wohl! und blühe fort, / Du süße Blume! Mag Natur dich hüten,1
Leb' wohl, Berlin! leb' wohl, du Sitz der Freuden / Die Modeton und Luxus sich erschuf;1
Leb' wohl, du silbernster der See'n, / Von deines sanften Muilly's Reben,1
Leb' wohl, du trautes Dörfchen mein, / Es muß ja doch geschieden sein, / Weit über Land und Meer.1
Leb' wohl, du Ungetreue! / Zu Schiffe ruft auf's neue / Mich der Kanonenhall;1
Leb' wohl, Geliebte! ich muß scheiden; / Es treibt mich fort in Angst und Qual,1
Leb' wohl, leb' wohl, Du Traute mein, / Geschieden muß noch heute sein,1
Leb' wohl, mein Frankreich! theures Land! / Du Land so schön, so hehr,1
Leb' wohl, o schönste Fatme! Ich muß gehen; / Auch in der Ferne bleibt mein Geist dir nah'.1
Leb' wohl, o Wald, den die Natur / So dicht belaugt auf dieser Flur,1
Leb' wohl, Siona, und verzage nicht, / Weil für das Vaterland ich kämpfen muß;1
Leb, Theurer, wohl! der voll von edlen Gluten / So schöne Tage diesem Kreis' erschlossen!1
Lebe arm in dieser Oede, / Führe mit den Thieren Fehde,1
Lebe Meister Kneif, der Stille, / Der der Stadt als Schuster nützt,1
Lebe mit der ganzen Welt im Frieden / Und du öffnest dir das beßre Seyn;1
Lebe so glücklich, wie mein Herz es wünschet, / Und du würdig es bist!1
Lebe um zu lernen, lerne um zu leben1
Lebe von der Welt geschieden, / Und du lebst mit ihr in Frieden.1
Lebe wohl - Du fühlest nicht, / Was es heißt, dieß Wort der Schmerzen;1
Lebe wohl denn, traute Zelle, / Wo ich oft, geweint, gelacht,1
Lebe wohl Du theure Seele, / Die mein stilles Herz beglückt1
Lebe wohl! An deinem Hochzeitstage, / Holde, soll ertönen keine Klage,1
Lebe wohl! Du kleine, holde Spielerin! / Nimm für Deines Spieles süsse Zaubereyen / Diesen Kuß, und dieses Liedchen hin,1
Lebe wohl! in fernen Lande denk an mich, / Denke, auch am Donaustrande liebt man dich.1
Lebe wohl! Nie seh' ich wieder, / Die so kurz nur meine war,1
Lebe wohl! O Freund! wie bange klopft / mein Herz!1
Lebe wohl! und ist's auf immer, / Ach! auf ewig lebe wohl:1
Lebe wohl! Wir sehn uns wieder, / Jetzt erschwer' den Abschied nicht.1
Lebe wohl, du lieber Pilger, grüße mir den besten Strand, / Wo einst Franklin Weisheit säte, Washington einst / fechtend stand!1
Lebe wohl, du Mann der Lust und Schmerzen! / Mann der Liebe, meines Lebens Stab!2
Lebe wohl, du Preis der Lieder, / Lächle Tröstung mir hernieder,1
Lebe wohl, lebe wohl! mein Lieb! / Muß noch heute scheiden.1
Lebe wohl, schönes Jahr, / Das so reich an Freuden war,1
Lebe wohl, vergiß mein nicht! / Weit von dir, in Harm verlohren1
Lebe wohl, vergiss mein nicht. / Schenke mir dein Angedenken,1
Lebe, trinke, liebe, lärme; / kränze dich mit mir!1
Lebe, wie du, wenn du stirbst / Wünschen wirst gelebt zu haben.1
Leben besitzt Natur; ihr raubt die künst- / liche Kunst es.1
Leben erkennet dein Aug' in tausend Gestalten und Formen1
Leben heißt, ängstlich sich winden, / Suchen, und ewig nicht finden,1
Leben ist Liebe! das lehrest du, schöner Pha- / läne uns deutlich,1
Leben ist vom Berg geflossen, / Reben hatten sich erschlossen;1
Leben kann man nicht von Tönen, / Posie geht ohne Schuh, / Und so wandt' ich denn der Schönen / Endlich auch den Rücken zu.1
Leben Leute in der Welt / Immer gleich behaglich; / Alles ihnen wohl gefällt, / Nichts ist ihnen fraglich;1
Leben muss man und lieben! Es endet Le- / ben und Liebe!1
Leben schafft die Natur. Ihr ähnlich zaubert der / Künstler / In die bildende Form täuschend des Lebens Gestalt.1
Leben sey das Trauerspiel, sey Lustspiel: über die / Breter / Schreit' ich1
Leben Sie doch so, wie ich! / Sprach zum jungen Wüstling Stich1
Leben und zum Quell vom Leben / Leicht und lichtfroh sich erheben!1
Leben wir, lieben, meine holde Hielle! / Sey Epheu, das den theuren Stamm umschlungen,1
Leben! höchstes Glück der Erde, / Wenn das Herz in Wonne schwärmt;1
Leben, du gleichest dem Becher, dem goldenen, künst- / lich gebildet1
Leben, höre, du sollst mich verlassen! / Ich zernage mir, um ihn zu hassen1
Leben, was bist du? wer mag dich verstehen? / Freude wo weilst du? wer hat dich gesehen?1
Lebend empfängst du schon die Ehre, welche / der Britte erst nach seinem Tode geniesst;1
Lebend erlöst' und sterbend der göttliche Sohn / der Maria / Vom buchstäblichen Tod durch den beseelenden / Geist.1
Lebend noch exenterieren sie euch und seid / ihr gestorben,1
Lebend ward ich versteint von den Himmlischen; / aber aus Steine1
Lebend wast du des Mannes untrennbare treue / Genoßin, / Unter Waffengetös',1
Lebendig schwebt vor meiner Phantasie / Der Festtag noch, der uns vom Lager körnte,2
Lebens mühen, ihr zählt sie zu Hauf und beseufzet / die schweren,1
Lebensfrische bis in das höchste Alter - wie glücklich, wer sie zu bewahren weiß! Noch im siebenzigsten Jahre bei einem Nachtritt von sieben Meilen nicht einen Augenblick aus der kerzengeraden Haltung zusammenfallen,1
Lebensfunke Himmelaus / Laß, o laß dein Erdenhaus1
Lebensfunke! Himmelsstrahl! / Auf verlaß dies Todesthal,1
Lebensfunke, vom Himmel entglüht, / Der sich loszuwinden müht!1
Lebensfunke, vom Himmel erglüht, / Der sich los zu winden müht.1
Lebensodem wehet wieder: / Alles zeigt des Frühlings Spur.1
Leberecht, ich sage Dir, einen wahren Schatz habe ich heute empfangen. Stelle Dir vor: mein guter Stern führt mich ein Werk in die Hände, durch welches alle Witterungstheorie erschöpft ist.1
Lebet wohl, ihr schnell verflossnen Monden, / Lebe wohl, du liebes, frohes Jahr!1
Lebewohl! - gebroch'nen Herzens fleh ich / Gott für Dich um seinen Segen an,1
Lebewohl! auf Erden hoffnungslos / Muß uns're Liebe sein ...1
Lebewohl! Die Sterne winken, / Und das Schicksal will es so;1
Lebewohl, du kleines Zimmer / Meiner Arbeit, meiner Ruh' / Lebewohl, und bald für immer, / Flüstert mir die Ahnung zu.1
Lebhaft schwebt mir unter den Erinnerungen aus meinen Knabenjahren das Bild eines Mannes vor, der für viele Menschen etwas Unheimliches haben mochte.1
Leblos ist das Bild der Matten; / Als dich sahn die Bildersäle, / Floh von jedem Bild die Seele / Als ein Schatten.1
Lebst Du noch, o Du die tausend Zähren / Schönen Augen ausgepreßt?1
Lebt denn die Treue nicht mehr, die einst / vom nächtlichen Eichwald / Liebend dem Deutschen gesellt folgt in das / Leben hinaus?1
Lebt denn wohl, ihr dumpfen Narren! / Endlich lächelt mir das Glück.1
Lebt der Mensch zu seinem Glücke, / Lebt der Mensch zu seiner Qual?1
Lebt die Seele ewig, so ist Sterben1
Lebt ihr noch, Götter? Oder schlummert ihr? / Du alter Donnerer vom Capitol!1
Lebt jetzt, so viel wir wissen, für sich in Berlin, und befriedigt auch für seinen Antheil, all die großen Erwartungen, zu denen der Nahme Bach berechtigt.1
Lebt noch das Bild von jenen flücht'gen Tagen, / Als uns hinab des schönen Rheines Fluthen1
Lebt wo in Lust und Eingkeit / Ein fromm und fröhlich Paar, / Das ist dem bösen Feinde leid, / Und seiner höllischen Schaar.1
Lebt wohl, entfohne Stunden / Der Jugendzeit!1
Lebt wohl, ihr Blumen nun, / Lebt wohl, und grüßt den Lieben!1
Lebt wohl, ihr Freunde! Sehn wir uns / Vielleicht zum letztenmal,1
Lebt wohl, ihr Hallen, ihr geliebten Höhen, / Mich treibt hinaus des Geistes Machtgebot.1
Lebt wohl, ihr Lieben! Zeugen meiner Leiden. / Und meiner Freuden auf dem Erdenrund.1
Lebt wohl, und grüßt ihn noch, ihr meine Zeilen, / Ihr Glücklichen, ihr kommet doch zur Stelle!1
Lebt' einst ein Mütterlein, das war mal klug, / Doch leider noch nicht klug genug.1
Lebt' ich in goldnen Feenzeiten, / Wo dann und wann Urgande kam,1
Lebten wir in jenen Tagen, Als die Ritter frei und frank / Minnepfand und Ehrendank1
Lebwohl, geliebte Vaterstadt; / Doch nur auf kurze Zeit!1
Leb’ wohl! O heißt das: niemals mehr / In’s Aug dir seh’n und mit Entzücken / Das Haupt in deine Hände drücken – / Dann wäre sterben minder schwer!1
Lechzend saß ich an dem Bache, / Denn so herrlich floß der Quell,1
Lechzest so, mein Blumenland! / Harrst, in Sonnengluth gelegen,1
Lectionis varietas, / Die ist vor alllem reichlich:1
Ledig seyn macht Sorgen, / Lieber heut als Morgen / Nähm' ich einen Mann.1
Leer sind noch die Blumenbeete, / Alle Blüthen schlafen tief;1
Leer sind nun eure Kirchenwände! / Stört nun kein Bildniß mehr die Logen und die / Stände?1
Leer stand das Haus der Lieder und Gesänge, / Die muntern Scherze schwiegen,1
Leere Fässer sind trommelartiger Natur: sie lärmen nur desto stärker,1
Leg' an und laß die Schwingen schwellen, / Du bunter Hafenschmetterling,1
Leg' mir die Händ' auf meine Augen, Kind! / So! - wie das kühlt! sie sind so lieb und lind;1
Lege alles auf den Tisch, und nun schnell einen Stuhl, einen recht bequemen Armstuhl; ich bin ganz athemlos!1
Lege dich ruhig schlafen, Herzensbezwinger, und stilles Lenzenlüftchen säusle friedlich über deinen Blumenhügel hin!1
Lege die zierlichen Finger, o du mir dienstbare Muse, / Die zu singen du nicht, aber zu schreiben, verstehst,1
Lege mir alles zurecht, Lisette. / Da liegt schon Alles. / Warum so verdrießlich? / Ei soll man nicht verdrießlich werden?1
Legt ab das schwere Bündel, Gesell; / trinkt hier in schattiger Laube!1
Legt den Helm, das breite Schwert / Still nun ab, der Helde werth,1
Legt ein großes Scheit zum Heerde, / Daß mir's warm und munter werde!1
Legten wir was irgend Menschen preisen: / Bärt' und Mäntel aller sieben Weisen,1
Lehmann in seinem historischen Schauplatze der natürlichen Merkwürdigkeiten im Meißnerischen Obererzgebirge erzählt (S. 188) ein Mährlein,1
Lehn' Dein Haupt an das meine, komm, reich' / mir die Hand,1
Lehn' deine Wang' an meine Wang', / Dann fließen die Thränen zusammen;1
Lehne Dich auf meine Schulter, / Bruder! der Du schwach und krank!1
Lehnst du deine bleichgehärmte Wange / Immer noch an diesen Aschenkrug?1
Lehr' mich, fleht ein Töne-Dichter, / Flora! doch: was Liebe sei!1
Lehre mich, duftende Rose, dein stilles beglückendes / Wohlthun1
Lehre mit Fleiß, mit Geschick, und hoffe geduldig / auf Segen, / Siehest du nicht sogleich mildes verbreitetes Licht:1
Lehrend wollt ihr erfreun: wie trefflich! Eines nur / bitt' ich, / Treibt, Leichtsinnige, nicht Spott mit der Menschen- / vernunft:1
Lehrer an der Stadtschule zu Halberstadt. Eben der, welcher den Moliere mit Auslassung aller verliebter Szenen herausgegeben hat.1
Lehrer der neuern Sprachen am Berlinischen Gymnasium, war zu Brüssel am 24. August 1777 geboren.1
Lehrer der Weisheit, ihr lehret gewiß uns trefliche Dinge: / Lehret nur wieder auch das, was ihr gelehret, verstehn!1
Lehrer. Das sechste Gebot, welches ich euch jezt erklären will, gehet zwar mehr die erwachsenen Personen, als euch Kinder an, denn das Laster, das hier verboten wird, üben hauptsächlich die grossen Leute aus.1
Lehrer. Kinder! Ehe ich über diese Stelle weiter mit euch reden kann, muß ich einiges, das ihr nicht verstehen werdet, vorher erklären.1
Lehret! Das ziemet euch wohl, auch wir / verehren die Sitte,1
Lehrjahre schilderst du uns? Was haben sie / ihn denn gelehret?1
Lehrreich ist, wenn sich die Knospen spalten, / Lehrreich ist ein Todtenfest im Mai!1
Lehrt mich Zeno, stolz zu leiden, / Epikur, mit Lust zu lieben:1
Lehrt! Verurtheilt! Unterbrechet frey / Die Präscription der Barbarey!1
Leib Seel' und Geist und Herz und Magen, / Natur und jedes Element1
Leib und Seele, sind zwei Feinde, die sich nicht lassen,1
Leib-Garde-Regiment, dessen Standquartir Hannover. In welchen Zeiten zuerst Leibgarden errichtet worden, läßt sich nicht bestimmen,1
Leibhaftes Bild des Märtyrers der Wahrheit! / Dich tödete, wie ihn, der Drang nach Klarheit.1
Leibhaftig soll der Herrr an allen Enden / Im Abendmahl zugegen seyn?1
Leibharfenspieler der Königinn von Frankreich. Ein Mann, gegen den König David zuverläßig nur Stümper war.1
Leibnitz kam zu früh für seine Zeiten; und damals / Lebte doch der und der Deutsche, so über ihm / war,1
Leibnitz, der Deutschen großer Philosoph, / Der größten einer europäischer Geister,1
Leicht befriediget gerne gesammelte Herzen der / Winter, / Wenn er zur Stille sie zwingt und mit der / Ruhe sie paart.1
Leicht bist du zu so viel Verstand gekommen, / Du hast uns schlau den unsrigen genommen1
Leicht durch Waldungen streicht der Wind, / Spielt am Busen der Wogenfluth;1
Leicht ehrest du der himmlischen Allmächtigkeit. / Wo du auf Erden walten siehst Gerechtigkeit.1
Leicht entbrennt im Zorn der Jüngling; / Was mag dann sein Feuer dämpfen?1
Leicht flattern Worte her und hin / Nicht immer gleich verweht ihr Sinn.1
Leicht herab in Strahlen-Tropfen / Regnet bleiches Mondenlicht,1
Leicht ist ein Sumpf zu verhüten, doch ist er ein- / mal entstanden, / So verhütet kein Gott Schlangen und Molche in ihm.1
Leicht ist's mit Salomo entsagen, / Weil alles Erdenglück nur Schein,1
Leicht kommen zwar Verliebte darauf, einander zu schmollen, / Un oft wird zu Genuß zärtlicher, grilliger Traum.1
Leicht lass' ich in Entbehrung mich verführen / Zu stolzem Wunsch, verwegenen Gedanken,1
Leicht magst Du Gott in Dir selbsten erkennen, / Fehlet Dir nimmer ein liebend Gemüth!1
Leicht sei euch die Erd', ihr Schlummernden! / Ruhet und schwebet ein1
Leicht sind die ersten Sylben zu ergründen, / Ihr dürft euch nur vier eitle Nummern mahlen;1
Leicht triumphirt die Philosophie über vergangene und zukünftige Uebel; aber gegenwärtige triumphiren über die Philosophie.1
Leicht und leise schwebt die Schwalbe über rosenklaren / Gründen, / Lenz und Liebe wie ein Priester allem Volke zu ver- / künden;1
Leicht und zart, wie Dunst gewoben / Hebts des Zephyrs leichter Hauch;1
Leicht verwelklich sind die Freuden / Dieses armen Erdenlebens, / Gleich den Blumen auf der Haiden, / Gleich den Blumen in dem Kranz.1
Leicht Verwundungen dieser Art reinigt man mit frischem Wasser, am besten geschieht dieß vermittelst eines Badeschwammes,1
Leicht war der Schlummer und süß, da weckte die Morgenröthe / Hell mit unsterblichem Licht mich von dem Lager / empor,1
Leicht wie Blühenstaub flattert' ich sonsten / von Jüngling zu Mädchen;1
Leicht wie die munt're Schwalbe / Zog ich nach Gutenstein,1
Leicht wird Hermes gespeist: er nimmt, ihr / Hirten, mit wenig / Süßer Milch und des Baums rinnendem / Honig vorlieb.1
Leicht zu sättigen ist, und unersättlich, die Liebe. / Wochen und Monden lang genügt ihr ein einziger / Blick2
Leicht, von Ätherduft getragen, / Zieht des Tages Königin / Auf dem hellen Sonnenwagen / Unter blauem Baldachin.1
Leicht, wie das Nebelgewand vom Felsen, flie- / hen die Freuden,1
Leicht, wie der Vogel aus dem Käfich, flog ich in meiner offenen Landauer Chaise aus den Thoren von D**,1
Leicht, wie des Dichters goldne Träume / Durchziehe ich die Frühlingsluft,1
Leicht, wie Hauche des Abendwinds, / Schwebe leicht, mein Gesang; sanft, wie des / Liebenden / Kuß von Lippe zu Lippe schwebt!1
Leichte Lüfte, linde, süße, / Wehend sanft im Haine, / Bringt ihr von der Liebsten Grüße, / Oder holt ihr meine?1
Leichte Stutzer spielen / Lachend mit Gefühlen, / Hauchen süßes Gift;1
Leichter Flaum, in den die schönsten Glieder / Weichbegränzt die leise Spur gedrückt,1
Leichter lernt ein Mensch, als ein Staat, sich selber kennen;1
Leichter noch ist es, den Druck des widrigen / Glückes zu tragen,1
Leichter Schlummer, obwohl des Todes ge- / treues Abbild: / Dennoch verlangt mich nach dir,1
Leichter und süßer ist mir doch keine Bürde wie diese; / Wo der Geliebten Arm innig am Liebenden hängt.1
Leichter wird es dem thatenbegierigen Manne im Staate, den Stürme bewegen, über die Menge hervorzuragen1
Leichter, fröhlicher Sinn belebt das Todte im Leben, / Aber der Leichtsinn giebt jeglichem Leben den Tod.1
Leichtes Herz und freier Sinn, / Strömt in süße Laute hin,1
Leichtlich findet den Weg durch's offene / Fenster die Wespe,1
Leichtsinn ist ein Feind der Jugend, / Schnell erstickt er jede Tugend1
Leichtsinnig hat Myn Heer das Bürgerblut vergossen / Und schönste Städte ruinirt:1
Leichtsinnig, wild, dem lockersten Wüstling gleich, / Verübt' ich toller Junge so manchen Streich,1
Leid der Liebe, Todesschmerz! / Wer hat dich so recht empfunden,1
Leid droht und Kümmerniß dem Schedel / Des Mannes, der nach Weltlust hascht,1
Leid ist's mir um euch, o Conde, / Dass ihr sterben müsst sobald,1
Leiden birgt die enge Kammer, / Leiden birgt das weite Haus;1
Leiden mit Wonne gemischt, der Verlust durch Freuden der Rückerinnerung, Widerwärtigkeiten durch den Stolz unsrer Gegenkräfte zum Genusse der Seele gemacht, ist der Karakter des Lebens.1
Leiden war ich euch und Freuden / Zu beschreiben unverdrossen.1
Leidender Alter, du klagst nicht Einem die Leiden der / Blindheit!1
Leidenschaft ist ungerecht und eigennützig,1
Leidenschaft macht oft den gescheidesten Mann zum Tropf, und den größten Tropf zum gescheiden Mann.1
Leidenschaft nennt man mit Recht das Feuer im / Busen des Menschen;1
Leidenschaften allein setzen die Seele in Bewegung;1
Leidenschaften sind die einzigen Klippen, an denen unsere beste Philosophie scheitert.1
Leidenschaften sind die Winde, die unser Lebens-Schiff forttreiben;1
Leidenschaften und Vorurtheile sind gefärbte Brillen;1
Leidenschaften, Hochgefühle, / Herzbedrängniss, Weltgewühle, / Was den Dichter bringt in Regung,1
Leidenschaftlich im Pflanzensuchen vertieft, überfiel mich zu Ende August die Nacht,1
Leidenschaftliche Liebe kennt keinen Stillstand. …1
Leider hat bis diese Stunde / Mir kein wahres Glück geblüht,1
Leider muss ich Ihnen, verehrtester Freund, schriftlich für Ihre gütige Erinnerung, die mir Herr Reinick überbrachte, danken; ich hatte gehofft, mich Ihnen persönlich im Herbst überbringen zu dürfen.1
Leider sehen wir uns wieder genöthigt, wenn im Gebiete der Oper von Kunstwerken die Rede ist, welche auf den vorzüglichsten deutschen Bühnen heimisch geworden sind1
Leider von mir ist gar nichts zu sagen, auch / zu dem kleinsten / Epigramme bedenkt!1
Leider! muß ich gestehen, daß ich selbst eine ziemliche Zeit mit dem Laster sehr vertraut umgegangen bin, wider das ich jetzt die Feder ergreife.1
Leidest schuldlos du im Kerker - / Dulde und verzage nicht,1
Leidet die Ehre Noth, so geht ein Stich durch die Seele; / Sieht man auch nicht das Blut, schmerzt doch das / wunde Gemüt.1
Leidlich hat Newton gesehen, und falsch / geschlossen, am Ende.1
Leier, töne: / Meine Schöne! / Wie sie, schön und klein, / soll das Liedchen seyn.1
Leih' mir die Glut aus deines Blickes Flammen, / Wenn einsam ich, für meines Abends Frost;1
Leihn Sie mir einmal ihr Ohr! / Tantchen! ach, ich kann im Leben1
Leila d.i. die Nacht, die schwarzbraune Beduinin, die Geliebte von Kais, welcher aus Liebe zu ihr rasend, das morgenländische Vorbild des Orlando furioso, ist auch uim Abendland durchdie von Chezy herausgegebene Uebersetzung des Gedichts Dschami's,1
Leinwand bleicht ein Scutarisches Mädchen / Unter Scutari's erhab'nen Mauern,1
Leipzig, Druck von Hirschfeld1
Leipzig, Druck von J. B. Hirschfeld2
Leipzig, gedruckt bei J. B. Hirschfeld2
Leipzig, gedruckt bei J. G. Neubert1
Leipzig, gedruckt bey Christ. Friedrich Solbrig1
Leipzig, gedruckt in der Sommerschen Buchdruckerei1
Leipzig, gedrukt bei G. D. Schulze1
Leipziger Schlacht / Feiern wir frei auf den Höhen;1
Leis flammt es auf im Osten, / Der neue Tag erwacht, / Der heut' dem Dichtergreise / Ein neues Jahr gebracht.1
Leis' entschläft auf stiller Flur / Die Nacht am Busen der Natur;1
Leis' umschweben, Hell umbeben / Uns des Abends Rosengluthen;1
Leis' und heimlich lispelt die klare Welle über den plattgespülten Kieseln heran. Kastanienblüthe weht nieder auf mich. Links dehnt das blaue Juragebirg sich über den bläulichen Fluthen.1
Leis, wie der jungen Nachtigall / Furchtsames Lied zur Mitternacht, / Schwingt sich mein Lied, des Jünglings / Lied, / Zu dir, o Sined, auf.1
Leise athmen rings umher die Leben, / Träumen gleich der Seligen, umschweben1
Leise auf zierlichen Füssen giengen wir Abends / um sieben / Hin in den Göthischen Klub,1
Leise beschreitet, wer fühlt, die mäandrische Krüm- / mung des Gartens / Säumt auch March' und Gebüsch etwa des Wan- /delnden Fuß.1
Leise dankt mein Herz / Bei der Menschheit Schmerz1
Leise Fuhrmann, still und leise / Fahr' in diese Schlucht hinein!1
Leise gewiegt, in schwankender Barke, saßen Orlando und Leonhard Arm in Arm dicht nebeneinander,1
Leise glitt eine reich-geschmückte Gondel über den Plöner See hin, auf der sich, wie es schien, eine vornehme Gesellschaft zusammengefunden hatte.1
Leise graut' es nur im fernen Osten, / Manches Leben ruhte noch so süß;1
Leise hab' ich manches Lied gesungen, / Heil'ges Vehmgericht!1
Leise hauchen Abendwinde / Säuselnd durch die hohe Linde1
Leise hernieder gelockt von den trauten Gespie- / len im Himmel, / Sah er Dir freundlich in's Aug',1
Leise kräuselt sich die Welle, / Murmelnd fließt sie auf und ab;2
Leise Lüfte wallen, wehen / Über die geschmückte Flur,1
Leise schlummertest du mir einst am Busen, so leise, / Daß dich mit flüsterndem Hauch weckte der na- / hende Kuß.2
Leise schwimmend auf den Saiten / Wiegt sich die Melancholie,1
Leise segelte mein Nachen / Bey des Morgensterns Erwachen / Auf des Lebens Strom dahin:1
Leise spielt des Westes Flügel / Durch das dämmernde Gefild,1
Leise sprach der Gott der Liebe / Zu der Göttinn seines Herzens,1
Leise töne der Brust, geweckt vom Odem der Liebe, / Hauchet zitternd hinaus,2
Leise verhallen die lang gedehnten Fanfaren der kaiserlichen Jagd im Walde, der sich an den Park von Sarskoe Sélo schloß, jenen Lieblingsaufenthalt der gepriesenen Katharina der Zweiten.1
Leise verhallten die lang gedehnten Fanfaren der kaiserlichen Jagd im Walde, der sich an den Park von Sarskoje Seló schloß,1
Leise wallt die Abenddämmrung nieder, / Und der Stern der Liebe hebt sein stra- / lend Haupt,1
Leise webet Geheimnis um dich, ein Gött- / liches ahnet / Aus der Natur dich an, die sich vernichtet und schafft.1
Leise weht ihr Athem; wie freundlich senkt / auf die Augen / Süßer Schlummer sich!1
Leise wiegst du dich hin, lächelnder Spie- / gelstrom, / Leis' und lieblich,1
Leise woget auf und nieder / In dem heitern Himmelsblau, / Spielend mit dem Abenthau / Süßer Engel zart Gefieder.1
Leise zieh'n mit gold'nen Schwingen / Sternlein über mir die Bahn,1
Leise, laue Lüfte wehen / Ueber Thal und Hügel.1
Leise, leise, loses Mädchen, / Daß Euch Keiner überrasche,1
Leiser Müke! Die guten Könige schlafen nur / wenig!1
Leiser scholl mein Gesang in des Klaviers / schmachtenden Silberton;1
Leiser Tritt durch's stille Haus, / Fern ist er, der sie bewacht.1
Leises Hoffen zog mit raschen Schritten / Von dem Ort, wo meine Furcht entwich,1
Leises Regen in den Zweigen, / Keine Lust doch reg, kein Gras;1
Leite mein Gang mich seitwärts oft in die Hütte des Landmanns,1
Lelio, ein junger Florentiner von ausgezeichneter Schönheit, war Handelsgeschäfte halber oft in Neapel,1
Lenardo gab, in Lieb' entbrannt, / Der schönen Lilla seine Hand1
Lenchen bekam von der grämlichen Tante alle Tage Schelte, und nicht immer ohne Grund, denn was nur der ausgelassene Muthwille ersinnen konnte, das setzte das lebenslustige, wilde Ding ins Werk;1
Lenkerinn meines Thuns sey du, o weise Natur! / selbst; / Laß mich in jedem Menschen dein heiliges Wesen ver- / ehren.1
Lenore fuhr um's Morgenroth / Empor aus schweren Träumen:1
Lenore fuhr ums Morgenroth, / Empor aus schweren Träumen.1
Lenore ist wohl zu beneiden, / Nun erst genießt sie alle Freuden,1
Lenz ist nah! in Flur und Thalen / Sproßt das erste, milde Grün,1
Lenz und Sommer fliehn behende , / Freude zeichnet ihren Lauf; / Doch nach ihrem schönen Ende1
Lenz und Sommer sind vergangen, / Ros' und Lilie sind verblüht,1
Lenz! wann kommst du wieder, wann? / Sprengst des Winters Bande?1
Lenz, wie bist du doch so schön! / O, ich möchte dich umfassen,1
Lenze kamen, Lenze gingen, / Und mit ihnen manches Glück;1
Leon und Castilien waffnen, / Aragonien, Catalonien, / Und Galizien und Asturrien / Hängen Kriegsfahnen aus;1
Leonardo gab in Lieb' entbrannt, / Der schönen Lilla seine Hand,1
Leonore sei veränderlich in der Liebe? O das ist nicht Veränderlichkeit, sondern Gewohnheit.1
Leonore und Auguste, sie waren Schwestern, wurden allgemein zu den schönsten, tugendhaftesten, und was jetzt bey der jungen, bisweilen sogar auch bey der ältern männlichen Welt nicht weniger bedeuten soll, zu den reichsten Mädchen der Stadt gezählt,1
Leopold der Erste (Georg, Christian, Friedrich), König der Belgier, der Sohn des Herzogs Franz von Sachsen-Coburg1
Leopold III., der Schöne, ein Sohn des Tapferen, Markgrafen von Österreich, folgte im J. 1075 dem Vater in der Regierung.1
Leopold von Österreich, welcher seinen Heldentod in der Schlacht bei Sempach fand, lud im Jahre 1376 seine Ritter und Edlen auf einen Karneval nach Basel.1
Leopold, Prinz von Braunschweig-Wolfenbüttel, Chef eines Preußischen Infanterie-Regiments zu Frankfurt verdient unter den wahren Menschenfreunden eine der ersten Stellen.1
Leopoldine mit Gasellenaugen, / Kommst du vielleicht vom Moschus-Hirschenland?1
Leporello / Gebt Pardon, großmüth'ge Seelen! / Ich will alles euch erzählen!1
Leporello. / Herr Gouverneur zu Pferde … / Ich beuge mich zur Erde1
Leporello. / Schöne Donna! Dieses kleine Register / Giebt von einigen Herzensgeschichtchen / Meines Herrn einen kurzen Prospektus…1
Lerche du bist ein springender Quell! / Auf zum Himmel mächtig schießend,1
Lerche, sprich, wo weilt mein Lieber? / Flogst du nicht an ihm vorüber?1
Lerche, wie schmetterst du fröhlich und frei, / Lockest den Frühling, die Liebe herbei!1
Lerchen wirbelten hoch, im Haine sang Philomele,1
Lerchengewirbel verkündet mir freundlich den nahenden Morgen. Auf meine Seele!1
Lerchentanne, Lerchentanne, wer dich pflanzte sollst du / sagen:1
Lern' aus jeder meiner Spuren, wenn du / Lehre fähig bist,1
Lern' ein ehrlich Handwerk treiben, / Laß das Versemachen bleiben, / Das, mein Sohn, zu dieser Frist / Ein unehrlich Handwerk ist.1
Lern' ich Logik zuerst, was räthst du, lern' ich / Aesthetik?1
Lern' ich wirklich nun mich kennen! / Hätt' es nimmermehr gedacht,1
Lern' zu tragen; lerne, wie und wann! / Der sucht die Freud' umsonst, der Mühe scheut.1
Lern, daß nichts selig macht, als die Ge- / wissensruh, / Und daß zu deinem Glück dir niemand fehlt als du!1
Lerne / Gerne / Nun so ferne, / Bey dem Abensterne1
Lerne / Gerne / Wohlgefallen / Reinen Weiben, junger Mann1
Lerne die Menschen kennen, doch hüte dich, daß / du den Glauben1
Lerne du zeitlebens was Recht ist;1
Lerne Ehrfurcht vor dir selbst empfinden. Ein schöner Gedanke der edlern Erziehung.1
Lerne nur einmahl das Laster verachten - du / liebst schon die Tugend;1
Lerne vergeben dem Feind, verheiße Verzeihung dem Mörder, / Bat noch Christus am Kreuz fromm für das frevelnde Volk.1
Lerne viel danken, viel beten, viel glauben, viel hoffen, viel lieben; dann wird dein Engel dir oft einen neuen Segen für Geist und Herz bringen.1
Lerne, Jüngling, deine Freude zügeln, / Lerne, niemals feig vor Leiden fliehn.1
Lerne, wer besitzt, verlieren! / Wo hinaus, du reges Herz!1
Lernen können wir viel, wenn wir vertraut / mit uns selbst sind.1
lernen sich erkennen, und wenn sie eine Zeitlang mit einander gelebt hatte,1
Lernen soll das Genie, doch mehr noch muß es ver- / lernen,1
Lernen, nichts als lernen! So lautet das alte Lied, welches mir alle Tage vorgeleyert wird.1
Lernet von ihnen die Kunst, wie man auf rau- / here Tage/ Kürzer und fester zugleich ordne das sich're / Geweb.1
Lernt bey einer Tasse Thee: / König Löwe lebt von Klee,1
Lernt das, Verächter unsrer Zeit! / Der Scaliger und der Salmase Streit,1
Lernt man sich doch in alles finden, / So hab' ich mich auch d'rein gefunden,1
Lernt sterben, sprach im Hospital / Ein Mönch zu einem kranken Greise.1
Lernte heut von meinem jüngsten Kinde, / Meinem Büblein mit dem steten Lächeln, / Wie ich danken sollte meinem Gotte1
Les Allemands se laissent conduire au combat à coups de bâton,1
Les Almanachs si répandus maintenant par tout, ont commencé d'être imprimés en Allemagne. Il paroît que le premier est celui que Jean Regiomontanus donna en latin à Nurenberg en 14761
Les Almanacs ont coutume de prédire ce qui doit arriver l'année qui vient à l'égard des éclipses relatives au soleil et à la lune,1
Les amis de l'heure presente / On le naturel du melon;1
Les braves campargnards qui offrirent à l'Electeur leur bien et leur sang,1
Les Dames ont adopté un deshabillé qu'on nomme Caraqueau ou l'Apollon.1
Les épingles sont à présent si necessaires & si indespensables aux Dames pour leurs ajustements,1
Les Epoques suivantes sont marquées pour la plupart en nombres ronds,1
Les estampes historiques ont été annoncées dans tous les Almanacs ordinaires comme étant de Mr. D. Chodowiecki, mais comme il ne voulut les livrer que fort tard,1
Les Etrangers, qui n'ont cessé de se montrer admirateurs enthousiastes de la Révolution française, confondent tous les Emigrés dans une seule et mème catégorie.1
Les exemples d'une dernière perfection et d'une extrème corruptibilité de la nature humaine, comme aussi de grandes dispositions évidemment marquées dans l'homme, méritent non seulement la dernière attention de la part des Philosophes;1
Les filles du limon tiroient du roi / des astres / Assistance et protection.1
Les frequences Concours de Créanciers qui arrivent dans les grandes et les petites villes, proviennent d'ordinaire, à en juger charitablement, moins d'un dessein prémédité, que d'une certaine legèreté.1
Les hommes n'ont jamais montré plus d'esprit que dans les jeux qu'ils ont inventés.1
Les Levantins en leur Légende / Disent qu'un certain Rat, las des / soins d'ici-bas, / Dans un fromage de Hollande / Se retira loin du tracas.1
Les lieues, dont parlent les tables suivantes, sont chacune de 2282 toises de Roi,1
Les loups ne se mangent pas / De ces brigants c'est la morale unique1
Les marchandises communes, & en général les grosses masses, se pesent au crochet, qu'on appelle aussi romaine ou peson.1
Les mesures & les poîds diférant si fort suivant les contrées, cela cause beaucoup des calculs très fâcheux,1
Les montagnes ardentes qu'on appelle Volcans, renferment dans leur sein le souffre, le bitume & les matieres qui servent d'aliment à un feu souterrain,1
Les observations des Mss Cassini, & Short, & surtout celles de Mss Montaigne, Roekier & Horrebow nous persuadent que Venus a un satellite,1
Les parties de notre Corps sont ou fluides ou solides.1
Les Pierres précieuses affectent toujours dans l'exterieur une figure déterminée. Elles sont brillantes, transparentes, & prennes toutes un poli, qui en releve l'éclat.1
Les plaisirs sont amers, sitôt qu'on en abuse, Ile est bon de jouer un peu; Mais il faut seulement que le jeu nous amuse.1
Les relations d'ouvrages originaux et de génies origineaux sont si fort du goût de notre tems,1
LES représentants du peuple françois, constitués en assemblée nationale, considérant que l'ingnorance, l'oubli ou le mepris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements,1
Les tailles douces qui se trouvent dans les almanacs généalogiques des années pécédentes, représentent les exploits principaux de deux Chevaliers Paladins qui sont les héros de deux ouvrages,1
Les villes specifiés ci après sont distances des villes dénommées dans les colonnes ci à côté,1
Les' ich, o süßes Weib, mit Seherblicken der Liebe / Deines Herzens Gefühl dir im sprechenden Aug':1
Les't an seinem Marmorgrabe / Staats-Ministers Colxo Ruhm!1
Lesarten wirst du auch, Gott helf! / Die besten nur entdecken:1
Lesebuch für Landschulmeister I-IVtes Bändchen, Tübingen 1784-1785. 8. Auch diese periodische teutsche Schulschrift enthält nüzliche Wahrheiten,1
Lesen bilde den Geist, mit der Weisheit Strömen / erfrisch' es / Dürstende Seelen und fördere so den erlockerten / Boden,1
Lesen ist wenigstens, aber auch höchstens, ein Behelf zur Erweckung des eigenen Denkens.1
Lesen und lesen allein gewährt nicht Schätze des / Geistes:1
Lesen willst du das Buch der Natur, in / Chiffern geschrieben,1
Lesen, aber nicht verstehen / Ist ein halbes Müßiggehen.1
Leser wende mit Abscheu deinen Blick von jenem Gemälde, es ist ein Fürsten Sohn durch einen König zum Vatermörder gemacht.1
Leser zu Tausenden finden, verwundert's euch? Geibel / und Redwitz:1
Leser! sein Distichon treibt in die Spe- / lunke hinein!1
Leser, der mit mir empfunden, / Kennst du auch die Qual der Stunden,1
Leser, nenne mir die Zunge, / So die Seele nicht vermißt;1
Leser, steh! / Hier begruben wir Ulyssen.1
Leser, welche nur nach Verwicklungen, Abentheuern und sonderbaren Schicksalen lüstern sind, bleiben hier unbefriedigt.1
Leset die Alten! versteht, die eigentlich ältesten Alten. / Was die Modernen davon preisen, bedeutet nicht viel.1
Leßing nannte die Nachrichten, welche kleine herumziehende Truppen, ihrern Stücken beyfügen, um die Zuschauer damit anzulocken den Küchenzettel.1
Lessing soll gesagt haben. das müsse ein elender Schriftsteller seyn, der nicht zuweilen etwas borge.1
Lessing war es, der zu den Monatskupfern die Trachten der italienischen Bühne vorschlug:1
Letzt fröhlichgemuth / Und schwinget den Hut!1
Letzte Rose des Sommers, / Was willst du verzieh'n?1
Letzten Mittwoch ist, vermuthlich beym Ausgang des Theaters an der Wien, ein Ridicül verloren worden, darin befanden sich: ein Operngucker von Perlmutter; ein Riechfläschchen von Krystall1
Letzter Besuch beim sterbenden Museum Pium Clementinum. Es war mir bitter schmerzlich, die Entweihung anzusehen. Im Cottile fand ich die fränkischen Commissarien herrschend und anordnend.1
Letzter Blick und letzter Gruß, / Herz, wer kann es fassen?1
Letzter, bleicher Tagesschimmer, / Stirb, o stirb dahin! / Komm, o Nacht, du bist verschwiegen;1
Leuchte silberner Mond! in's Gemach der jungen Korinna. / Wenn sie den reizenden Leib dehnt zum erquickenden Schlaf,1
Leuchte, Glühwurm, durch die Nacht / Mit der kleinen Sternenpracht;1
Leuchten seh' ich am Herde die wildauflodernde / Flamme; / Knaben und Mägdlein nah'n heiter dem fröh- / lichen Kreis.1
Leuchten zu lassen mein Licht, befahl mir / der göttlichste Lehrer:1
Leuchtend entsteige die Sonn' aus dunkeler Nebelumhül- / lung, / Ähnlich dem wogenbezwingenden Schiff, her schwimmt sie im / Äther,1
Leuchtend helle stolze Sonne! / Liebe Stern' im blauen Meere, / Nach euch zieht das Herz voll Wonne,1
Leuchtende Denksäulen stehen auf der Erde. Sie zeugen daselbst von der Geschichte und den Thaten der Menschen.1
Leuchtende Geniuskraft, du schaffende, sei mir ge- / priesen1
Leuchtendes Gestirn der Nacht! / Seh' ich dich in milder Pracht1
Leuchtendes Gold, und die Zier der sinnigen Perle, wie tief sie / Schlummern im nächtlichen Schooß, fördr' ich an's strah- / lende Licht!1
Leuchtest du wie vormals nieder, / Goldner Tag! und sprossen mir1
Leuchtest schon hernieder, / Trauter Abendstern!1
Leuchtet fern mit hellem Schimmer / Winter von des Berges Höh'n1
Leuchtet schon die Frühlingssonne / Ueber See und Auen hin?1
Leuchtkäferlein / Mit grünem Schein, / Halt still und laß dich fangen!1
Leuchtkäferlein / Mit grünem Schein, / Halt’ still und laß diech fangen! / Sollst mir ein treuer Leuchter sein, / Zu stillen mein Verlangen.1
Leutchen, kommt! ich bin euch ein Mann / voll göttlicher Weisheit!1
Leute gibt es, welche klagen, / Daß sie heim nicht können bleiben,1
Leyer, säusle sanften Klang / Nur vernehmlich kaum, / Sanft, wie Bienenchorgesang / Um den Lindenbaum,1
Lezten Sonntag zog aus frommem Triebe / Pastor Trumpf1
Liane hat den Palmenast gebunden. / Das Garn den Aar trotz seiner Hast gebunden.1
Libelle, Jungfau ohne Tadel, / Die das metallne Blau der Nadel / Am Bachgebüsche heftet an,1
Liber, zärtlicher Freund, du süßeste Sorge der Freunde, / Nieverwelkender Blüth', ewiger Rosen werth!1
Libra, die Wage, ist diejenige, worauf manche deutsche Fürsten die abgeschoßnen Arme und Beine ihrer verkauften Unterthanen wägen,1
Licht im Kopfe, Wärm' im Herzen / Heil dir, Freund, der beide schon vermählt!1
Licht umwebt, im himmelblauen Kranz, / Sternen ihrem Gürtel eingewoben,1
Licht und Klarheit such' ich hier vergebens! / Rief der edle Herrscher von Trachin;1
Licht und Recht strahlt weit und breit, / Vater Stilling sieht mit Wonne, / Wie nach schwerer Prüfungszeit / Glänzt die unbewölkte Sonne.1
Licht und Schwere, sie sind Grundstoffe der irdschen / Gestaltung; / Darum auch, sterblicher Mensch, bist du aus ihnen / geformt.1
Lichte dich im hellen Abendrothe, / Mein entzückter Geist!1
Lichte Flammenstrahlen zücken / Schon in Osten hoch empor,1
Lichte Genien, ohne die das Leben / Nur ein trauriges Nachtstück ist, ein Kerker,1
Lichte Wolken seh' ich glänzen, / Dunkel weicht dem Rosenschein,1
Lichte Wolkenschleier, von Nachtlüftchen leise getrieben, zogen vor dem Monde vorüber. Er schien voll und freundlich mir auf mein Lager,1
Lichtenberg läßt seinen Philadelphia, den Tausendkünstler sagen: Wer nicht zahlt, der sieht nichts!1
Lichter flimmern, Saiten klingen, / Losgelassen ist die Lust,1
Lichtlein hat mit seiner Flamme / Andre Lichter angebrannt,1
Lichtumglänzte! - hehre, holde / Himmelstochter, komm herab!1
Lichtvoll die Heerde gehet / Auf blauer Himmelhöh',1
Licinia - Gemahlinn des Cajus Grachus - diese für das Wohl des Volks so ganz gestimmten edlen Römers würde durch ihren Rath ihrem Gemahl das Leben gerettet haben,1
Licoris gab Bathyllen / Ein Röschen, wie mir schien, des Paradieses.1
Lida hatte mich gefangen / Durch der Stimme Melodie,1
Lidl aus Wien hat das Barriton, welches ungefähr 80 Jahr alt ist, und an Gestalt der Viola da Gamba gleicht, ausser daß es hinten meßingene Saiten hat, die zu gleicher Zeit mit dem Daumen gespielt werden müssen - vervollkommnet,1
Lieb Aennchen wiegt die Mutter ein, / Schlaf, Kindlein, schlaf!1
Lieb Hannchen, laß dir rathen, / Und trau den Kriegern nicht;1
Lieb Klärchen, kaum kehrt' ich aus Fran- / ken zurük, / In Wirtembergs fruchtbare Thale;1
Lieb Mägdlein, gleichst der Knospe noch, / Geweckt vom jungen Morgen.1
Lieb Mütterchen hat mir ein Korn / In's Kinderherz gelegt, / Und daß es kräftig Wurzel schlag' / Mit Mutterlieb gepflegt.1
Lieb Nettchen bist mir ungetreu; / Ich les dirs aus den Augen,1
Lieb Rinkchen! Rinkchen! sieh mal hier, / Was so blank 'raus blickt,1
Lieb Röschen, so wurde das holde Mädchen ihrer guten Eigenschaften wegen allgemein genannt,1
Lieb Töchterlein, was lachst du doch? /Saug' immer fort; wir haben noch.1
Lieb und Dankbarkeit gefällt, / Undank haßt die ganze Welt.1
Lieb und Leiden / Sind vermählt, / Blieb das Scheiden / Doch erwählt,1
Lieb und vertraulich blickten das Kloster Banz und die Burg Schottenau sich einander an.1
Lieb Väterlein wünscht mich fromm und gut, / Und heisset mich thun, wie das Mütterchen thut.1
Lieb Weibchen, sprach mit düsterm Wort / Der ritterliche Held, / Mich treibt des Kaisers Machtruf fort / Zum Kampf aufs blut'ge Feld,1
Lieb' eine Führung ist des Herrn; / Bald vor euch geht her ein Stern,1
Lieb' ich dich herzlich, sprich, was geht's dich an? / Wenn ich dir schweigend folg' und nur von Ferne,1
Lieb' ich dich wirklich, mein geliebtes Leben? / Noch glaub' ichs kaum, noch staun' ich vor dem / Glück!1
Lieb' ich, so hör' ich mich lieber von Feinden / verklagt und beneidet,1
Lieb' im Herzen, voll von Schmerzen / Ist viel süßer tausendmal,1
Lieb' in der guten Zeit sonst mein Geselle / An diesen, unserm Sinn gewognen Bächen,1
Lieb' ist der Sonne wohlthätigster Strahl, / Glühet durch Herzen vom kältesten Stahl.1
Lieb' ist des Lebens Glück. Auch ich, ich / lebe von neuen.1
Lieb' ist die Leiter zum Himmel, und wieder vom / Himmel zur Erden; / Auf und niederwärts fährt ewig ihr wechselnder / Weg.1
Lieb' ist die Sonne der Nacht, es fühlen's die zar- / testen Kelche,1
Lieb' ist ein Blümchen, das Der nur richtig weiß / zu bezeichnen,1
Lieb' ist ein Blümchen, das der nur richtig weiß zu / bezeichnen,1
Lieb' ist ein Traum! was willst du thöricht Herz? / Schmückt nicht das Leben sich mit andern Kränzen?1
Lieb' ist Gottes Hauch / Darum schwebt sie auch / Uns, wie Er, mit Segen / Ueberall entgegen,1
Lieb' ist Hauch im Wesenall, / Sonnenstrahl voll Irisflimmer.1
Lieb' ist Hoffnung und Wunsch, und feurig-schmachtende / Sehnsucht,1
Lieb' ist nicht in Schrift und Buch, der Buch- / stab ist ihr Streiter nicht. / Lieb' ist nicht im Haus der Büßer, denn dieß / Haus ist heiter nicht.1
Lieb' ist Sehnsucht, die heißeste, hin nach ganzer / Vereinigung1
Lieb' ist süße Bethörung. O du, sanftlächelnde Freund- / schaft!1
Lieb' ist wie das starke Feuer, / So dem Hause Segen bringt,1
Lieb' Mädchen, willst du glauben, / Was ich Dir sagen thu'?1
Lieb' und Andacht sind verwandt / Durch ein trautes Schwesterband.1
Lieb' und Anmuth treiben Despotie / Mit den lieblichsten von meinen Tagen1
Lieb' und Dichtung geben / Mir der Freude Kranz. / Und es flieht das Leben / Wie ein schöner Tanz;1
Lieb' und Freundschaft willst du unterscheiden? / O sie sind zwei Wesen eng vereint!1
Lieb' und Freundschaft, was verbirgt der / Schimmer, / Der in euer Netz uns lockend zieht?1
Lieb' und Hofnung, holde Sterne / Auf des Lebens Pilgerpfad,1
Lieb' und Leben blüht beisammen; / Wie in Flammen / Wärm und Licht.1
Lieb' und Treue, wer scheidet die gleichbedeuten- / den Worte?1
Lieb' und Tugend waren die beiden Perlen / Die zum Schmuck des häuslichen Glücks du suchtest;1
Lieba ward emporgehoben / In die Gegenden des Lichts! / Alles hat er in dem Himmel oben,1
Liebchen erfasse den silbernen Stab, / Steige mit mir auf die Fluthen herab,1
Liebchen hüll dich in den Pelz! / Eilig laß uns gehen!1
Liebchen ist schwunden; - / Doch Mondschein und Sternenlicht / Hab' ich gefunden,1
Liebchen und der Saft der Reben / Theilen meines Herzens Gluth,1
Liebchen! ach laß mich herein! / Hörst du die Winde nicht sausen?1
Liebchen! es ruft dich die Lust zu dem fernher / lockenden Reigen?1
Liebchen! heiter und vergnügt! / Sieh! der Buttervogel fliegt / Um die Hecken, gelb gepudert;1
Liebchen! heiter und vergnügt! Sieh! der Buttervogel fliegt / Um die Hecken, gelb gepudert;1
Liebchen! sieh der Bäume Blätter fallen, / Grabesstille herrscht im öden Hain,1
Liebchen, dem mein Herze glüht! / Liebchen, dir gilt dieses Lied.1
Liebchen, der liebliche Lenz ist erwacht! / Crocus und Veilchen und mayliche Glocken / Fallen ihm bunt aus den duftigen Locken,1
Liebchen, du zürnst? und du fragst, Treuloser, der Gly- / ceren küßte?1
Liebchen, heiter und vergnügt! / Sieh, der Buttervogel fliegt1
Liebchen, im Buchenhain / Wart' ich heut' Abend dein;1
Liebchen, in des Stübchens Enge / Schläfst nun süßen Traum;1
Liebchen, komm auf meinen Schooss / Unter Herzen unter Küssen,1
Liebchen, laß dich küssen! / Liebchen, gute Nacht; / Wirst nun schlafen müssen,1
Liebchen, müßt ich von dir fort, / Ach! wie bitter wär'das Scheiden.1
Liebchen, o halte ein mit bittern Klagen, / Wenn die rauhen, trüben Morgen später tagen!1
Liebchen, sieh! der Lenz ist draußen, und du fragst / nun, was ich thu'?1
Liebchen, sieh, der Bäume Blätter fallen! / Grabesstille herscht im öden Hain,1
Liebchen, sieh, der Bäume Blätter fallen, / Grabesstille herrscht im öden Hain,1
Liebchen, was willst du? / Komm' ich oft, so schilst du,1
Liebchen, will zum neuen Jahr / Dir ein kleines Liedchen geben,1
Liebe - wenn's ein Blümchen wär' / Sät' ichs in den Garten,1
Liebe Alphonsine! Schon oft habe ich Dich höflichst ersucht, Deinem Portier Abschied zu geben, weil der Lümmel so entsetzlich ungeschliffen ist.1
Liebe Amme! Ich denke noch oft mit Vergnügen an die langen Abende, da ich als kleiner Knabe auf deinem Schooße saß, und zitternd meine jungen Arme um deinen Hals wand,1
Liebe Brüder, welch ein Schweigen? / Liebe Schwestern, wie so still?1
Liebe Cousine! Ich komme Ihnen heute mit einem Geständniß, welches Sie nicht wenig überraschen wird, und mit einer Bitte, durch deren Erfüllung Sie mich um so mehr verpflichten werden,1
Liebe darf nach Jenseit schwärmen, / Neu sich eine Welt erbau'n1
Liebe das Weib, wie die schöne Natur und die sitt- / liche Einfalt,1
Liebe den Augenblick und leb' in verinnender / Stunde, / Als ob in Ewigkeit du lebtest die wonnige / Zeit.1
Liebe denkt in süßen Tönen, / Denn Gedanken stehn zu fern,1
Liebe denkt in süßen Tönen, / Denn Gedanken stehn zu fern;1
Liebe die Kunst; die Natur verehre, die Mutter der / Künste!1
Liebe Erste! Sprach meinFreund, / Bin in schlimmer Lage,1
Liebe findet schnell die Worte, / Wenn sie einsam sehnend geht, / Liebe die am rechten Orte / Ganz zur Unzeit stille steht.1
Liebe fliehe nur mit deiner Schmeicheley! / Mein Herz bleibt stets von Banden frey.1
Liebe flössest du ein und Begier, ich fühl' es / und brenne,1
Liebe flötet aus den Büschen, / Rieselt in dem Silberbach1
Liebe fordert Gegenliebe. / Ohne Kampf und Siege wachsen / Amorn seine Schwingen nicht.1
Liebe Frauen! so nenn' ich Euch am liebsten1
Liebe Freundinn, ich benachrichtige Sie, daß - die Linden wieder blühen,1
Liebe gewinnt mir den Schlaf; ich träumte von Lila, und / wachend1
Liebe Gott, mein Kind, und wandle / Immer seine Bahn1
Liebe Gräfin, wie freue ich mich, der glückliche Ueberbringer sehr angenehmer Nachrichten für Sie zu seyn. Mit diesen Worten trat der Marschall von Berwick in der Gräfin von Bürde Zimmer,1
Liebe gute Schwester. / Die flüchtigen, unstäten Zeilen Deines Briefs verraten mir noch deutlicher als der Inhalt desselben die Angst und Unruhe, mit der Du geschreiben hast.1
Liebe hab' ich gefunden, und Liebe hab' ich verloren; / Neue Liebe, mein Herz, blickest du suchend umher.2
Liebe heißt der goldne Faden / Auf der Lebensspindel Klotho's;1
Liebe Henriette, das Frühstück war sehr schlecht, obwohl ich lange darauf warten mußte. / Hättest du mit uns gefrühstückt, so –1
Liebe Herren - schöne Damen! / Haben die Lieder euch behagt?1
Liebe ist bey einem Weibe die sicherste Gewähleisterin ihrer Tugend,1
Liebe ist das Leben unsers Lebens; / wer nicht liebt der lebt vergebens,1
Liebe ist der König. Wo er gefahren kommt, muß alles ausweichen.1
Liebe ist ein Blumenleben / Wie die Blume aus dem Keime / Aufblüh'n, und sich in die Räume / Ihrer Frühlingswelt erheben,1
Liebe ist ein Meer von Seligkeiten; aber das Leiseste Lüftchen kann einen Sturm erregen,1
Liebe ist ein sonnig Wort, / Scheint so warm im Süd und Nord,1
Liebe ist ein Stern in Nächten, / Der die dunkle Bahn erhellt,1
Liebe ist eine liebenswürdige Thorheit, Eitelkeit eine ernsthafte Dummheit.1
Liebe ist nicht selten das Grab der Freundschaft. An ihrem Busen verlodert die Flamme, die der Jünglinge Herzen für Ewigkeiten vereinet zu haben scheint.1
Liebe jezt, wer nie geliebt hat! Wer geliebt hat, liebe jezt! / Wie der Hirsch vom Pfeil getroffen, in sich trä- / get er den Pfeil,1
Liebe Jule! / Deines Lebens Spule / Wackle nie und schnurre nie!1
Liebe kam vom Himmel auf die Erde / In der Gottheit strahlendem Gewand,1
Liebe kam zum Trost in dunkeln Nächten, / Eos Pupurstrahlen in der Rechten,1
Liebe Klein! kommst du wieder? / Zu dem Alten, der dich liebt,1
Liebe kommt auf allen Wegen / Dir entgegen, / Lieb' ist immer nah;1
Liebe Küh'! im Stalle / Steht ihr traurig alle, / Macht kein Lustgebrüll.2
Liebe Leutchen, wollt ihr wissen, / Welches mein fein's Liebchen ist,1
Liebe Lyda! Süße! Wunderschöne! / Weiß wie Milch von Gliedern, rein wie / Schwäne,1
Liebe macht das Leben froh, / Und gebiert die Freude;1
Liebe Mädchen, oft saht Ihr in Bildern / Amorn, mit dem lächelnden Gesicht;1
Liebe Mädchen, was quält ihr mit trostver- / langender Klage / Mein zu fühlbares Herz?1
Liebe muß wohl ein Geschenk des Himmels seyn, da ihr gemeiniglich Hofnung, Geduld, und der Menschenfreund zur Seite stehn.1
Liebe Mutter! heut Nacht heulte Regen und / Wind. / S' ist heute der erste Mai, liebes Kind.1
Liebe Mutter! vergönne mir, ein halb Stündchen im nahen Wald lustwandeln zu dürfen!1
Liebe Mutter, es wird schon finster. Soll ich das Licht noch nicht anbrennen?1
Liebe Mutter, laß uns hier noch ein wenig / verweilen! es wird mir in diesem Thale so / wohl.1
Liebe Mutter, sprich doch nicht / Schon vom Hochzeitskranz! / Sieh, ein dunkler Schatten bricht1
Liebe nahte unverkündet, / Heimlich ward der Sinn berückt;1
Liebe nennest du göttlich? und Eifersucht nennest / du teuflisch?1
Liebe reichte mir die Rose, / Liebe gab der Freuden viel,1
Liebe schafft den Segen / Heiliger Natur, / Tränkt mit Thau und Regen / Die versengte Flur;1
Liebe Schwester. Du hast wirklich nichts verlohren, da du den Besuch nach Lilienfeld abschlagen mußtest.1
Liebe sey das Band der Menschenkinder; / Ihre Krone die Gerechtigkeit;1
Liebe siegt in unsern Herzen, / Eh' man's will, und eh man's glaubt;1
Liebe siegt in unsern Herzen, / Eh' mans will und eh' mans glaubt;1
Liebe spendet Glück und Segen, / Streut uns Rosen auf den Pfad.1
Liebe spricht im Schmerz und Glücke / Durch ein trautes Mienenspiel;1
Liebe sucht den Aufenthalt, / Wo ein Bach bei leichten Scherzen1
Liebe Tochter, was klagst du so sehr / Um diesen Einen?1
Liebe traf mich: meine Augen weinen, / Und im Herzen brennt ein Feuer mich.1
Liebe und Freundschaft berechtigten meine Erfahrungen, Ihnen über das Betragen, das Sie in dem Wirbel der Welt, worin Sie jetzt geworfen worden, zu halten haben, einige Räthe mitzutheilen.1
Liebe und Freundschaft haben nothwendig herrliche Momente;1
Liebe und Freundschaft ist eine Kunst, in welcher der Anfänger seine Studien zu machen hat,1
Liebe und Güte entspringen Beyde aus einer Quelle1
Liebe wähnt bei ihren Thaten, / Daß der Blick des Spähers fehlt,1
Liebe wandelt im Licht, in Nacht der Haß:1
Liebe war, eh alle Sonnen rollten; / Liebe rief das Licht aus dunkler Nacht,1
Liebe webt der Täuschung bunten Schleyer, / sie regiert den größten Zauberstab,1
Liebe wechselt Berg und Thale, / Machet Höhn und Tiefen gleich,1
Liebe Wellen! Liebe Wellen! / Was ist euer Aug' so trübe!1
Liebe wenns ein Blümlein wär, / Säet ichs in den Garten, / Thät bey Thau und Sonnenschein1
Liebe wie ein Nantchen liebte / Wollt' ich singen . Aber Amor / Schlug mit einem Veilchenstengel1
Liebe wohnt in einem Irregarten, / Wo sich kreuzen wirrer Pfade viele.1
Liebe zur Freyheit, Lieb zum Vaterlande, dieses sind die zwey Muttertugenden, woraus sich der Charakter der Schweitzer bildet.1
Liebe zur Kunst und Verwandschaft des Strebens veranlaßten im Jahre 1848 in München die Gründung eines Veriens für deutsche Dichtkunst1
Liebe! als auf göldnen Flügeln / Du zu uns von deinen Hügeln / Flattertest1
Liebe! deine Freuden, / Liebe! deine Schmerzen / Will im festen Herzen / Ich entschlossen meiden.1
Liebe! du giebst der Nacht den Purpur, raubest die Viole - reichst dem Morgen seine Strahlen1
Liebe! freundlich bunter Farbenbogen, / Mich umschlingt dein goldnes Zauberband;1
Liebe! Liebe! aller Wesen / Aller Welten Königin! / Von der Gottheit auserlesen / Zu der Allbeherrscherin;1
Liebe! mächtig ist dein Blik, / Schöpferin der Freuden!1
Liebe! tröstende Liebe du! / Heilende, lindernde Liebe! / Die du erhebst mit ewigem Triebe,1
Liebe! wie trübest du Hoffnung mit / Furcht, und Freude mit Schmerzen!1
Liebe! wollen wir uns scheiden? / Liebe Lieb', ich dächte nicht!1
Liebe' hatt' ein junges Paar, / Treue hatt' es fest verbunden.1
Liebe, auf dem weichsten Sammet thronende, / Schön verbrämt mit Gold und Perlenschnüren,1
Liebe, Bewunderung, Ehrfurcht sind die Grundlagen aller Sittlichkeit.1
Liebe, bringst du solche Leiden, / Dem, der deine Rosen bricht?1
Liebe, deinen Wein hab' ich getrunken, / Und an Lauras weiche Brust gesunken,1
Liebe, der flatternde Sylphe, / Rief: zu Hülfe zu Hülfe!1
Liebe, deren Mirthen nur den Weisen krönen / Deren Szepter rühmlich Patrioten fröhnen,1
Liebe, dich trägt ein Wagen von Schmetter- / lingen gezogen,1
Liebe, die an Schönheit sich entzündet, / Und noch früher oft als Schönheit schwindet,1
Liebe, die du oft an diese Quellen / Dem Geräusch der Welt mit mir entflohst,1
Liebe, du beginnst so süß, und ach! / Wie so bitter endest du o Liebe!1
Liebe, du bist die hehrste Tochter des hohen / Olympus, / Wenn du die Schaale der Wonn' deinen Begün- / stigten reichst.1
Liebe, Du bist doch heut Abend bei mir? Ein glänzender / Circel / Sammlet sich heut, was schön nennt die ästhetische Welt;1
Liebe, du gleichest dem Luftball! man löse die / Stricke, so fährt er / Rasches Fluges empor1
Liebe, du Mutter zärtlicher Schmerzen, / Sanfte Regentin fühlender Herzen,1
Liebe, ja ich will dich hassen! / Will das Sehnen meiner Brust,1
Liebe, Königinn der Herzen / Du erhöhst der Menschen Glück, / Lehrst sie Zärtlichkeit empfinden / Und verschönerst ihr Geschick.1
Liebe, Liebchen! kann uns binden / Mit dem schönsten Freudenband,1
Liebe, Liebe beseligt das Leben; / kann die Erde zum Himmel erhaben:1
Liebe, liebe Clementine, nun ist es gewiß, wir gehen mit der Tante nach der Residenz1
Liebe, Liebe rauschet die Najade, / Liebe lispelt jeder süße Ton;1
Liebe, Liebe! deinem Scepter / Huldiget die ganze Welt.1
Liebe, liebe, trinke, lärme, / Kränze dich mit mir, / Schwärme mit mir, wenn ich schwärme1
Liebe, Liebe, welche Freuden / Gabst du mit der Holden mir!1
Liebe, liebt sie gleich zu schweigen, / Will sich doch der Lieb' auch zeigen,1
Liebe, Lied und Musikant / Eines folgt dem andern,1
Liebe, meinen Geist, / Der den deinen preist, / Leit' auf Einer Spur, / Deiner, deiner nur!1
Liebe, neig' dein reichgelocktes Haupt / Sinnend über diese Veilchen nieder!1
Liebe, nur Liebe erwärmet das Herz, / Liebe schafft Wonne, und Liebe macht Schmerz,1
Liebe, süße Freundin! Hast Du gehört, ich bin im Kloster! im Kloster! Ich das fröhliche Mädchen, das heitre, das muntre!1
Liebe, süße Minne, dir / Will ich dienen für und für!1
Liebe, süßes Leben! / Leis' ist deiner Flügel Schweben;1
Liebe, traute / Silberlaute, / Töne Ruhe in mein Herz,1
Liebe, Unschuld, Inbrunst, Sitte, Ehre, / Sind der Züge fünf, die ich verehre.1
Liebe, wer kann sie beschreiben, wer kann / die Göttliche schildern? / Sprache hier bist du zu arm,1
Liebe, wer sich selber haßt, / Aber wer sein gutes Leben / Will der freyen Ruh ergeben, / Reißt sich von der weichen Last,1
Liebe, wie bist du so reich an süßen, wonnigen Spielen, / Wie beseelet mit Reiz alles dein schaffendes Wort.1
Liebe, wohl sprechen die Menschen so viel von hö- / herer Liebe, / Wenige kennen sie nur,1
Liebeley ist keine Liebe. Langweil oder Eitelkeit bringt jene hervor,1
Lieben Brüder! es reift unsere Kunst vielleicht, / Da, dem Jünglinge gleich, lange sie schon gegährt, / Bald zur Stille der Schönheit;1
Lieben Freunde kommt und höret, / Eh ihr weiter Gläser leeret / Flötenton und Harfenklang1
Lieben Freunde! Es gab schön're Zeiten, / Als die unsern - das ist nicht zu streiten!1
Lieben Freunde! es gab schön're Zeiten, Als die unsern, da ist nicht zu streiten wenigstens für romantische Reisende und romantische Reisebeschreiber,1
Lieben Freunde! Es gab schönere Zeiten / Als die unsern - das ist nicht zu streiten!1
Lieben Freunde, es gab schlecht’re Zeiten, / Als die unsern, das ist nicht zu streiten, / Und das Uebel hat einst mehr getobt.1
Lieben Freunde, es gab schön’re Zeiten, / Als die unsern, das ist nicht zu streiten; / Und ein edler Volk hat einst gelebt.1
Lieben Freunde, laßt euch sagen: / Gebt der Freude Raum und Busen!2
Lieben giebt das erste Verdienst bei den Frauen;1
Lieben ist Thorheit. So lehren uns Weise. / Warum denn geboth mir,1
Lieben kannst du auch dann, wenn du nicht / wieder geliebt wirst.1
Lieben Kinder, flieht in euer ersten Jugend die verführerischen Reize der Vergnügungen, die euren Sinnen schmeicheln.1
Lieben Leute! / Soll uns heute / Nicht der Morgen / Schon betrüben, / Schon verleiden?1
Lieben und vom Liebchen singen, / Ist des Lebens klügster Plan;1
Lieben will ich und dichten, und dichten will ich und / lieben, / Lieb' und Dichtung, was beut sonst mir noch Hol- / des die Welt?1
Lieben willst du mich bis in den Tod, noch lieben im Tode? / Selma, komm an die Brust; stammle noch einmal es aus.1
Lieben, lieben Freunde, Da ich vielleicht Euch vielen Kummer gemacht habe, wie ich hoffe, hoffe ich nun, da die Sache so gar einen glorreichen Ausgang genommen, Euch gewiß viel Freude zu machen!1
Lieben, Lieben, wie so schön! / O wann lieb' ich einmal wieder?1
Lieben, warum sollt' ich's nicht? / Ist die Liebe doch die Feder,1
Liebend erzogen, genährt und gebildet / Hat mich der Schmerz mit unendlicher Kraft;1
Liebend will ich euch erheben / Ueber Gold und Edelstein; / Liebe hat euch uns gegeben,1
Liebend will ich fest sie halten / in das Herz tief eingedrückt,1
Liebende graben mir in den Stamm die Schwüre der Treue,1
Liebende Seelen! Bewacht eure Triebe, / Daß nicht ein jeder sie kenne und nenne; Leicht kann’s gescheh’n, daß das Feuer der Liebe / Eures Geheimnisses Schleier verbrenne!1
Liebenswürdig als Kind und mit Vorsicht und Klugheit geleitet an der Hand der rechtschaffenen Mutter, welche, als ein in jeder Rücksicht vollkommenes Weib, die Pflichten ihres Berufs mit unwandelbarer Treue,1
Liebenswürdige Freundinnen! Ich trete heute mit der Aufforderung vor ihnen auf, mir eben so viel Vertrauen als Aufmerksamkeit zu schenken.1
Liebenswürdige Schmeichlerin! / Kleines Röschen! der Mutter Bild, / Izt an Schönheit, und einst an Geist!1
Liebenswürdige schöne! in deinen Augen seh' ich ein süßes Licht, das mir den Weg zum Himmel zeigt.1
Liebenswürdige Zartheit des Weibes, achtungswürdige Stärke des Mannes sind die hervorstechenden karakteristischen Züge in dem physischen und geistigen Gebilde der Geschlechter.1
Lieber als im engen Walde, / Lieber als im weiten Feld / Wohnt die Amsel an der Halde1
Lieber Baron! wann wird denn das Portrait meiner Tochter vollendet seyn? Ich glaube daß wir heute bereits zum zwölften Mahl in diesem Saale zusammen kommen.1
Lieber Bruder in Apoll. Eine Sängerin ist hier, die so stümperhaft ist, daß ich dich ersuchen muß, ihr gehörig den Text zu lesen.1
Lieber Bruder! Du hast mich durch unsere alte Kräuterfrau fragen lassen, wie es mir gehen thue? und ich kann Dir Sagen Gott Lob! - und den Herren Doctoren Nullus und Nauci, desgleichen dem Herrn Licentiaten Flocci sey Dank!1
Lieber Cotta! Man sagt zwar, ein Wort ein Mann, aber nicht, ein Wort ein Autor; denn jener giebt es wohl, dieser muß es halten.1
Lieber Freund! Am 25. August werde ich dir in Paris die Hand drücken. Adolph hat mich nicht begleitet, er ist in Baden geblieben bei meiner schönen Braut Eugenie Duval,2
Lieber Freund! Seit mehreren Jahrtausenden jagen die Menschen dem Glücke nach. Ich habe bisher ihre Jagdgerechtigkeit nicht im Geringsten bezweifelt, und mir auch für meine Person einen kleinen Antheil an der Beute gewünscht.1
Lieber Freund, Sie sind dem Tiger durch ein Wunder entkommen, bemerkte der Doctor Jansen, während die drei Jäger im kurzen Trabe in dem romantischen Defilé hinabritten,1
Lieber freundlicher Leser! Was wirst Du sagen, wenn Dir in einem Büchlein, das mit zierlichen Lettern auf Velinpapier gedruckt und mit Goldschnitt und feinen Bildern versehen ist, eine schlichte Bauerngeschichte vorgetragen wird,1
Lieber Gott, man muß sich placken / Wie ein Lasttier auf der Welt,1
Lieber Gott, was ist für großes Wunder! / Kracht von Zara denn Kanonendonner?1
Lieber Gott, wie wirds noch gehen? / Wunderdinge muß man sehen1
Lieber Gott,wie dank' ich dir / Daß du mir im Erdenleben, / Freien, frohen Sinn gegeben,1
Lieber guter Mann, warum / Bleibst du immer traurig stumm1
Lieber guter Walter, hinter'm Ofen stehen frisch gestopfte Pfeifen, raube dir ein Paar und geh' in die Wohnstube!1
Lieber heilger Krist, / Komm, und hör! Wir flöten, / Fiedeln und trompeten!1
Lieber Herr P-e-f-r. Daß Schücksall, so mich trif zwing mich dazu ihnen zu Ersuchen sich in Zeit von heute an 6 Wochen um ein anderes Engagement umzusehen,1
Lieber Herzensbruder und Seelenfreund. Wir Beide sind lange genug vertraut und zu genau in allerlei gemeinschaftliche Händel verwickelt, als daß ich nicht in folgender bedenklichen und wichtigen Affaire Deine freundliche Beihülfe in Anspruch nehmen sollte1
Lieber junger Mann! Der Eifer, den Sie bezeigen, in Ihrer Kunst nicht auf halbem Wege stehn zu bleiben, freut mich sehr.1
Lieber junger Mann! Sie wollen also, alles Zuredens Ihrer Verwandten und Freunde ungeachtet, - einen Stand ergreifen, den man im gemeinen Leben, - und wahrlich nicht ganz mit Unrecht, - das glänzende Elend zu nennen pflegt,1
Lieber Jüngling sage mir: / Geh' ich Abends nur von dir,1
Lieber Karl! Wo denken Sie wohl, daß ich jetzt sey? Zu Hause? O nein!1
Lieber Kleiner höre! / Zu des Tages Ehre, / Der dir heut' erschien; / Nimm mein Wünschlein hin!1
Lieber klingen durch das Thal, / Frohe Frühlingskunden; / Veilchenduft und Sonnenstrahl / Heilen alle Wunden1
Lieber Knabe, laß am Rain / Sterben mich bei meines Gleichen;1
Lieber Leser laß dich fragen: / Wann läßt sich mit Wahrheit sagen,1
Lieber Leser! Ein neuerer Schriftsteller behauptet, daß diejenigen Menschen für sich selbst verloren wären, die gar zu altklug das verschmäheten und vergäßen, was sie als Kinder bewegte,1
Lieber Leser! erinnerst du dich nicht manches Mal in deinen sogenannten stillen Stunden an die schönen Tage deiner Kindheit?1
Lieber Leser, denkst du gerne / An des Rheinlands heitre Ferne, An die Burgen, hochgethürmt,1
Lieber Leser, sey so eigensinnig nicht: / Halte doch dies für ein Sinngedicht1
Lieber Maler, sey gegrüßet! / Diesen Kuß auf deinen Mund!1
Lieber Mann – / Was soll es? / Ich bin hier. / Ich weiß es. / Ich habe mit dir zu sprechen.1
Lieber möcht' ich fürwahr dem Aermsten / als Ackerknecht dienen,1
Lieber Mond, du scheinest wieder / In mein stilles Thal hernieder;1
Lieber Mond, verstecke dich, / Wenn mein Liebster zu mir fliegt,1
Lieber Nachbar, sey willkommen! / Fünf wird heut gerad' genommen!1
Lieber Neffe! Ob ich gleich durch mein Testament Dich zum Universalerben meines zeitlichen Nachlasses eingesetzt und Dir an leiblichen, wie geistigen Gütern so viel hinterlassen habe, daß Du allenfalls der ärztlichen Praxis Dich ganz entschlagen,1
Lieber P! da sitz' ich vor Deinem Bild und vor dem Gemählde, das die gute L. von dem Hause und dem kleinen Garten gemacht hat,1
Lieber Schatz, als wir uns küßten, / Küßten wir uns doch bei Nacht:1
Lieber Sohn, sagte meine Mutter, gestern warst du drey und zwanzig. Es ist Zeit, an eine anständige Heirath zu denken.1
Lieber Vater! Es hat mir Jacob, mein Bruder geschrieben, wie daß Ihr fährlich krank seyn solt.1
Lieber Vater, es ist ein Militair draußen, der Sie zu sprechen wünscht.1
Lieber werde mein Buch von wenigen öf- / ters gelesen:1
Lieber zehnmal betrogen werden als nur einmal die Menschheit durch entehrendes Mißtrauen beleidigen.1
Lieber, grüner Wald, / Du der Nachtigallen / Freier Aufenthalt,1
Lieber, guter junger Herr! Weinen muß ich vor Freuden. / Narr! lache lieber mit, statt zu weinen;1
Lieber, ich begehre / Weniger als du / Eine Stund' gewähre / Mir nur täglich Ruh1
Lieber, ich sende dir die herzlichsten Wünsche / der Freundschaft;1
Liebes Blümchen, ach! schon welkest du / Bei dem ersten Strahl der Morgenröthe,1
Liebes Buch, das ich ihr schickte, / Die bis heut' ich nicht erschaute.1
Liebes Fränzchen, laß dich küssen! / Laß mit liebender Begier / Dich an diesen Busen schliessen,1
Liebes Glas, geh' hin im Kreise, / Gehe frisch von Hand zu Hand!1
Liebes Glas, geh' hin im Kreise, / Taumle frisch von Hand zu Hand!1
Liebes holdes Wesen, / Schlummre sanft und wachse groß!1
Liebes Julchen! sagte die Räthin Bildstein zu ihrer vierzehnjährigen Tochter, es ist heute ein schöner Morgen, wir fahren nach Grünberg in die Messe,1
Liebes Kind, du bist zum gesellschaftlichen Leben geboren!1
Liebes Kind, einen Grund mußt du mir doch für diese kalte Weigerung angeben können.1
Liebes Kind, mit Schmerzen, ja mit Schmerzen, / Ach, gebar ich dich!1
Liebes Kind, sieh jenen alten armen Mann - wie vor Frost seine Glieder zittern - wie Hunger und Elend aus seinem Gesichte spricht!1
Liebes Kirchlein an der Straßen, / Wer dich einsam hier erbaut,1
Liebes Liebchen, denk' an weiblich Ehre, / Und wende mir mein Ungemach,1
Liebes Mädchen! nimm zum Spiegel / Dir die Einfalt der Natur;1
Liebes Mädchen! Nur ein süßes Wort, und ich will ja gehen.1
Liebes Mädchen, bist Du munter? / Höre meine Bitte an:1
Liebes Mädchen, deiner Schönheit Blüte, / Mäht des Alters kalter Oden ab;1
Liebes Mädchen, deiner Schönheit Blüthe / Mäht des Alters kalter Odem ab;1
Liebes Mädchen, schlafe nicht! / Alles glänzt im Purpurlicht1
Liebes Mädchen, stell dich ein! / Kennst ja unsre Linde;1
Liebes Mägdlein, sprich, wohin / Neigt am meisten sich dein Sinn?1
Liebes Marienröschen, mit herzgeformten Blättern, / Ist es Liebe, die dir schwellet den häutigen Kelch?1
Liebes Mütterlein! O Höre! / Fieber war es nicht,1
Liebes Nüßchen! / Nur ein Küßchen! / O! wie find' ich Dich so niedlich, / Unbezwingbar appetitlich:1
Liebes Pfeifchen liegst so traurig da, / Daß ich lange nichts mit dir beginne?1
Liebes Sträußchen welke nicht! / Die mir theurer, als mein Leben,1
Liebes Thal, wie bist du mir willkommen / Wie gesegnet, schauervolles Land!1
Liebes Vögelein, ach, wie ruhig schläfst du, / Dein gesunkenens Köpflein unterm Fittig;1
Liebes Weib, mein Amt ruft mich auf einige Tage von dir, und da wir auch entfernt von einander uns gerne noch unterhalten,1
Liebes, gutes Evchen! Seitdem ich des Volontärlebens überdrüssig, und wieder einmal zur Abwechslung Jungfer geworden bin, ist mir noch kein Streich passirt wie heute.1
Liebes, kleines Mädchen. höre / Deines treuen Freundes Leere;1
Liebes, liebes Auge du! / Ach - noch einmal nur mit Beben, / Möcht' dein Licht ich decken zu1
Liebes, süßes Mädchen! höre, / Ueber alles lieb' ich dich!1
Liebesbewanderter Mann, und liebeskundiges / Weib, sprich:1
Liebesbriefe vom Vater an die Mutter, herausgegeben von der Tochter, würden schon um dieses gewiß seltenen Umstandes willen, die Aufmerksamkeit erregen können,1
Liebesgötter sind verborgen / In des Weinbergs breitem Laube;1
Liebesgötter, Amors Brüder, / Setzet alles hintan! / Fliegt, so hurtig jeder1
Liebeshändel ohn' End! Kommt Meister von / neuen nach Hause,1
Liebeskraft will ich vergleichen: / Löwenstärke muß ihr weichen, / Sie besieget jede Macht,1
Liebesmond - bist Du erschienen? / Lenz des Lebens der Natur?1
Liebesnacht auf span'schen Fluren, / Heimlich trautes Nah'n und Finden,1
Liebesschmachtend blüht entgegen / Flora's Pracht dem jungen Tage:1
Liebest, Bruder, Du mich, so weide sie gerne, / die Heerde, / Die so theuer mir ist, die ich segnend ver- / liess!1
Liebesworte flüstern süßer, / Als der leise West im Haine,1
Liebet den Freund, auch liebt die Befreundeten eurer Freunde!1
Liebet eure Feinde, heißt bey den Weibern, besucht eure Feindinnen und trinkt Thee.1
Liebet Frauen, was ihr liebenswürdig findet, / Des Lebens Seel' ist ja die Liebe nur,1
Liebet, o Brüder! o liebet! / Lieb' ist ein köstliches Ding!1
Liebevoll treue Herzen, / schmähet Amors Flattern nicht!1
Liebevolle, treue Herzen, schmähet Amors Flat- / tern nicht,1
Liebhaber nennen sich die Glieder dieser Bühne? / Mich dünkt, mit Recht! - Die Herr'n sind rasch und / jung, die Damen von nicht übler Miene.1
Liebhaber und Spieler sind sich einander ähnlich.1
Lieblich aus entfernten Landen / Schwebt herüber freundlich Grüssen,1
Lieblich bin ich und reizend, gefällig der / Sterblichen jedem, / Und es atmet nach mir alles, was le- / bet und webt,1
Lieblich bist Du, Mondeswölkchen! / Lieblich ist Dein Licht, o Mond1
Lieblich bist du, und sanft, wie ein heiterer Früh- / lingsmorgen,1
Lieblich bist du, Zephyr, wenn du schweigend die Blüthen-Düfte, und die kleinste Blüte weiter hauchest1
Lieblich blicket und hell des Frühlings labende Sonne, / Durch das duftende Land hin auf die blühende Flur;1
Lieblich blühen die Rosen im schönen Morgen des / Frühlings / Und dem Pflückenden lohnt sich reich der balsamische Duft;1
Lieblich blühend wie die Rose, / Aber schnell verblüht wie sie,1
Lieblich blüht der Tag, im Lenz erwacht, / Lieb mit ihren Sternen geht die Nacht;1
Lieblich entsinkst du dem Himmel, du träufelst / In die Seele von deinen Rosenflügeln / Ruh und süsse Begeitrung, / Goldener Abend.1
Lieblich entsteigt ihr der Flur, / ihr holden Kinder des Lenzes / Köstliche Düfte, sie weh'n aus dem geöffneten Kelch!1
Lieblich entsteigt ihr der Flur, ihr holden / Kinder des Lenzes / Köstliche Düfte, sie weh'n aus dem geöff- / neten Kelch!1
Lieblich erschien mir Wandernden einst die duftende Blüte / Neben der goldenen Frucht in dem hesperische Land.1
Lieblich fand ich hier im Städtchen / Daß ich niemahls noch verließ, / Unsers Nachbars Tochter Grätchen,1
Lieblich fliessen blaue Lüfte / Zwischen hellbelaubten Zweigen,1
Lieblich geweckt im stillen Gemach des Morgens / Tief in der Dichter Gebiet senken den forschenden Geist,1
Lieblich glänzen im Strale des Aufgangs / Der Heimat Gefilde, wenn der West1
Lieblich hat sich gesellet, / Meyn Hertz in kurtzer Frist,1
Lieblich im Morgenroth prangen der Berge waldige Gipfel, / Künden der sterblichen Erde die Feyer des kommenden Ta- / ges!1
Lieblich in der Jugend vollem Glanze, / Gleich dem Veilchen in dem stillen Thal, / Rosen windend zu des Sieges Kranze / Harrte Thekla in dem Vätersaal,1
Lieblich in des Bräutchens Locken / Sind die Blumen anzuschauen,1
Lieblich ist das Säuseln der Kühle, wenn sie in / Blüthen gehüllt den thauenden Abend begleitet.1
Lieblich ist das Schweizerland. / Auf Gebirgen, in den Thalen / Leuchten ihm der Sonne Strahlen,1
Lieblich ist der Frühling im Veilchenkleide, / Wenn er niederwallt, und die grünende Erde1
Lieblich ist der Lenz erwacht, / Und an stillen Wegen / Hat er Veilchen schon gebracht, / Seinen ersten Segen.1
Lieblich ist des Lenzes Wonne, / Schön ist seine Farbenpracht,1
Lieblich ist des Mädchens Blick der winket, / Trinkers Blick ist lieblich eh er trinket, / Gruß des Herren der befehlen konnte, / Sonnenschein im Herbst der dich besonnte.1
Lieblich ist es doch zu schauen, / Wie die Männer und die Frauen,1
Lieblich ist es sich zu lagern, / Wenn die Sonne brennet, / Unter dichtbelaubte Bäume;1
Lieblich ist es zu wohnen, wie du, am schlängelnden Bache, / An dem spiegelnden Quell,1
Lieblich ist meine Nahrung; süß die Frucht meiner Arbeit; gefährlich meine Rache.1
Lieblich ist's im Frühlingsgarten / Mancher holden Blume warten,1
Lieblich ist's im stillen Thale, / Wo des Friedens Palmen weh'n,1
Lieblich kleidet das Mädchen die Lilien -Farbe der / Unschuld, / Himmlisch aber erscheint es1
Lieblich klingt das Lied zur Laute, / Das von Deiner Lippe fließt!1
Lieblich kosend - wie erquicklich / Weht des Lenzes Hauch mich an,1
Lieblich lächelt der Morgen uns an aus rosigen / Lippen, / Und als goldenes Wort führt er im Munde die Sonn',1
Lieblich lacht / Jetzt die Nacht, / In des Himmels blauer Ferne / Feiert jetzt die Welt der Sterne.1
Lieblich ließ' es sich ergeh'n / In den freyen Räumen: / Schreckt' uns nicht des Herbstes Weh'n / Aus den Sommerträumen.1
Lieblich mit Rosengebüsch und Myrthen die Ufer / umkränzet,1
Lieblich mundet der Becher Wein, / Aber ein Zug, so ist er leer.1
Lieblich prangt der Blumen Fülle zart umwebt von grüner Blätter Hülle;1
Lieblich rauschet itzt die Leyer vom starken Lyäus, / Unter der Muse geschäftigen Hand:1
Lieblich rauscht der Wasserfall / vom Gebirge nieder, / Lieblich singt die Nachtigall. / Ihrer Minne Lieder.1
Lieblich rauscht im schattenreichen Thale / Meines Lieblingsbaches Silberfluth,1
Lieblich schlingen, reitzende Constanze! / Um der Freude neu dein Daseyn einzuweihn,1
Lieblich schön / Ists zu sehn, / Wie Natur / Auf der Flur / Blumen streuet,1
Lieblich schöner Sommermorgen! / Der den Dichter du begeisterst, / Auch der Dichterin sei hold, / Daß, was ihr das Herz bewegt, / Sich in Vers und Reim entfalte1
Lieblich schoß in seinem Lenze das glückliche Genie auf aus dem milden Boden; schön waren seine Zweige und Blätter, und süß duftete seine Blüthe.1
Lieblich senkte sich der Abend / Auf die heit're Meeresfläche, / Daß der Schein der Abendröthe / Sich im sanften Kräuseln breche,1
Lieblich sieht er zwar aus mit seiner erlo- / schenen Fackel,1
Lieblich sieht man schon sich neuen / Kraut und Blume, Laub und Blatt, / und sich schon in Freuden zweyen1
Lieblich strahlt der Birke Silberschimmer, Lieblich tönt ihr heimliches Gewimmer,1
Lieblich tönen der Geweihten Lieder; / Deren Schläfe Efeu längst umwand,1
Lieblich und hehr zu heiliger Stille, / Winkt uns der Sonne verglimmender Strahl;1
Lieblich und hehr, wie ein Gott, / fliesst sie dahin, unsere Donau,1
Lieblich und reif ist die Frucht, / an welcher die Würmer sich laben;1
Lieblich und reif ist die Frucht, an welcher die / Würmer sich laben; / Doch die benagete Frucht legt man verschmähend zurück:1
Lieblich und süß, wie Nachtigallenklänge, / Sanft, wie Abendgelispel in der Pappel, / Rauschte deine schmelzende Laut',1
Lieblich und zart sind deine Gefühle, gebil- / det dein Ausdruck,1
Lieblich wallt Sie durch die Halle, freundlich grüßend, / sanften Neigens,1
Lieblich war des Weinstocks Blüte, / Die im Lenz ich roch;1
Lieblich wie der Hauch von Zephirs Munde, / Wollustathmend kam die schöne Stunde,1
Lieblich wie der Kindheit bunter Traum, / Schimmert weit, bis sich Gebirge thürmen,1
Lieblich wie die Maiensonne / Wärmt die Freude meine Brust:1
Lieblich wie die Morgenröthe / Wenn der junge Lenz erwacht,1
Lieblich winket der Wein, wenn er Empfindungen, / Bess're sanftere Lust, wenn er Gedanken winkt,1
Lieblich würde dieses Leben schwinden, / wie ein junger lichter Maientag,1
Lieblich zwitschern zwey und drey / Auf den Bäumen frank und frey,1
Lieblich, lieblich sang die Weise, / In der Stube war mein Bruder.1
Lieblich, wie die Natur, wenn untergegangen die Sonne,1
Lieblich, wie ein Frühlings-Morgen / War ihr Kommen, rosenfarb und Licht:1
Liebliche Blümchen die, am kalten Busen / Noch das sterbende Jahr mit Liebe hegte,1
Liebliche Blumen, die am kalten Busen / Noch das sterbende Jahr mit Liebe hegte,1
Liebliche Blumen, ihr Töchter der Flur, / Freundliche Gaben der schönen Natur,1
Liebliche Blumenbeete von Gott gepflanzt sind die / Kinder;1
Liebliche Blumenbeete von Gott gepflanzt, sind die / Kinder;1
Liebliche Blüthen des Menschengeschlechts! / Am zarteren Wipfel1
Liebliche Farbe! Welcher Ganz des Himmels, / Taucht Aurora ihn gleich in Rosengluthen,1
Liebliche Flöte, wie wohnet in dir die Fülle des / Süßen! / Und im Herzen wie tief regst du die Liebe,1
Liebliche Freundni! so frühe, so früh' / Hat sich dein lächelndes Haupt schon geneigt,1
Liebliche Gaben bring ich dir, / Nahest du dich von vorne mir;1
Liebliche kleine Quelle, was hat deine Gestalt getrübt, da du noch beim Aufgang der Sonne so muthig plätschertest?1
Liebliche Kränze von Blumen erfreuen im Leben des Menschen, / Winden die Blühenden wir wechselnd,1
Liebliche Quelle, von Vielen besucht, - Kallirrhoe nennet / Dich der Musen Gesang; - immer bewahr' ich / annoch,1
Liebliche Sänger, ruht Aurore einst hier, / So wiegt mit harmonischem Sang in süßen Schlummer sie ein,1
Liebliche Sängerin, miaute sehr schmeichelnd eine abgelebte Katze die Nachtigall im Käfige an,1
Liebliche Sängerinn, kleine Lerche, woher, / Woher schon so früh? Noch decket Büsche und Stoppeln / Funkelnder Schnee;1
Liebliche Zeiten, wie seyd Ihr so oft dem Dichter / willkommen!1
Liebliche, zarte Knospe, du keimtest in loke- / rem Erdreich,1
Lieblichen Blumen vergleich' ich euch gern, ihr / fröhlichen Kinder!1
Lieblichen Blumen vergleich' ich euch gern, ihr fröhli- / chen Kinder!1
Lieblichen Honig geb' er dem Freund, doch / nahet sich täppisch / Der Philister,1
Lieblicher bricht hinter Myrthen / Heut der junge Tag hervor:1
Lieblicher fleusst, o Bach; die stille Lethe / Durch Elysiens Fluren nicht;1
Lieblicher Knab', ich wiege / Singend dich ein in Schlummer,1
Lieblicher Knabe, / Am Blüthenstabe / Schreitest du lächelnd mild,1
Lieblicher pfeifst du im Ernst, als Hänflinge. / Bartel, man spricht doch / Wohl ein freundliches Wort,1
Lieblicher Sänger! Du schläfst so früh den / heiligen Schlummer;1
Lieblicher Vorwurf der Küsse des Zephyrs, / Komm schöne Rose, verschönre mein Zimmer!1
Lieblicher, als, nach stummen Wintertagen, / Erster Lerchengesang,1
Liebliches Abendroth, / Daß einen schönern Tag / Uns verkündigt nach trüber Nacht:1
Liebliches Blümchen im eisigen Moose, / Herold des Frühlinges, sey mir gegrüßt!1
Liebliches Conterfei! Es gleichet der Schwester auf's Auge; / Schelmischen Blick und neckischen Mund! Ich will es erleben,1
Liebliches Kind, du ruhest sanft im Grabe, / Von den blühenden Linden hold umsäuselt,1
Liebliches kleines Geschöpf, du suchst aus Blumen die Speise:1
Liebliches Knäblein, o schlummere du sanft in den duftigen / Rosen! / Kräuselt mit schmeichelndem Hauch, freundliche Weste / sein Haar!1
Liebliches Leben dringt / Neu durch die Triften, / Fröhlich die Lerche singt / Hoch in den Lüften,1
Liebliches Mädchen, im zarten Aufgehn wie die junge Rose, holdselig, freundlich, arglos - um dich herum schließen alle Blumen der Freude ihre vollen Kelche auf.1
Liebliches Mädchen, o gib mir, so bath ich / ein liebliches Küßchen, / Sieh! und an meinen Mund drücktest du / deinen behend.1
Liebliches Sternbild, o Schwan!- Einst Sinnbild mir und dem / Freunde;1
Liebliches, Erfreuliches die Fülle / Meiner allzufernen Nachbarinn;1
Lieblichste aller / Freundlichen Quellen, / Trügerisch Wähnen, / Angstvolles Sehnen1
Lieblichste der Grazien, / Die mit jedem Reiz zu schmücken, / Alle Musen ausersehn,1
Lieblichste der Rosen! Schon am Morgen / Deines May's vom starren Nord geraubt,1
Lieblichste Tochter des Maien, / Will dich der Einzigen weihen,1
Lieblichste von allen Blumenstätten, / Thron der Lust, erbaut von Amoretten, / Opferheerd der Liebesköniginn!1
Lieblichste von allen Himmelsschönen! / Trost der Menschheit - holde, süße Ruh'!1
Lieblichster Sänger der Schweiz, o Salis! darf ich im Lied dich / Am heimathlichen Herd, darf ich begrüßen den / Greis?1
Lieblichstes Hausgeräth, o Gängelbändchen! gewirket / Wardst du von sorgsamer Hand,2
Liebling der Grazien sei der träg buchstäbelnde / Dolmetsch?1
Liebling der Musen / In deinem Busen / Prüft sich dein Spiel / Prunklos und still;1
Lieblingsharfner, von allem was Gesang liebt! / Siehst du diese? Lyäus holde Kinder, / Mit den fleischigen runden, derben Backen,1
Lieblingsnamen vertrauend, gebt ihr es ruhig den / Fluthen, / Neidisch gepriesenes Glück blühender Handlun- / gen preis?1
Lieblöich, dem jungen Frühlimng gleich, / Nahet ein Jüngling, liederreich,1
Liebmann hatte das Glück, eine Braut zu finden, zu der die ganze Stadt ihm Glück wünschte. Er war ein so herzensguter Mann, sie so ein treffliches Mädchen.1
Liebselige Frauen aller Orten! / Wie ist doch Vieles anders geworden, / Seitdem Euch Frater Hilarius / Treuherzig bracht den letzten Gruß! / Chronos, der ewige Jude lenkte / Herzlos den Schritt über blutgetränkte, / Vom Rossehuf zerstampfte Fluren1
Liebst Du mich, fragte der Jüngling in der heiligsten und reichsten Stunde der Liebe,1
Liebst du mich, gedenkst noch mein, / Heb' dein Kleid doch in die Höh', / Wate zu mir durch den See!1
Liebst du um Schönheit, / O nicht mich liebe! / Liebe die Sonne, / Sie trägt ein goldnes Haar.1
Liebst du, Fremdling, die brandende Wog' an / der ragenden Felswand, / Wann sie schon fernhertosend, heran sich wälzt / und emporsprützt,1
Liebst du, so freye bald. / Ein Weib hilft dir / aus Nöthen.1
Liebste der Lieben, ich liebe dich liebend mit lie- / bender Liebe;1
Liebste Freunde und Gespielen / In Nürnberg wird künftig ein artiger Kinderlamanach herauskommen, von dessen guter Einrichtung aus der beyliegenden Ankündigung mehr ersehen werden kann.1
Liebste kleine Lieder, / Sagt, o sagt es mir, / Welchem holden Gotte / Floßt von Lippen ihr?1
Liebste sag', was soll ich werden? / Sprach ich einmal frisch und frei?1
Liebste! bring mit Blickespielen hin die wen'gen Tage / nur!1
Liebste! die du mehr als jemand / Liebest meine Poesie,1
Liebste! heut sollst du mir sagen, / Bist du nicht ein Traumgebild,1
Liebste, ich möchte so gerne Dir schreiben! / Mit Dir zu reden, welch' heftiger Drang;1
Liebste, süß ist die Verschwendung, / Und Verschwendung ist das nicht.1
Liebste, warum doch war dein Gesicht so bedenklich und trübe, / Ach und warum dein Blick gar so gemessen und kalt.1
Liebste, was kann denn uns scheiden? / Kann's das Meiden?1
Liebste, wenn wir gar nichts wüsten, / Du von mir noch ich von dir,1
Liebster Damon, laß uns Hirten werden! / Für den Weisen ist noch Raum auf Erden,1
Liebster du von allen Wegen / Und du allerliebstes Thal,1
Liebster Graf! Ich bin außer mir, und ich muß es Ihnen sagen, daß ich's bin, ob ich gleich erst gestern an Sie geschrieben habe. Gestern war ich noch nicht mit dem 5ten Theile des Grandison zu Ende.1
Liebster ist ein Sohn des Hügels, / Flüchtig jagt er Hirsch und Reh1
Liebster Vetter! Hätten Sie mich nur zu ihrem Bienenschneiden eingeladen, ich wäre gewiß gekommen.1
Liebster! Auf dem leichten Pfühl / Morgens beim Erwachen1
Liebster! Liebster! Wie ich bange! / Wie ich so dich halt' im Arm,1
Liebster! Nur dich sehn, dich hören / und dir schweigend angehören;1
Liebster! Wie ich's werd ertragen, / Wann du nicht mehr bei mir bist,1
Liebster! Zürne nicht den Fragen: / Liebster! liebst du mich?1
Liebster, deine Worte stehlen / Aus dem Busen mir das Herz.1
Liebster, erscheine! / Krank ist mein Herz! / Fühle: mein Auge / Suchet das Deine;1
Liebster, ich sterbe! / 'S ist mir so bang und weh - / Saget, ihr Augen, / Wo ich euch wiederseh'?1
Liebster, reiche mir her die lieblichen, zarten Cyanen! / Denn vor Allen zumeist lieb' ich bescheidenes Blau.1
Liebster, trennst du dich einmal von mir, / Welch ein Angedenken geb' ich dir,1
Liebt er mich? tönt es im Herzensgrund? / Liebt er mich? frag' ich der Rose Mund,1
Liebt freundliche Geselligkeit, / Die, so der Jugend wie dem Alter, / Ein Freudengeber, Krafterhalter, / Die treuen Führerhände beut,1
Liebt' ich sie mehr, als Dich? Ich liebte mehr sie, / Darum nahmst du sie mir!1
Liebt, o liebt! Es wird gereuen, / Wer nicht liebt und wiederliebt!1
Liebte einst ein Schwesterpaar, / Eng vereint in heil'ger Liebe, / Einen Frühling, treu und wahr,1
Liebwertheste Mamsel und schönste Fräule Braut! In tiefster Ergebenheit nehm ich mir die Keckheit mündlich an Sie zu schreiben,1
Liebwertheste, wohin - darf ich mich unterwinden? / Mein schönstes Compliment - wie ist ihr Wohlbefinden?1
Lieder bot ich euch sonst, verpacket von Bürger und Hölty / Kästners schelmische Hand schrieb die Addressen dar- / auf.1
Lieder brüht man nicht am Feuer, / Trägt zur Tafel nicht Gesänge;1
Lieder diese Zeilen nennen, / Hieße mein Bemüh'n verkennen.1
Lieder dir zum Lobe dichten, / Bester, wäre sonderbar; / Hieße deinen Werth vernichten1
Lieder schallen uns entgegen, / Bilder glänzen allerwegen,1
Lieder sind wie leichte Blätter, / Leise von dem West berührt,1
Lieder, die den Herren singen, / Müssen von den Hügeln klingen,1
Liederblume, steig' zur Höh', / Winter geht zu Ende,1
Liederreiche Philomele, / Sing den schönen Abend mir!1
liefern bestimmtere Trachten aus allen fünf Welttheilen.1
Liefert doch jedes Land sein Kontingent zur deutschen Poesie. Galizien hat in Carl Dräxler-Manfred einen ehrenvollen Repräsentanten.1
liefert, allem Anschein nach, ein Gemälde des ehemaligen Mainzer Clubs, während Cüstin's Regiment.1
liefert, von dem uns Deutschen, bisher so unbekannten Ostiniden, eine, nach Verhältniß der Ausdehnung, welche das Calenderformat zuließ, sehr vollständige Übersicht.1
Lieg' ich etwa auf Rosen? So sprach Montezuma der Kaiser, / Als ein Lager voll Qual ihn und die Seinen umfing1
liegt am Hennefluß, welcher hier die Gränze zwischen dem Herzogthum Westphalen und dem Großherzogl. Bergischen bildet;1
Liegt das Schiff im sichern Hafen, / Ruht es aus nach weiter Fahrt,1
Liegt der Irrthum nur erst, wie ein Grund- / stein, unten im Boden,1
Liegt doch was Trotziges darin, / Etwas noch ungebrochen Wildes1
liegt in Albanien, am Fluße Styx. Die schönsten und artigsten Mädchen aus Griechenland kommen dahin, sich in weiblichen Pflichten unterrichten zu lassen.1
liegt in der Bergstraße, drittehalb Meilen von Darmstadt, und soll von Carl dem Großen erbaut worden seyn.1
liegt in einer der schönsten und fruchtbarsten Gegenden der Bergstraße,1
liegt ohngefähr mit dem Schauer oder dem Belvedere des Thurms in gleicher Höhe.1
Liegt schuldlos Dir ein Spaß im Wege, / O wende nicht den Stolzen Tritt!1
Liegt weit zurück in dem fernesten Land / ein Zauberschloß mit hohen Mauern1
Lienhard und Gertrud gingen am Morgen froher und heitrer, als seit langem zur Kirche und dankten dem Vater im Himmel mit Thränen für das Glück dieser Woche.1
Lies am Steine die Schrift, o Wand'rer, mit / leiserer Stimme,1
Ließ dieses Helden Ruhm, o Wandrer, mit / Entzücken!1
Lies du mich wie ich bin, so findest du / Die Quelle meines Glückes, meine Ruh1
Lies du von allen Seiten mich, / Doch siehst du stets den trauten Namen!1
Ließ ich wohl für dich mein Leben? / Ach! Als ob das etwas wär'.1
Lies ja die Schrift aus diesem Leichensteine / Nicht allzulaut,1
Lies mich von vorn, lies mich von hinten, / Ich bleibe stets mir selbsten gleich,1
Ließ oder miß von vorn, miß oder ließ von hinten,1
Ließ sich die Tugend vor den Blicken / Der Menschen einmal nackend seh'n; / Sie würde - Plato sagt's - ent- / zücken.1
Ließ sich die Wahrheit in dem Zweck / Der Gabe wohl verkennen;2
Ließ sich, o Freundin, dein Herz in seiner Reinheit / enthüllen, / O man fände gewiß einen Himmel darin1
Lies uns nach Laune nach Lust, in trüben, / in fröhlichen Stunden,1
Ließ Wanderer, daß du vom Ex- / pirirten / Doch seine Existenz als Körper dar- / thun kannst:1
Ließ' ein hartes Mädchen mich / Auch ein Jahr und länger schmachten, / Ohn' auf meine Pein zu achten,1
Lies' mit leuchtendem Athem, leise / Haucht der Mond die Nebel fort,1
Lies, so oft dich derselbe anwandelt, folgende kurze Bemerkungen, unter freyem Himmel,1
Lies, wenn du kannst, des Buche Ende, / Dann bete mit zum Herrn,1
Lieschen hatte in der Stadt noch nie übernachtet. Heute blieb sie mit ihrem Manne in der goldenen Sonne,1
Lieschen schleicht seit mehrern Tagen / Still umher und wird nicht froh,1
Lieschen! / Befehlen? / Der Kaffee ist ja eiskalt und auch sonst nicht –1
Liese (liest einen Theaterzwettel) Du Rose! hör' ein Mahl: da steht unter den Personen ein Dämon, was ist denn das?1
Liesest du mich, wie ich stehe / Abgedruckt vor Augen dir,1
Liess uns zwar ziehen der Rabe, Berenice / mit nichten;1
Liest du das A B C verkehrt / Und stellest noch wo's hin gehört / Ein u hinein,1
Lieutenant Schuß, der Bombenkessel, / Erzählt von seinen Thaten fern und nah;1
Lignum litteratum, Bois de lettres, bey den Holzländern Letterhout. Ein hartes, vorzüglich festes Holz von braunrother Farbe mit kleinen braunen oder vielmehr schwärzlichen Flecken.1
Lila, reine Himmelsblume / Mit der mackellosen Seele,1
Lilien, die ihr duftend steht, / In ein grün Gewand gehüllt,1
Lilienbleich und marmorkalt / Lag des holden Kindes Leiche / Auf der Bahr' im Todesschlaf1
Lilienstengel! / Zu einem Strauße bist du nicht geschaffen,1
Lilla! Lilla! Woher dies Zagen, / Wann dein armer Freund sich zitternd naht?1
Lilla! Lilla! Woher dieses Zagen, / Wann dein armer Freund sich zitternd naht?1
Lilla, diese jungen Myrthen / Sollen freundlich uns bewirthen;1
Limecker del. Grünewald & Cooke sc.1
Lina hatte mich gefangen / Durch der Stimme Melodie, / Durch den Schelmenblick des Auges, / Und ich glühte nur für sie.1
Lina! wie's zu dir mich ziehet, / Mit der Sehnsucht süßen Qualen,1
Lina, nimm den Dank für alle Stunden, / Die mir deine sanfte Liebe gab,1
Lina, rief ich, als wir beide / Streiften durch die Waizenflur; / Wecket nicht zu Lust und Freude1
Lina, wenn man dich sieht, so ist man sicher bezaubert, / Lina, wenn man dich hört, löset der Zauber sich auf.1
Linchen sprach: Es ist die Letzte, / Mach' zum Ganzen Dich bereit,1
Lind' und leise nahen / Die dunklen Wogen der Nacht,1
Linda, sicher steht der Kahn, / Fertig bin ich mit den Netzen;1
Linde / Winde / Flüstern gar freundlich mir:1
Linde Morgenluft des Maien / Fächelt mir um Brust und Wangen,1
Linde, liebe schöne Linde, / Dir vorübergehn / Wäre große, große Sünde. / Linde! du bist schön.1
Lindere Luft begann die müden Ernter zu / kühlen, / Und das Gold der sinkenden Sonn' umbebte die / Aehren1
Lindes Zürnen! Stille Weigerungen! / Sanfte Streng' aus liebevoller Treu,1
Lindorf hat sich auf sein Gut Römersburg in Schlesien begeben.1
Lindrung deiner Lebensbürde / Suche keine ausser dich,1
Linie ist der zehnte Theil eines Zolles, oder der tausendste Theil einer Decimalruthe.1
Links am Wege, der von Mailand nach Pavia führt, jenseits des schiffbaren Canals, und kaum eine Meile von letzter Stadt entfernt,1
Links und Rechts an der Tafel sizzen die Deputirten, obenan der Präsident mit unbedektem Haupte.1
Linné behauptet, es sey zu Hervorbringung eines neuen Gewächses nothwendig, daß der innere oder markigte Theil der älteren Pflanze mit dem äußern Theile oder der Rinde derselben gemeinschaftlich wirke.1
Linthal ist das hinterste Dorf im grossen Thal des Canton Glarus, auf dem Weg zur Bautenbrücke.1
Lippen sind getheilte Rosen, / Und es macht der süße Kuß,1
Lippen! Lippen! Nicht geplaudert! / Denn nur thöricht plaudert ihr,1
Lipping wählte in seinem zwey und zwanzigsten Jahre die liebliche Justine zur Gattinn.1
Lips hat einen Lakaien. Muß er denn jemand haben, der ihm hungern hilft?1
Lips und Compagnie, ein altes Haus, stand nur auf schwachen / Füßen. / Peter, einziger Sohn und Erbe, konnte nie sich ganz ent-/ schließen.1
Liro schmäht auf Land und Stadt / Ach, ihn hungert sehr.1
Lirus, ohne Kopf und Bart, / Will durch Reimchen aller Art1
Lisandern fehlt das Wollen nur / Zum Biedermann; und dir, Obscur!1
Lisberta, die schönste jungfräuliche Blüte des schönen Mailandes,1
Lisch aus mein Licht! / Was dir gebricht, / Das ist nun fort,1
Lischen, ja! ich war dir gut, / Kann's nicht anders sagen;1
Lise, je t'offre un cœur, au beau jour de ta fête; / dont tu vas mépriser sans doute la conquête;1
Liselotte Bauer war ein braves und tüchtiges Mädchen, mit dem die Herrschaft, bei der es diente, sich außerordentlich zufrieden zeigte.1
Lisettchen saß vor ihrem Haus / Und spann die klärsten Fädchen.1
Lisette scheint des Nachts im Bette / Die Großmama der Taglisette1
Lisette, will denn gar kein Leben, / Rief die Mama, in dich hinein?1
Lisetten stirbt der Mann und ach! / Ihr Möpschen folgt ihm plötzlich nach.1
Lissows Liebe zu Käthe wurde immer heftiger und durch die öftern gesuchten Zusammenkünfte konnte sie Beyers und der Tante aufmerksamen Augen nicht länger verborgen bleiben.2
Literarischer Boden, wie klafftest du durstig! Da feuchtet / Himmlischer Lebensthau, weiblicheThräne, dich an.1
Liuta - eine Jungfrau, Dichterin, Schwester und Braut - hatte in das Kriegsfeuer hinein alles ziehen sehen müssen, was ihr theuer gewesen,1
Liverseege, unter den neuern englischen Genremalern einer der geschätztesten, wählte seine Gegenstände glücklich aus der Natur1
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Lob der Thränen, / Schmerzlich Loben, / Ewig blühend fließt dein Ton / Als ein Sehnen / Heiß nach oben1
Lob oder Schmähung tritt nur durch das Wort in's / Leben,1
Lob und Tadel trift oft das nämliche Stück, / Lob im allgemeinen ist seltnes Glück1
Lob verbessert den Guten, allein verbösert den Bösen.1
Lob' ich den reitzenden Weg vom Pompejanischen Weinberg, / Stabiäs waldigen Berg, Ulmen und Reben und Au'n1
Lobe den Tag, / Ist er geendet; / Lobe das Schwert, / Hast du's versucht1
Lobe die Schönheit des Tags, wann erst die / Sonne sich neiget,1
Lobe meine Seele, Gott den Schöpfer! / Der mit Allmacht seine Welten lenkt,1
Lobe nie, was Tadel verdient; doch tadle nicht / Alles / Was du nicht loben kannst.1
Lobe und heege sie, wer da will, diese boshafte heimtückische Mörderbrut, diese Nero's und Robespierre's unter den schwächern unschuldigen Waldbürgern!1
Lobelia, ein edles, geistreiches Mädchen, daß sich früh selbstständig im Besitze eines artigen Vermögens befand, flößte Leandern, einem hübschen liebenswürdigen Manne, eine zärtliche Neigung ein,1
Loben muß man zuweilen, um die Menschen auf ein schäzbares Gut, auf einzelne Vorzüge aufmerksam zu machen,1
Lobet den Herrn! die Morgensonne / Zeiget sich der schönen Flur.1
Löblich ist es, oft Vergnügen, / In des Andern Sinn sich fügen,1
Lobsingt dem Allbarmherzigen! / Stimmt an die höchsten Psalme!1
Lobsingt dem Herrn, mit Hochgesang er- / hebet, / Ihr, die ihr seinem Dienst euch weiht,1
Lobsingt dem Tanz, dem Erstlingssohn der Freude, / Den lächelnd sie gebar,1
Lobt den Herren! Die Morgensonne / Weckt die Flur aus ihrer Ruh,1
Lobt den Herrn , deß heilig Werde / Immerdar noch Wunder schaft!1
Lobt den Herrn! Die Morgensonne / Weckt die Flur aus ihrer Ruh,1
Lobt den Herrn, ihr, seine Geschöpfe! / Alles, was Odem hat, lobe den Herrn! / Lobet Jehova, ihr, seine Verehrer,1
Lobt dich ein guter weiser Mann, / Wie tanzt mein Herz vor Freuden!1
Lobt mich einer ins Gesicht, / nennt mich weise, will mich küssen;1
Locken sind geliebte Schlangen, / Mancher wird des Sinns beraubt,1
Locket die Rose dich an, so gedenke der / strahlenden Dorne;1
Locket, ihr zärtlichen Schönen, mit euren / freundlichen Reizen, / Locket vergebens mich nicht,1
Lockt dich, du Holde, / Endlich der warme Strahl? / Lockt dich der Frühling / In das erwachte Thal?1
Lockte, lockte so früh die Frühlingssonne, / Holdes Blümchen! dich aus dem zarten Moose,1
Lockte, lockte so früh die Frühlingssonne, / Holdes Blümchen, dich aus dem warmen Moose,1
Lodernd helle Blitzesstrahlen / Zücken durch der Nächte Grauen;1
Lodre, brodle, daß sich's modle, / Lodre, Lohe, Kessel brodle. #1
Log ich nur eine Silbe dran, / So hole mich der Tiefel! rief Lisette.1
Lokerer Grund nur bringt uns unser täglich / Brod: je tiefere Furchen, desto reichre / Aerndte1
Lolch oder Tollkorn ist eine Pflanze, die dem Waizen am nächsten kommt; doch wenn sie sich mit demselben vermischt, und unter den Speisen genossen wird, bekommt sie dem Menschen gar übel1
Lolli stand hinter den Pfirsichbäumen, und sah unverwandt nach der Thür des Pallastes.1
Lolotte ist eine Ex-Liebhaberin von 37 Jahren.1
London hat zwey Schauspiel-Säle, die beyde in dem Westmünster-Viertel gelegen sind;1
London hat, Jahr aus, Jahr ein, drey Winter- und ein Sommertheater. Jene heißen königliche Schauplätze, und sind die Italiänische Oper, das Theater in Drury-Lane und das Theater im Covent-Garden. Dieses ist das Theater auf dem Heu-Markt1
London sah ich, den Gasthof, und zahlte das Sehen als Mylord,1
London. Den 8ten März 1796 ist der berühmte Architect William Chambers gestorben.1
Long tems d'Amour j'ai chanté le délire, / Et jusqu'aux maux qu'on éprouve en ses fers:1
Look well about yee that lovers bee, / Let not your lusts lead you to dotage, / Be not enamoured on all things the ye see1
Look, sister sweet, upon that hallow'd stone! / We stand upon a spot of love and fear;1
Lopez de Vega schrieb fünf Geschichten, die erste ohne A, die zweite ohne E,1
Lorbeer grünt und Cypresse, die Myrthe blüht, die Fon- / taine / Plätschert und rauscht,1
Lorbeern mag die Schwester Dir / Um die Schläfe winden,1
Lorbeern und Eichenlaub müssen dich krönen, / Und von Bellonas und Cynthius Söhnen1
Lorbeern, Myrthen und Oliven, / Die Symbole alter Zeit,1
Lorchen will ein Sinngedicht? / Ha, das wird mir leicht gelingen.1
Lorchens Tagebuch ist ein kleiner Band; / Samt den Nächten wär's ein Foliant.1
Lord Algernoon S. hätte längst Palermo verlassen, da Lady Sara, seine Gemahlin, den Ton der dortigen Zirkel unausstehlich fand, indeß er erwartete Briefe aus England,1
Lord Beefsteak, Jean Potage / Und Michel obendrein1
Lord Bischoff liegt imTempel auf den Knie'n, / Als plötzlich ihm ein Diener schnell verkündet1
Lord Byron spricht sich in hundert Stellen seiner Werke mit der lebhaftesten Wärme über die Seligkeit der ersten, reinsten, geistigsten Liebe aus.2
Lord Byron verließ im Frühling des Jahres 1816 sein Vaterland zum zweiten Mal und für immer.1
Lord Byron's Gedichte scheinen uns keinesweges genügend, ihm den Namen des ersten aller lebenden englischen Dichter zu erwerben,1
Lord Byron's Gedichte sind dem deutschen Publikum theils vom Originale, theils durch Übersetzungen wohl bekannt genug, als daß man sich weitläufig über ihre Vortrefflichkeit verbreiten sollte.1
Lord Byron's Manfred ist eine seiner originellsten und erhabensten Dichtungen.1
Lord Chesterfield sagte von sich und Lord Trawley, als beide sehr alt und hinfällig waren:1
Lord Clythamber, sagt an, wie weit / Ist's noch zu Euch nach Haus?1
Lord Cornwallis hat sich als einen der unternehmendsten und tapfersten Officiere in der brittischen Armee ausgezeichnet.1
Lord Gallmay fand Caligula's schöne Büste, als Gewicht an einer Kirchenuhr.1
Lord Glenvarloch war durch seine Feinde, die ihm auf jede Weise zu schaden strebten, dahin gekommen, daß er im königlichen Park zu London den Degen gegen einen mächtigen Gegner zog1
Lord Hepburn war ein Ritter kühn / Wohl in Northumberland, / Und mancher brave Reitersmann / Zu seiner Fahne stand.1
Lord Holland konnte von Glück sagen, daß die Untersuchung seiner Rechnungen Herrn Bembridge in die Hände fiel,1
Lord Ravenswood verkauft seine Besitzungen, bis auf ein kleines Gut, an den Großsiegelbewahrer Sir William Ashton1
Lord Shaftesbury sprach einmahl mit einem Freunde über Religion.1
Loren, ein muthwilliger Junge, hatte sein Vergnügen an unanständigen und gefährlichen Bübereien.1
Lorenz von Bibra, Fürstbischof zu Würzburg und Herzog in Franken, ein wirklich großer Mann, verdiente eine Biographie im ganzen Verstande, …1
Lorenz von Medicis, dieser Beschützer der Künste und Wissenschaften, und selbst Gelehrter1
Lorsqu' autre fois les jupes à baleine étoient si amples en Angleterre, et les corps de baleine si étroits,1
Lorsqu'en t'instruisant tu t'amuses / à considerer tous ces Dieux,1
Lorsque de mon second mon premier n'a / pas trop: / Mon tout peut quelquefois être un assez / bon lot.1
Lorsque l'impression de l'Almanac était parvenu jusqu' ici je reçois dans le moment outre une lettre de ce grand observateur du ciel, son plus nouveau Traité sur l'arrangement de l'univers.1
Lorsque la postérité, juge rigoureux et incorruptible du mérite et des actions des hommes, donne unanimément à un Prince le nom le Grand, quand ce nom est avoué par le mécontentement et l'envie même,1
Lose Augen, keusche Herzen, / fromme Kinder, die noch scherzen.1
Löse die Ankerbande, / Stoße mein Schiff vom Strande,1
Lose Rose an dem Stocke / Rings von Düften reich umringt, / Gleicht sie nicht der Purpuglocke, / Die von stiller Lust erklingt,1
Lose Rose an dem Stocke, / Rings von Düften reich umringt,1
Loser Knabe könnt' ich dir / Doch die Flügel binden,1
Losgerissen hab' ich mich von deinen Banden / Liebe! ich bin wieder frei;1
Losgerissen vom Getümmel / Von den Lüsten dieser Welt, / Bauest du dir einen Himmel, / Hier, den Todten zugesellt.1
Losgerissen von den ird'schen Banden, / Schwelgt der Genius in seinen Heimatlanden1
Losgwirbelt von dem Ast / Wohin eilst du , ohne Rast, / Armes Blatt? - Kann ich es wissen?1
Löst ihr Schiffer schnell von Strande / Mir den Kahn,1
Löst, Brüder, die Feyerkanone, / Den rettenden Helden zum Lohne;1
Lothar sey ein Mann von Ehre. / Sagt die ganze Stadt,1
Lothar, ein Edelmann von achtzig Jahren, / Beaugt sein neugebautes Schloß mit Lust,1
Lottchen nahm meine kleine Katze auf den Arm, sie zu streicheln. Ich sagte: Die Katze wird kratzen!1
Lottchen, hatte vor allen ihren Freundinnen gar große Vorzüge. Sie war sehr schön, hatte einen vortreflichen Wuchs,1
Lotterie - Lotterei, / Narr und Schelm gedeiht dabei!1
Louis mußte Sophien, (so nannte sich das Mädchen geloben), daß er das Mädchen vergessen und nur den Menschen in ihr lieben wollte.1
Louis Spohr, churfrüstlicher Hofkapellmeister zu Kassel, Ritter des hessischen Löwenordens, Doktor der Tonkunst etc, der größte deutsche Violinspieler des letzten Jahrhunderts, einer der ausgezeichnetsten und originellsten Komponisten,1
Louis war wenig mehr zu Hause; und fragte jemand von den Seinigen: wo mag er hingehen? so antwortete Julie nur mit einem Seufzer1
Louise und Henriette waren zwei von ihrer Mutter mit gleicher Zärtlichkeit geliebte, und auch wirklich liebenswürdige Kinder;1
Louise verfehlte nicht, auch die militairischen Uebungen ihrer Aufmerksamkeit zu würdigen.1
Louise war ein schönes, sanftes Kind. Ihre Haut war weiß wie Schnee, ihr Wuchs so schlank und anmuthig, wie man auf dem Lande sonst nicht findet,1
Louise war eine der liebenswürdigsten Mädchen der ganzen Gegend. Ihr Vater lebte ehemahl im blühenden Wohlstande, Feinde fielen ins Land, plünderten und verheerten es,1
Louise war mit Tantchen den Hügel hinangestiegen, um den wunderherrlichen Tag verdämmern zu sehen.1
Louise, die neue Gräfin von Plankendorf, erwachte. Es war der erste Morgen nach der Hochzeit. Ihre ersten Blicke fielen in eine kleine unsaubere Stube, deren Wände von alten verblichenen Tapeten bedeckt waren.1
Louisen, der unsterblichen, hat dieser Tag das / Leben, / Den Namen hat er Dir gegeben.1
Löwen habt ihr gezähmt, Hyänen und Tieger gebändigt,1
Luchino Vivaldo, ein junger Genueser, faßte eine leidenschaftliche Liebe zu einer verheiratheten Dame.1
Luchino Vivaldo, einer der angesehensten Bürger zu Genua, war seit mehrern Jahren in eine junge überaus schöne Person verliebt,.1
Lucinde kam zurück vom Bade. / Welch ein süßes Ehrenrendezvous1
Lucinde kennt nicht Maß noch Ziel / In ihres Mannes Lob.1
Lucull, der sonst so reiche Mann, / verkauft nun auch sein Haus;1
Ludewig der Arensberger / Saß auf seinem hohen Schloß, / Freute sich der schönen Stelle, / Freute sich des Stromes Welle,1
Ludi circenses, die circensischen Spiele, weil sie im Circus maximus vornehmlich gegeben wurden, ob sie gleich auch in andern Circis und vormahls selbst im Campo Martio pflegten gehalten zu werden.1
Ludovico Viadana, ein Italiäner aus dem Mayländischen, hat ungefehr im Anfange des 17ten Jahrhunderts den Grund zu unserm jetzigen Accompagnement gelegt;1
Ludwig brachte den Sonntag, den 20. Januar, mit der Vorbereitung auf seinen Tod zu.1
Ludwig brachte den Sonntag, den 20. Januar, mit der Vorbereitung auf seinen Tod zu. Seine stille Ergebung, seine sanfte Geduld zeugte von dem Adel seiner Seele.1
Ludwig Burghardt war mehrere Jahre in einem großen Handlungshause in Hamburg als Buchhalter gestanden,1
Ludwig der Eilfte gelangte zum Throne, / Frankreichs Lust war gerecht und groß,1
Ludwig der Eilfte von Frankreich / Liebte Gesellschaft bei Tische,1
Ludwig der Fromme, ein Prinz der vortreffliche Einsichten mit dem besten Herzen verband,1
Ludwig der Große, aus dem Hause Anjou-Neapel, König von Ungarn und Pohlen, war im September des Jahres 1382 zu Tyrnau gestorben.1
Ludwig der Vierte, Landgraf von Thüringen, den die Kronickenschreiber wegen seiner seltnen Mäßigkeit und Keuschheit den Heiligen zugenahmt haben,1
Ludwig der Vierzehnte, durch seinen unbegränzten Ehrgeiz, und Ludwig der Funfzehnte, durch seine Indolenz, hatten Frankreich in eine Schuldenlast verwickelt1
Ludwig der XIV. von Frankreich soll seinen Grosalmosenirer einst gefragt haben: was ein Nycticorax sey.1
Ludwig Franz Armand, nachhheriger Düc de Richelieu, gebohren im Jahr 1696, gestorben 1788, der französische Alcibiades, wie ihn Voltaire nannte,1
Ludwig hatte den Tag vorher sowohl Mittags als Abends wie gewöhnlich mit gutem Appetit gespeißt und die Nacht ruhig und fest geschlafen.1
Ludwig Hünnersdorf ward zu Mengsberg bei Ziegenhain im Casselschen im Jahr 1748 geboren. Sein Vater war daselbst Herrschaftlicher reitender Förster.1
Ludwig IV. ultra oder trans-marinus war ums Jahr 940 zu Tour, und spottete über Fouque II. Graf von Anjou, der mit den Canonicis aufs Chor gegangen war,1
Ludwig IX. König von Frankreich, bekannter in der Geschichte unterm Beinamen, des Heiligen1
Ludwig saß im Buchenhaine, / Schaute hin zum fernen Moor, / Und mit heller Feuerflamme / Wallte jetzt ein Irrlicht vor:1
Ludwig schweifte in der Dämmerung durch die Straßen der Stadt. Amtsgeschäfte hatten ihn den ganzen Tag am Schreibetische festgehalten,1
Ludwig von Beethoven lebte, obwohl im Jahre 1772 zu Bonn geboren, doch in Wien am liebsten, wo ihn die Gemüthlichkeit und das Trauliche des Familienlebens ganz besonders fesselte,1
Ludwig von Tremouille, Vicomte von Thouars, Prinz von Talmont, Graf von Guines etc stammte aus einer der edelsten Familien Frankreichs,1
Ludwig ward erst mit seiner Familie in die Zimmer gebracht, die an den Tempelthurm stießen.1
Ludwig XI. ließ im 15ten Jahrhundert zwey Brüder, die Prinzen von Armagnac, in einen von den unterirdischen Kerkern der Bastille sperren.1
Ludwig XII war kein Musikfreund, und hatte demohngeachtet eine Kapelle.1
Ludwig XIV. bemerkte auf einem Hofballe einen schön gestalteten Domino, der mit außerordentlichem Appetit Speisen und Getränke verschlang,1
Ludwig XV. besuchte die neuen Kriegskanzleyen.1
Ludwig XV. hatte die pragmatische Sanktion zu deutlich und feierlich anerkannt,1
Ludwig XVI. flüchtete sich an dem stürmischen Tage des 10te Aug. mit seiner Gemahlin, seinen Kindern, seiner Schwester und seinem kleinen Gefolge,1
Ludwig XVI. war am 23. Aug. 1754 gebohren, ein Sohn des Dauphins Ludwig und dessen Gemahlin Maria Josepha einer Tochter des Königs von Pohlen und Kurfürstens zu Sachsen August III.1
Ludwig, der Sohn eines armen Mannes in Flandern, lag am Steinschmerzen sehr krank darnieder.1
Ludwig, Du hast es gewollt, das Gute mit lieben- / dem Sinne, / Doch der Höflinge Schaar hemmte die strebende / Kraft,1
Ludwig, im Begriff einen Kreuzzug anzutreten, ist von seiner Gemahlin und seinen Kinder noch einige Tagereisen begleitet worden.1
Ludwig, König von Ungarn und Polen, war 1382 zu Tyrnow gestorben und hinterließ zwei Töchter, von denen die älteste, Marie, dem Markgrafen von Brandenburg, Sigmund, die jüngere, Hedwig, dem Herzog Wilhelm von Oestreich verlobt war.1
Ludwigs Appellation an die Nation wurde vom Konvent abgeschlagen und über die Art der Stimmenmehrheit kam es gar nicht zur Motion.1
Lue, wie's dunklet über Flur und Wälder! / Loos, wie's stilla wird im lieba Thal!1
Luft'ge Chöre lieblich schallen / Weit durch sonnenhelle Räume,1
Luft'ge Ranken, duft'ge Reben / Schlingen gerne sich zu Kränzen,1
Luft'ger blick' ich in die Höh'; / Unten wird mir's gar zu weh.1
Lüftchen, buhlet in Gewinden / Ihrer Locken lieblich traut.1
Lüftchen, das mit warmen Hauche / Sanft befreit des Baches Lauf:1
Lüftchen, die des Abends Kühlung tragen, / Wellen, die das Ufer buhlend schlagen,1
Lüftchen, du wehest so lind, gleich Harfen säu- / seln die Tannen;1
Lüfte des Frühlings säuselten über die Brenta; ihre Ufer standen im Glanz des Maiens, die Wasser gingen still und blau und plätscherten eilfertig an den Marmorstufen der Sommerpalläste vorüber,1
Lüfte wehen, Wolken fliehen / An dem Himmel über mir, / Grauenvolle Nebel ziehen,1
Luftige Kinder der Musen, als luftige Schat- / ten geboren, / Seele mehr als Gebein!1
Luftspringer West erschien an Lethe Strande, / Und Pluto rief im Augenblick:1
Lüg immerhin! Ich weiß mich leicht zu rächen: / Ich darf von dir ja nur die Wahrheit sprechen.1
Lügen, nichts als lauter Lügen / Mußt du sprechen,1
Luise dünkt mich Nummer Eins. / Ja! ja! Ich küßte früher keins / Von meinen Liebchen all.1
Luise öffnet das Fenster, sieht sich nach allen Seiten um, hustet ein wenig, und spricht leise: Wolwitz, sind Sie das?1
Luise Werner ward in ihrem sechs und zwanzigsten Jahre zur Wittwe. Ein Knabe von sechs und ein Mädchen von fünf Jahren war die ganze Verlassenschaft ihres Gatten.1
Luisens Vater war, wenn gleich kein Millionair, doch ein Mann von vielem Vermögen. Er war Kaufmann, hatte verschiedene Fabriken mit Glück etablirt,1
Lukas bat: Ach höre Lise, / Höre, was dein Treuer spricht! / Doch die bange Mutter warnet; / Lise! hör den Lukas nicht!1
Luklum, eine Commende des hohen deutschen Ordens, der Sitz des jedesmaligen Herrn Landcommenthurs der Ballei Sachsen,1
Lumpe gibt es beständig, doch scheiden sich darnach / die Zeiten, / Ob man die Frechheit beklatscht, ob man sie / nöthigt zur Schaam1
Lumprich, der Gelehrte wacht, / Winkt gleich späte Mitternacht / Alle welt zur Ruhe;1
Luna! wie glänzest du schön an hoher / Wölbung des Himmels,1
Luna, rede! warum ermüdet der liebende Dichter / Nie dich zu suchen und dir süße Gesänge zu weih'n?1
Lupin wird heut getraut mit Dorimenen, / Der häßlichsten von allen Schönen.1
Lupum vocat fratrem suum, nam lupum rabiosum qui multos in cicvitate laeserat,1
Lust'ge Mädchen, stille Frauen, / Welche mag ich lieber schauen?1
Lust'ge Vögel in dem Wald, / Singt, so lang es grün,1
Lustge Bilder, bunte Fratzen / Spielen die Verwandelung, / Und des Affen Vordertatzen / Geben sich des Geistes Schwung.1
Lustig bin ich und fromm, ich schmause behaglich im / Frieden,1
Lustig durch's Leben / Über die Wolken hin / Zieht mich das Streben, / Treibt mich der frohe Sinn.1
Lustig durch's Leben, / Ueber die Wolken hin / Zieht mich das Streben,1
Lustig ertönen / Flöten und Geigen, / Schwebende Schönen / Kreisen im Reigen.1
Lustig geht es hier zu, rief einer, denn was / wir berühren1
Lustig hüpft das Kind an seiner Krücke umher und verdrüßlich schleicht der Greis an seiner fort.1
Lustig ist die Jägerei! / Pflegt' ich sonst zu sagen. / Gold'ne Zeit, du bist vorbei!1
Lustig kommt das Schiff geschwommen, / Hat man fernen Strand geküßt;1
Lustig kuckuckt dort der Kuckuck / In dem grünen Buchenhain,1
Lustig schieß ich empor, und gebe nicht Früchte noch Schatten,1
Lustig schieß' ich empor, und gebe nicht Früchte / noch Schatten,1
Lustig schlugen die Finken im jungen Laube der langen Baumreihen zu beiden Seiten der Straße;1
Lustig tändeln, munter scherzen, / Flücht'ger Minne heitres Spiel, / Ging mir sonst so leicht von Herzen;1
Lustig und munter / Schwimme hinunter! / Es folgt dir der Strom1
Lustig und wohlgemuth / Wallet der Jugend Blut,1
Lustig, Brüder! Hopsasa, / Heißts bey Schweitzer-Tänzen / Schöne Mädel lächeln da, / Die von Schmink' nicht glänzen.1
Lustig, du wackeres Volk der Fajaken, es währt noch der / Sonntag!1
Lustig, Gesellen! das Eisen durchdringet / Röthend der Kohlen gesteigere Gluth1
Lustig, Ihr Nachbarn und Freunde! – Knappen! / bringt noch Wein! / recht so! es ist ein herrlicher Wein!1
Lustige Gesellen / In dem Wolkenreich, / Wenn ihr nahet, schwellen / Alle Knospen gleich.1
Lustiger Mückentanz der Poeten von Gestern und Heute,1
Lustspiel bleibet das Leben, drum spielt, seyd lustig, das andre / Thut nach dem Tode; so wird alles gehörig besorgt!1
Lustwandeln ging ich am Gestad’ der Isar, / Indeß mein Herz im Rheinesparadies war1
Lustwandelnd gieng ich an dem Strand umher, / Da fiel mein junges Herz mir in das Meer.1
Lustwandelnd ging ich an dem Strand' einher, / Da fiel mein junges Herz mir an das Meer.1
Luther lobte mein Bier, ihm sandt' es ja Erich zum / Troste,1
Luther! Du gleichst dem Rheinfalle! Wie stürmst und donnerst du gewaltig!1
Luther! komme bald wieder; es gibt zu viele Päbste,1
Luther, du weißt, ließ schlachten ein Thier, um jedes / Geweide / Kunstgerecht zu benennen und Schiller hörte den Gie- / ßer,1
Luthern wird der scharfe Reim zugeschrieben: / Der Teufel wollte Menschen schaffen: / Da schuf er Affen nur, und Pfaffen.1
Lutz ist ein junger Mensch, und dünkt sich / alt!1
Luxus und Mode-Wesen in Deutschland scheint einen ganz guten Gang zu nehmen: unsere Damen und jungen Herren, geizen nicht mehr so nach ausländischen Producten, sondern finden auch die inländischen Fabricate schön.1
Luzindens Papagey / Ist nicht mit Golde zu bezahlen!1
Luzionde lies't seit fünfzehn Jahren / Die besten Schriften über Lieb und Eh'.1
Lyce, tränkest du gleich Tanais ferne Fluth, / Einem Wilden vermählt, dennoch an deiner / Thür1
Lydia erhub sich wütend: / Leih mir Blize, Donnergott,1
Lydia, helle Blondine! Schönes Kind! / weiß, wie Lilien und der gefallne Schnee,1
Lydischer Stein, du prüfest das Gold; - wer / prüfet die Denkart1
Lykandern ward in seinen schönsten Tagen / Zur Frau ein Mädchen vorgeschlagen,1
Lykobas hat sich beschmutzt? Ja, öfter als / einmal! und wo denn?1
Lykobas, sprich nicht so ruchlos! / Diese Geistesgesellschaft / Ist eine Orgel1
Lykurg und alle Gesetzgeber des Alterthums, deren Genie noch jetzt bewundert wird, nahmen eine Religion, und einen öffentlichen Gottesdienst zur Grundlage ihrer politischen Einrichtung an.1
Lyrisch, Brüder, geht's im Leben / Oftmals auch prosaisch her:1
Lyse, leve lütke Deern, / Du myn trute Mäcken; / Na dy frjit ick haarten geern, / As' yck en beetgen äte1
L’AURORE brille, et je m’éveille; / Je m’éveille songeant à lui, / Et je me répète aujourd’hui / Tous les discours qu’il tint la veille.1
L’homme d’esprit, le bon auteur, / Trouvent facilement la rime; / Mais un pauvre petit rimeur / Por l’attrapper en vain s’escrime1
L’HOMME, dans son premier séjour, / Eut pour voile son innocence; / Mais, pour augmenter son amour, / Sa femme inventa la décence1
L’OISEAU sous ces fleurs enterré / N’étonnait point par son plumage / N’enchantait point par son ramage: / Mais il aimait … il fut pleuré1
L’OR exerce ici bas un empire éternel, / Le riche, l’indigent, tout s’en rend tributaire; / Si Jupiter est roi du ciel, / Plutus est roi de la terre.1